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ut-être pas autrement — qu’on ne le fait pour des
écosystèmes
; b) l’autonomie de régions restreintes, c’est-à-dire la distributio
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es et continentales, nos grappes d’hypothèses (ou
écosystèmes
) de participation gardent tout leur intérêt. Car il est évident qu’un
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es favorisant « l’emploi », et des destructions d’
écosystèmes
justifiées par la préparation à la guerre atomique, ses plus fortes m
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hnologies, afin d’éviter qu’ils ne détruisent les
écosystèmes
dans les pays récepteurs, puis qu’ils n’augmentent le chômage dans le
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éalités écologiques, la météo, les épidémies, les
écosystèmes
ignorent les frontières politiques, ces « cicatrices de l’histoire ».
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i tend à détruire du même mouvement à la fois les
écosystèmes
naturels et les communautés humaines. L’agression s’est produite d’ab
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apables de restaurer, maintenir et développer des
écosystèmes
viables, de dépasser l’État-nation, c’est-à-dire d’instituer d’un mêm
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le cas de l’urbanisme sans frein — à la fois les
écosystèmes
naturels et les communautés humaines. L’Agression s’est produite d’ab
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ogiques, à restaurer, maintenir et développer des
écosystèmes
viables, de dépasser l’État-nation d’un même mouvement, c’est-à-dire
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mites qu’au moment où l’action de l’homme sur les
écosystèmes
dont il fait partie menace visiblement de déclencher des réactions en