1 e. 3. « Et certes quand il s’agit de parole ou d’ écriture , l’affirmation prouve moins une certitude qu’un désir de certitude né

2 et d’expressions toutes faites qui trahissent une écriture hâtive. Mais il y a dans l’œuvre de René Crevel un sens de la douleur

3 ? « Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon », dit l’ Écriture . ⁂ Je ne pense pas qu’une attitude réactionnaire qui consisterait à

4 bruit discordant des cymbales, les psalmodies des écritures . En écoutant la mystérieuse musique funèbre, Eiichi prit une résoluti

5 r d’été de 1918 — sont expliqués à la lumière des Écritures . La Fin des Temps est proche, il faut en témoigner. À tous il tend la

6 e propose à Goethe, comme un exercice de choix, l’ écriture , — cela n’a rien que de logique, et résulte de la définition même d’u

7 eux la moins quelconque du monde. Je prétexte des écritures — qui se réduisent d’ailleurs à ce journal — pour avoir la paix dans

8 est à l’harmonium ; le comte en face d’elle lit l’ Écriture . Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis, des mélod

9 est à l’harmonium ; le comte en face d’elle lit l’ Écriture . Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis, des mélod

10 eux la moins quelconque du monde. Je prétexte des écritures — qui se réduisent d’ailleurs à ce journal — pour avoir la paix dans

11 nveloppe, ni de leur expéditeur (je n’ai pas vu l’ écriture des adresses), elles roulaient donc déjà vers Calw, mais dans différe

12 rqué qu’il se révèle en moi par une même allure d’ écriture , toutes les fois que se trouve atteint le seuil de ce que j’ai nommé

13 estant plutôt cette vivacité d’invention dont « l’ écriture moderne » reste tristement dépourvue malgré ses velléités de fantaisi

14 nt le printemps et les femmes, cette aisance de l’ écriture , sans égale parmi nous, cette musique d’un cœur qui s’abandonne, qui

15 » antique14, mais qui, dans cet esprit nourri des Écritures , ne peut manquer d’évoquer aussitôt la réponse de l’Épître aux Romain

16 es femmes possédées ; des ivrognes qui citent les Écritures  ; peut-être aussi des saints qui se croient plus mauvais que tous ; s

17 stice au style de la pensée, plus encore que de l’ écriture , d’Aron et Dandieu. Il faudrait pouvoir citer ici la page finale que

18 , qui prévoient les déformations nécessaires de l’ écriture courante. Il y a des gens qui estiment que la « pratique » étant très

19 ’auteur n’ont aucune force de contrainte. C’est l’ Écriture et le dogme qui les jugent, et non l’inverse, comme l’a fort bien mon

20 es femmes possédées ; des ivrognes qui citent les Écritures  ; peut-être aussi des saints, mais qu’on ignore et qui s’ignorent. Pa

21 , qui prévoient les déformations nécessaires de l’ écriture courante. Il y a des gens qui estiment que la « pratique » étant très

22 u’il écrit, et l’on aime jusqu’au retors de cette écriture contractée. Dans son progrès strictement mesuré, la phrase ici, vraim

23 énot, t. II, chap. ii. 26. Politique tirée de l’ Écriture sainte, t. I, p. 6, article ier . p. Rougemont Denis de, « L’édit

24 souligner ce dernier trait. Mais comparez leur «  écriture  », c’est amusant. Et je leur vois, devant certains échecs qu’un peu d

25 ar l’Église, par une Église qui prend barre sur l’ Écriture . Précisons encore ce schéma, qui ne prétend qu’à indiquer le lieu pré

26 que ce qu’il lui a plu de nous en révéler dans l’ Écriture , et par l’action du Saint-Esprit, grâce auquel l’Écriture nous parle.

27 , et par l’action du Saint-Esprit, grâce auquel l’ Écriture nous parle. Serions-nous donc d’accord ? Lisons plus loin : « Le Sauv

28 Dieu lui-même dans son incarnation unique, dont l’ Écriture témoigne. — C’est, rétorque Bossuet, que vous n’entendez pas que c’es

29 endez pas que c’est l’Église, et non pas la seule Écriture , qui sait le secret de Jésus-Christ ! — Et d’où l’a-t-elle appris, si

30 t ! — Et d’où l’a-t-elle appris, si ce n’est de l’ Écriture  ? — Relisez-moi : « Instruite par le Saint-Esprit et par la tradition

31 interpretatione S. Scripturae) en déclarant que l’ Écriture ne peut être interprétée que selon l’Église, et en particulier selon

32 de Trente. La tradition est ainsi substituée à l’ Écriture comme critère des inspirations de l’Esprit saint. Mais la tradition,

33 ’un subjectivisme absolu dès qu’on le sépare de l’ Écriture , qui nous fournit son critère objectif. Pourquoi nos frères catholiqu

34 élation. Résumons brièvement ce développement : L’ Écriture dit, à propos de la coupe de la Sainte-Cène : « Buvez-en tous ! » L’i

35 d’avoir exécutée, n’est donc pas contenue dans l’ Écriture . Il faudra la chercher alors dans l’autre source de la Révélation : l

36 ante de la nouvelle tradition, contradictoire à l’ Écriture . Le cercle n’est-il pas vicieux ? Le scandale de cette innovation (et

37 pourront jamais nous garantir ce miracle : que l’ Écriture parle, qu’elle parle clairement, ici et maintenant, que je la croie,

38 historique à son chef, qui lui fut révélé dans l’ Écriture , et non ailleurs. Il reste à dire ceci : Et nous, croyons-nous assez

39 st leur « biblisme ». Bien que pas un verset de l’ Écriture ne soit cité, on sent la pensée et la foi de l’auteur informées par l

40 r d’été de 1918 — sont expliqués à la lumière des Écritures . La Fin des temps est proche, il faut en témoigner. Caille pénètre da

41 élémentaires que les hommes ont de commercer : l’ écriture , la parole et l’action, — la tradition, la prophétie, la guerre… On l

42 éresse les surréalistes lorsqu’ils se livrent à l’ écriture automatique : les moyens du subconscient et la conscience honteuse qu

43 poétique de Claudel, qui domine de son poids les écritures du siècle, je retiendrai d’abord deux mots : « poétique » dans le tit

44 élémentaires que les hommes ont de commercer : l’ écriture , la parole et l’action, — la tradition, la prophétie, la guerre… On l

45 éresse les surréalistes lorsqu’ils se livrent à l’ écriture automatique : les moyens du subconscient et la conscience honteuse qu

46 élémentaires que les hommes ont de commercer : l’ écriture , la parole et l’action, — la tradition, la prophétie, la guerre… Mais

47 arole dite en nous par l’Esprit et attestée par l’ Écriture , — or, cette Parole est Christ lui-même, — il me paraît que l’opinion

48 arole dite en nous par l’Esprit et attestée par l’ Écriture , — or, cette Parole est Christ lui-même, — il me paraît que l’opinion

49 tituteurs. Le pasteur a lu quelques passages de l’ Écriture . Après quoi le sujet a été introduit par l’un des instituteurs. Il s’

50 tituteurs. Le pasteur a lu quelques passages de l’ Écriture . Après quoi le sujet a été introduit par l’un des instituteurs. Il s’

51 , certifié au-dedans par l’Esprit saint, et par l’ Écriture au-dehors, et constituant la véritable action de l’homme entre les ma

52 ste dont je ne connais d’ailleurs que le nom et l’ écriture , et qui a lu par hasard mon Journal d’un intellectuel en chômage . I

53 marier l’eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses les plus contradictoires sur la sainteté de l

54 rendu plus sobre par la connaissance directe des Écritures , ait pu déboucher, quelque cinquante années plus tard, dans la Réform

55 istianisme, et le foyer de l’amour chrétien que l’ Écriture nomme Agapè. Événement sans précédent, et « naturellement » incroyabl

56 marier l’eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses les plus contradictoires sur la sainteté de l

57 erdre de vue « la seule chose nécessaire ». Car l’ Écriture nous dit que si nous la gardons « tout le reste nous sera donné par-d

58 istianisme, et le foyer de l’amour chrétien que l’ Écriture nomme Agapè. Événement sans précédent, et « naturellement » incroyabl

59 marier l’eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses les plus contradictoires sur la sainteté de l

60 istianisme, et le foyer de l’amour chrétien que l’ Écriture nomme Agapè. Événement sans précédent, et « naturellement » incroyabl

61 marier l’eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses les plus contradictoires sur la sainteté de l

62 ans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture  : un imaginatif, mais sans excitation ; un homme qui prend les choses

63 urque, etc.), malgré la perfection constante de l’ écriture , et toutes ces aquarelles et ces tableaux de genre où s’amuse et s’at

64 outes. Ce qui comptera, ce qui vaudra toujours, l’ Écriture nous l’apprend lorsqu’elle dit : « Le ciel et la terre passeront, mai

65 outes. Ce qui comptera, ce qui vaudra toujours, l’ Écriture nous l’apprend lorsqu’elle dit : « Le ciel et la terre passeront, mai

66 e suis frappé par le souci qu’y montre Gide d’une écriture durable et d’une œuvre d’avenir. Il n’accepte de rompre avec une trad

67 connaissaient aussi sa vocation, annoncée par les Écritures et désignée du nom de Christ. Mais ce que « la chair ni le sang », ni

68 e propose à Goethe, comme un exercice de choix, l’ écriture , — cela n’a rien que de logique, et résulte de la définition même d’u

69  Il n’y a pas un juste, pas même un seul », dit l’ Écriture . Que nous le sachions ou non, nous avons tous failli, et nous sommes

70 preuves paradoxales de la divine inspiration des Écritures . Enfin, l’antagonisme entre l’auberge où descendent les Messieurs du

71 arole dite en nous par l’Esprit et attestée par l’ Écriture , — or cette Parole est Christ lui-même — il me paraît que l’opinion d

72 tc.), malgré la perfection presque constante de l’ écriture , et toutes ces aquarelles et ces tableaux de genre où s’amuse et s’at

73 né de Gide pour les détails les plus subtils de l’ écriture est attesté par cent pages du Journal. Je n’oublie pas qu’il a coupé

74 r d’été de 1918 — sont expliqués à la lumière des Écritures . La Fin des temps est proche, il faut en témoigner. Caille pénètre da

75 proclamer le dogme de l’inspiration littérale des Écritures , par exemple, revient à disposer humainement des Écritures. Car aussi

76 , par exemple, revient à disposer humainement des Écritures . Car aussitôt que le principe d’unité apparaît humainement vérifiable

77 ans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture  : un imaginatif, mais sans excitation ; un homme qui prend les choses

78 on, anxiété poétique, spéculations et scrupules d’ écritures , toutes choses si vagues et si peu convaincantes quand on y pense, ic

79 de pareilles alternances. Le ton ou la chanson, l’ écriture ou le sens, le rythme ou la direction de la marche seront perçus en i

80 tte interaction perpétuelle du témoignage et de l’ écriture , il se trouve que cela correspond à une philosophie, à une morale, à

81 est à l’harmonium ; le comte en face d’elle lit l’ Écriture . Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis, des mélod

82 eux la moins quelconque du monde. Je prétexte des écritures — qui se réduisent d’ailleurs à ce journal — pour avoir la paix dans

83 nveloppe, ni de leur expéditeur (je n’ai pas vu l’ écriture des adresses), elles roulaient donc déjà vers Calw, mais dans différe

84 tituteurs. Le pasteur a lu quelques passages de l’ Écriture . Après quoi le sujet a été introduit par l’un des instituteurs. Il s’

85 . Je ne demandais qu’à tenir sans fin ce rythme d’ écritures et de publications, mais Adolf Hitler s’y opposa. ⁂ Hitler et moi ne

86 ans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture  : un imaginatif, mais sans excitation ; un homme qui prend les choses

87 on, anxiété poétique, spéculations et scrupules d’ écriture , toutes choses si vagues et si peu convaincantes quand on y pense, ic

88 r, de Robinson, de L’Odyssée, et même des Saintes Écritures , dont s’est nourrie toute notre enfance. Il est vrai qu’en tout cela

89 ectures prolongées et sans cesse renouvelées de l’ Écriture  ; son amour pour le style biblique ; la confusion courante — non seul

90 es. « Le Seigneur seul connaît les siens », dit l’ Écriture  : si l’on est chrétien, qu’on croie cela, laissant aux incroyants le

91 large de l’humain, pour ceux qui se réfèrent à l’ Écriture et à ses traductions liturgiques, sources du seul langage vraiment co

92 ande. Mais elle n’est rien en soi, pas plus que l’ écriture ou la typographie, et sans idée personne n’en tirera rien qui vaille.

93 xemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’il n’y a pas un juste, pas même un seul » et que pourtant il dev

94 mystique et la légende aux faits dont seules les Écritures , fort peu lues en ce temps, attestent l’historicité44. Tout ceci nous

95 xemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’il n’y a pas un juste, pas même un seul » et que pourtant il dev

96 mystique et la légende aux faits dont seules les Écritures , fort peu lues en ce temps, attestent l’historicité57. Tout ceci nous

97 xemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’il n’y a pas un juste, pas même un seul » et que pourtant il dev

98 ectures prolongées et sans cesse renouvelées de l’ Écriture  ; son amour pour le style biblique ; la confusion courante — non seul

99 es. « Le Seigneur seul connaît les siens », dit l’ Écriture  : si l’on est chrétien, qu’on croie cela, laissant aux incroyants le

100 à la fin spirituelle. André Gide, connaissant les Écritures , eût aussi pu répondre à l’Oncle Charles que le texte si « simple et

101 it pas de prêcher la paix : Ne voit-on pas que l’ Écriture sainte, qui déteste les guerres, et les prédicateurs qui déclarent ce

102 çais, en italien, en latin et traduit les Saintes Écritures de l’hébreu et du grec en arabe.) Postel croit à la Monarchie univers

103 sie, mère antique des religions, des empires, des écritures et des arts, il y a aussi un élément de variété ; celui-ci constitue

104 t. Il n’a écrit que pour mieux faire comprendre l’ Écriture , parlé que pour mieux faire entendre la Parole. L’idée de surprendre

105 ogues à la volée, et d’innombrables citations des Écritures restituées dans leur nouveauté la plus abrupte et prosaïque. Son baro

106 le ronde, n° 113, Paris, 1957, et L’Homme avant l’ écriture , Armand Colin, Paris, 1959, tableau p. 374. Voir aussi les ouvrages c

107 élémentaires que les hommes ont de commercer : l’ écriture , la parole et l’action, — la tradition, la prophétie, la guerre… Mais

108 xemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’il n’y a pas un juste, pas même un seul » et que pourtant il dev

109 proclamer le dogme de l’inspiration littérale des Écritures , par exemple, revient à disposer humainement des Écritures. Car aussi

110 , par exemple, revient à disposer humainement des Écritures . Car aussitôt que le principe d’unité apparaît humainement vérifiable

111 ans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture  : un imaginatif, mais sans excitation ; un homme qui prend les choses

112 langue littéraire qu’il va chercher sa formule d’ écriture , mais en deçà. À l’économie tatillonne du verbe, il n’opposera pas la

113 se livrait avec beaucoup de sérieux à des jeux d’ écriture ou de télépathie. Parfois, on arrangeait une fête (comme celle qui fu

114 rles Fourier qu’il venait de recopier d’une belle écriture sage et d’orner de fleurs au crayon de couleur. Fourier était alors s

115 ts d’une poésie pure. Quels sont les secrets de l’ écriture qui anime ainsi tant d’images, et si variées ? Allons les rechercher

116 se livrait avec beaucoup de sérieux à des jeux d’ écriture ou de télépathie. Parfois, on arrangeait une fête (comme celle qui fu

117 rles Fourier qu’il venait de recopier d’une belle écriture sage et d’orner de fleurs au crayon de couleur. Fourier était alors s

118 ns comme moi. Je lui dirai : faites attention à l’ Écriture , qui est, selon vos meilleurs docteurs, le critère externe de la Révé

119 e lui attribue — Histoire qui est le produit de l’ écriture  ! Nul écrivain digne du nom qui ne soit par lui-même événement, et do

120 ou trois petits livres un peu trop parfaits par l’ écriture et la logique, et son autorité se fondait ailleurs : dans le style de

121 Rougemont Denis de, « À la fontaine Castalie », Écriture , Lausanne, 1969, p. 7-12.

122 r dans les médias audiovisuels et tactiles, qu’en écriture . Il en sera sans doute ainsi jusqu’à ce qu’un jour se constitue une é

123 xemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’il n’y a pas un juste, pas même un seul » et que pourtant il dev

124 e lui attribue — Histoire qui est le produit de l’ écriture  ! Nul écrivain digne du nom qui ne soit par lui-même événement, et do

125 de reconstituer l’innocence de mes débuts dans l’ écriture . Écrire est une démangeaison que l’on calme en grattant du papier. C

126 ge bien défini, pour tel objet tout extérieur à l’ écriture , et qui ne dépend nullement du processus de la pensée en train de se

127 -tu ? Je l’ignore et j’y vais ! J’y vais par l’ écriture , qui est ma manière d’enregistrer la poésie dans l’existence. Un pays

128 écrire (idéalement). J’aurai touché à la fin de l’ écriture , ou mieux, j’aurai rejoint ma fin, qui est de me former sur une pensé

129 qui est de me former sur une pensée vécue dans l’ écriture . Au terme de mes livres, où figure le mot fin et juste au-dessous de

130 rée dans l’ensemble en voie d’actualisation par l’ écriture des surprises qui le modifient, et qui vont donc modifier la valeur,