1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
1 out. Je ne sais si ce malicieux Gagnebin (non pas Elie ) pensait à quelqu’un lorsqu’il écrivit certains vers qu’on peut lire
2 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
2 ssés de la scène à coups de fouet par le prophète Elie . Puis les cantons personnifiés viennent discuter le renouvellement de
3 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
3 et voici son intéressante analyse de ce nombre. ( Elie Alta, Le Tarot égyptien, ou Etteilla restitué, Vichy, 1922.) On peut
4 son contexte) que selon Etteilla et son disciple Elie Alta, l’un corrigeant l’autre. 0 = 78 = (77) = 21 = 22 = (20) = 0. Te
5 peut le voir de plus d’une façon. A) Pays. Citons Elie Alta : Etteilla a composé un jeu dans lequel les figures des arcanes
6 xtaposées. Prenons l’exemple des lettres. D’après Elie Alta (et donc Etteilla), « les Égyptiens ont attaché à chaque carte d
7 nds. Le Fou, arcane 0 a) Interprétation d’ Elie Alta d’après Etteilla : Le grelot de la Folie s’adapte indistinct
8 ue de Fortune, arcane 10 a) Interprétation d’ Elie Alta, d’après Etteilla : La lettre Iod se rapporte à la plupart d
9 e : The Pictorial Key to the Tarot, London, 1922. Elie Alta (Gervais Bouchet) : Le Tarot Égyptien, Vichy, 1922. Oswald Wirth