1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 e corrige la mauvaise humeur que m’a donnée notre épicière . Car il faut bien, hélas, commencer par l’épicière, quand on aborde l
2 picière. Car il faut bien, hélas, commencer par l’ épicière , quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et
3 être accueilli par la réprobation sournoise d’une épicière . Ennui de traverser le village, quand on se sent observé derrière les
4 serrement ? 4 décembre 1933 Ma gêne quand l’ épicière voulait savoir ce que je fais, et dans vingt occasions pareilles : vo
5 ancs 50 : on ne me ferait plus de crédit chez les épicières , et j’en aurai sans doute besoin un de ces jours… 15 décembre 1933
6 tenir compte de l’existence du père Renaud, de l’ épicière , de M. Palut, de l’instituteur de Vendée, etc., etc. Au moins autant
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
7 r une pompe — électricité. Commerçants : boucher, épicier , charcutier, ferme — et docteur, boulanger. Moyens de communication :
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
8 e corrige la mauvaise humeur que m’a donnée notre épicière . Car il faut bien, hélas, commencer par l’épicière, quand on aborde l
9 picière. Car il faut bien, hélas, commencer par l’ épicière , quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et
10 être accueilli par la réprobation sournoise d’une épicière .   20 novembre Le bureau de poste. Trois mètres sur trois, et une gri
4 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
11 e corrige la mauvaise humeur que m’a donnée notre épicière . Car il faut bien, hélas, commencer par l’épicière, quand on aborde l
12 picière. Car il faut bien, hélas, commencer par l’ épicière , quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et
13 être accueilli par la réprobation sournoise d’une épicière . 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois, et gr
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
14 e corrige la mauvaise humeur que m’a donnée notre épicière . Car il faut bien, hélas, commencer par l’épicière, quand on aborde l
15 picière. Car il faut bien, hélas, commencer par l’ épicière , quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et
16 être accueilli par la réprobation sournoise d’une épicière . Ennui de traverser le village, quand on se sent observé derrière les
17 serrement ? 4 décembre 1933 Ma gêne quand l’ épicière voulait savoir ce que je fais, et dans vingt occasions pareilles : vo
18 fr. 50 : on ne me ferait plus de crédit chez les épicières , et j’en aurai sans doute besoin un de ces jours… 15 décembre 1933
19 tenir compte de l’existence du père Renaud, de l’ épicière , de M. Palut, de l’instituteur de Vendée, etc. Au moins autant que de
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
20 r une pompe — électricité. Commerçants : boucher, épicier , charcutier, ferme — et docteur, boulanger. Moyens de communication :
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
21 ssurer au détriment du nôtre à toutes ces ruses d’ épicier et tours de coupeur de bourse que l’on nommait autrefois politique et
8 1969, {Title}. Les chances de l’Europe : huit ans après (novembre 1969)
22 ’est une idée économique, un petit peu une idée d’ épicier  ! Il y a plus : il faut correspondre à la réalité de l’homme, qui est