1
tion d’un dominicain : « Formez des jeunes filles
assez
fortes pour pouvoir tout lire, et il n’y aura plus besoin de roman ca
2
le Paradis je ne sais quel relent de barbarie, un
assez
malsain goût du sang. Tout cela s’est purifié dans le Chant funèbre.
3
Gogh, depuis 1922. Il contient pourtant des vues
assez
neuves. M. Colin s’est contenté de narrer les faits de la vie de Vinc
4
il invente nous lasse quand elle ne l’étonne plus
assez
lui-même (pourtant l’autel et le surréalisme l’ont enrichie d’images…
5
oir autre chose dans ces « procédés », d’ailleurs
assez
peu choquants, que le revers de grandes qualités de réalisation d’idé
6
, désirs, et d’être vaincu sans bataille. On voit
assez
à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit qui n’util
7
instincts, ni de les améliorer 10. Tout ceci est
assez
nouveau. (Après tant de cocktails, quelle saveur a l’eau claire !) Qu
8
nnages un peu conventionnels et l’invraisemblance
assez
piquante de ses péripéties. Quel dommage que l’auteur l’ait alourdi d
9
étique du roman. Fernandez en formule une théorie
assez
proche du cubisme littéraire, et qu’il serait bien utile d’adopter, s
10
sacrifices sanglants. Pour ma part, je le trouve
assez
peu humain et comme obsédé par une idée de violence tonique certes, m
11
epte d’être séduit que pour « mieux comprendre »,
assez
« fidèle » à ses origines pour garder dans ses dépaysements un point
12
pas mieux abandonné à son sujet, d’un pathétique
assez
neuf. z. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Alfred Colling, L’Ir
13
s d’abord de s’indigner. Aujourd’hui, on les voit
assez
enchantés de l’affaire : « Gratuit ! », déclarent-ils chaque fois qu’
14
qualité des souvenirs qu’il me livre me renseigne
assez
exactement, non sur mon passé, mais sur le moment que je vis1. Il est
15
cents et significatifs ? Tous ces livres évoquent
assez
précisément la forme d’un entonnoir. La vie serait le liquide tourbil
16
naissance, le cas extrême d’un Crevel nous montre
assez
ce qu’il faut penser2. Il ne s’en suit pas que contenue dans des limi
17
Il ne s’en suit pas que contenue dans des limites
assez
étroites empiriquement fournies par le sens de son intérêt propre, un
18
prendre à ses propres mensonges ? Peut-être juste
assez
pour qu’ils vous aident3 — mais jamais au point d’oublier la vérité q
19
pelle une œuvre sincère est celle qui est douée d’
assez
de force pour donner de la réalité à l’illusion. (Max Jacob.) Un rôle
20
soit peu russes, et là, gidiennes. Il se connaît
assez
pour savoir ce qui est en lui de l’homme même, ou de l’amateur distin
21
du cœur qui contraste avec une vie voluptueuse et
assez
désordonnée. Pourtant, entre Montclar et Ameline, un amour se noue, q
22
ne. Que la composition de cette réminiscence soit
assez
facile et « artiste » on hésite à en faire reproche à l’auteur. Cette
23
te fait de distinguer les quelques préoccupations
assez
simples dont l’étude charme le psychanalyste. Je pourrais poursuivre
24
tâchant à prendre un accent anglais d’un comique
assez
macabre. Ses derniers sectateurs, désignant d’un doigt impitoyable so
25
de boulevards et parmi les toits flottants, c’est
assez
tragique. Mitrailleuse de phares d’auto, les 100 000 yeux de la nuit.
26
r dans les films de René Clair un sens du miracle
assez
bouleversant. Et je ne parle pas du miracle genre conte de fée, comme
27
serait-ce pas plutôt une sorte de donquichottisme
assez
fréquent dans les cafés littéraires et dont il serait le premier à s’
28
e désigner, veut nous l’imposer pour quelles fins
assez
basses, nous le savons… Mais pour Aragon, ce n’est point façon de par
29
usse, par exemple — parce que ce n’est pas encore
assez
révolution ; parce que cette révolution ne demandait qu’à s’asseoir e
30
Il disait : « Je suis né pour la mort. » Il fait
assez
beau pour que s’ouvre ce cœur de l’après-midi, comme un camélia de te
31
ers notre domaine artistique. Domaine à vrai dire
assez
singulier. Nos artistes, en effet, n’ignorent rien des courants les p
32
un peu pénible. Dans des bouquets d’une opulence
assez
désordonnée, des rouges trop violents éclataient avec un certain mauv
33
sûreté un peu traditionnelle, d’un style pourtant
assez
large et que n’entravait pas son scrupule réaliste. ⁂ Mais voici dans
34
ur et sans grâces, qui ne manque pas d’une beauté
assez
brutale, pour nous choquer et s’imposer pourtant. M. Lecache présente
35
uvai que 100 francs dans son sac à main : c’était
assez
pour me permettre d’entreprendre quelques beaux vols… » Dès lors, je
36
de découvrir certaines personnalités sous un jour
assez
particulier, très souvent ignoré d’elles-mêmes auparavant, et pas tou
37
e genre « révolté » prend une saveur de raillerie
assez
amère. Et peut-être apprendrez-vous à découvrir derrière certaines de
38
as à supprimer. Or, ils nous paraissent entraîner
assez
naturellement chez des jeunes « et qui pensent » ce goût de l’évasion
39
tier l’on a convenu de passer sous silence. C’est
assez
drôle de voir le malaise des chers confrères. Ils ne pardonnent pas à
40
Tous les malentendus viennent de là. Nous sommes
assez
sages et assez fous pour ne pas en gémir et pour en accepter les cons
41
tendus viennent de là. Nous sommes assez sages et
assez
fous pour ne pas en gémir et pour en accepter les conséquences. Et pu
42
r disciple du Bienheureux Jean… Et puis, en voilà
assez
pour ranimer la curiosité des plus blasés. Lecteur, fais confiance au
43
érament avec l’esprit de géométrie. Un scientisme
assez
insolent et les joyeuses révoltes de sa verve « interfèrent » en lui.
44
esprit, une pénétration de jugement et une ironie
assez
amère qui étonnent de la part d’une femme aussi femme que l’auteur du
45
(l’amour de Catherine pour un aviateur français)
assez
peu intéressante à vrai dire, parce qu’elle n’est pas à l’échelle de
46
r les sujets les plus divers. Les aphorismes sont
assez
révélateurs de la mentalité capitaliste américaine. Voici, par exempl
47
s trop dans ce que nous faisons et ne pensons pas
assez
aux raisons que nous avons de le faire. Tout notre système de concurr
48
ourrait citer un exemple individuel ? Nous savons
assez
en quel mépris l’homme d’affaires à l’américaine tient les choses de
49
la soirée, et cette promenade où il y avait juste
assez
de passants pour qu’on la sentît déserte ne me proposait qu’une frile
50
inte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends
assez
bien, ajouta-t-il, mais pour d’autres raisons qu’eux, probablement… À
51
l’étendent indéfiniment — c’est un ciel suspendu
assez
bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue
52
étant roi. Il offre ainsi l’image d’un romantisme
assez
morose ; mais à grande échelle. M. de Pourtalès a su rehausser le tab
53
nt deux tons fermes dont le jeu donne aux nuances
assez
troubles du personnage central une résonance plus profonde. Louis II,
54
s se soit borné à une courte nouvelle, d’ailleurs
assez
dense, et dont le mérite est d’être simple et précise dans l’exposé,
55
armi certains milieux d’avant-garde une confusion
assez
tragique, parce qu’elle constitue une tentation pour tous les poètes.
56
méfaits de l’instruction publique. C’est à peine
assez
pour indiquer leur ordre de grandeur ; à quoi je me bornerai. Il a pa
57
l est pratiqué dans nos collèges. Mon dessein est
assez
différent, moins philosophique et point du tout technique. J’apporte
58
es jésuites : du moins ceux-ci lui laissèrent-ils
assez
de verdeur d’esprit pour qu’il pût se dégager de leur empire. Mais on
59
and nombre de régents, ne laissent pas que d’être
assez
spéciales. Il arrive en effet que nos petits futurs grrrands citoyens
60
’aient point hésité à l’adopter, malgré ses ratés
assez
fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait
61
tistiques et ces journaux, il en restera toujours
assez
pour allumer des feux de joie, etc. Bon. Supposons tout cela fait. Re
62
invraisemblance de petites réformes. Mais j’en ai
assez
dit pour éviter ce malentendu : je ne crois pas à la possibilité d’un
63
sot que par un fou. » L’hiver dernier, m’occupant
assez
longuement d’un des poètes auxquels notre temps doit vouer l’attentio
64
e passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans doute
assez
profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne
65
n’est à personne paru l’année dernière — un livre
assez
troublant et qu’on a trop peu remarqué —, Jean Cassou revient à son r
66
e gros romans « bien faits ». Car il y a toujours
assez
de vérité dans une histoire où il y a de la poésie. az. Rougemont
67
méfaits de l’instruction publique. C’est à peine
assez
pour indiquer leur ordre de grandeur ; à quoi je me bornerai. Il a pa
68
l est pratiqué dans nos collèges. Mon dessein est
assez
différent, moins philosophique et point du tout technique. J’apporte
69
es jésuites : du moins ceux-ci lui laissèrent-ils
assez
de verdeur d’esprit pour qu’il pût se dégager de leur empire. Mais on
70
and nombre de régents, ne laissent pas que d’être
assez
spéciales. Il arrive en effet que nos petits futurs grands citoyens a
71
’aient point hésité à l’adopter, malgré ses ratés
assez
fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait
72
tistiques et ces journaux, il en restera toujours
assez
pour allumer des feux de joie, etc. Bon. Supposons tout cela fait. Re
73
invraisemblance de petites réformes. Mais j’en ai
assez
dit pour éviter ce malentendu : je ne crois pas à la possibilité d’un
74
ailleurs du contenu d’un nouvel humanisme, il est
assez
aisé de prévoir et de décrire une tentation qui le guette et à laquel
75
anc la place de Dieu. Mais où trouver les lévites
assez
purs pour garder vierge parmi nous — voici déjà tant de faux dieux —
76
viez médiocrement riantes, au premier coup d’œil,
assez
dénuées de ces effets faciles qu’on aime à ménager dans un jardin à l
77
modèle dans son atelier. Autour de cet incident,
assez
émouvant, on entrevoit la famille indignée, une mère qui souffre, un
78
ravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrade
assez
rapidement et se dissout dans une sentimentalité exquise, navrante. I
79
fantôme derrière nous claque la portière. Il fait
assez
froid. ⁂ Lorsque l’homme, cédant à l’évidence des choses ou de l’espr
80
en descendant le Grand Canal, — c’est une romance
assez
déchirante, à mi-voix… ..............................................
81
de Schiller. Romancer la vie de ces excessifs est
assez
bien vu ; mais tenter de leur opposer un effort digne de ce qu’ils fu
82
vec le monde. En quoi cette première question est
assez
indiscrète. II Il y aurait beaucoup à dire sur l’admiration dont cer
83
mouvants comme 93, mais où certaine bêtise trouve
assez
bien son compte. Et quant à l’orthodoxie instaurée par les surréalist
84
sèchent, vers une espèce de grande villa baroque
assez
décrépite, décor en pierre brune peu solide, rongé de petites roses c
85
e plate-forme dallée, surchauffée, entre des murs
assez
hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais la port
86
social ou futuriste, et dont la « furia » serait
assez
hongroise… Mais l’expression la plus libre et la plus vivante du géni
87
lte-face.) Quelle heure est-il ? La Lune se tient
assez
bien depuis un moment, c’est que la ligne est droite. Je ne sais plus
88
xpérience, conférait à tout le livre un caractère
assez
directement autobiographique. La philosophie de ce Garine, en effet,
89
t d’une volonté de puissance dont l’objet demeure
assez
incertain. Ce mystère qui entoure Perken durant tout le récit, au tra
90
ordre de toutes les races compose quelque chose d’
assez
hideusement provincial, au pire sens du terme. M. Nizan se refuse à m
91
’empêcher de penser que cette peinture d’Aden est
assez
faite pour y contribuer : si grande est en effet l’horreur que M. Niz
92
M. Malraux, Nizan, etc., ne laisse plus subsister
assez
d’idéal pour nourrir une révolution. Par là même, il postule une réal
93
oderne, clame-t-on de toutes parts aux chrétiens.
Assez
parlé de Vérité, ce sont des réussites qu’il nous faut. Saluons enfin
94
protestant » conforme à une doctrine, mais un art
assez
purement évangélique pour transcender la confession qui lui a permis
95
nts de plénitude dans la contemplation de sommets
assez
rares. Personne, à notre connaissance, ne s’était risqué jusqu’ici da
96
rt individuel et désintéressé, un constructivisme
assez
austère, mais stimulant, et qui mène à la joie… C’est un thème très «
97
proie de désirs divergents qui prennent rarement
assez
de violence pour nous déchirer jusqu’au salut, et dont la composante
98
els nous pardonnons souvent d’être des romanciers
assez
ternes, pour le plaisir que par ailleurs ils donnent à notre intellig
99
de « protestants par tradition », pourtant cache
assez
mal la faiblesse d’un compromis foncier. Le fort est celui qui refuse
100
refuse la louange approximative. Nous ne saurions
assez
nous garder d’accepter des adhésions qui vont aux produits déviés de
101
n grande partie responsables ? Nous montrons-nous
assez
soucieux de nous désolidariser de certaines formes de pensée ou d’act
102
e chrétien ? En particulier, sommes-nous toujours
assez
conscients des fondements de notre foi pour récuser, dans « l’esprit
103
ôme Cardan, l’on en trouve dans toutes ses œuvres
assez
de signes irrévocables pour n’avoir plus besoin de solliciter les bio
104
que mes malaises viennent de ne m’être pas figuré
assez
tôt que nous sommes à l’Occident. » L’Occident, c’est l’Esprit incarn
105
comme purement symboliques, et, au fond, il m’est
assez
indifférent d’avoir fait des pots ou des assiettes »10. Si tout de mê
106
s ! L’explosion sera retardée si vous m’aimez
assez
on peut conserver quelque espoir à condition de ne plus dire un
107
ore une fois, consiste à envelopper la violence d’
assez
de mensonges pour que le bourgeois ne se rende plus compte de sa resp
108
combe, dès maintenant, de préparer une Révolution
assez
totale, pour que de telles erreurs n’y puissent trouver place. Rappel
109
Russie de Staline ; il adopte enfin une position
assez
voisine de celle de MM. Aron et Dandieu, sans aller jusqu’à prôner co
110
t pourquoi. Ce que nous devons faire est toujours
assez
simple, est toujours évident dès que nous possédons le courage de le
111
era capable d’entraîner les masses. Mais en voilà
assez
, n’abusons pas des vérités premières, encore que la pensée bourgeoise
112
alors qu’Alexandre est tout de même un phénomène
assez
bouleversant. Klaus Mann a raconté cette histoire avec beaucoup de gr
113
fitable autant que vulgaire, prend l’aspect d’une
assez
prétentieuse modestie. Comment, après cela, l’auteur du Paysan du Dan
114
ité pour lui étant ce qui s’impose, il la confond
assez
naturellement avec ce qu’il impose. Confusion liée au mouvement le pl
115
. Son mensonge devient vérité dès qu’elle le veut
assez
puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse, parce qu’ell
116
la soirée, et cette promenade où il y avait juste
assez
de passants pour qu’on la sentît déserte ne me proposait qu’une frile
117
inte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends
assez
bien, ajouta-t-il, mais pour d’autres raisons qu’eux, probablement…
118
l’étendent indéfiniment — c’est un ciel suspendu
assez
bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue
119
je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette,
assez
absente encore pour ressembler vraiment à son image. Je m’éloigne, je
120
, je bois une menthe à son souvenir. Si je buvais
assez
il serait là. En attendant, les autres s’en vont ou disparaissent on
121
vers une espèce de grande villa ou palais baroque
assez
décrépit, un décor en pierre brune peu solide, rongé de roses Crimson
122
ne plate-forme dallée, surchauffée entre des murs
assez
hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais la port
123
social ou futuriste, et dont la « furia » serait
assez
hongroise… Mais l’expression la plus libre et la plus vivante du géni
124
lte-face.) Quelle heure est-il ? La Lune se tient
assez
bien depuis un moment, c’est que la ligne est droite. Je ne sais plus
125
sot que par un fou. » L’hiver dernier, m’occupant
assez
longuement d’un des poètes auxquels notre temps doit vouer l’attentio
126
e passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans doute
assez
profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne
127
teur suédois et le mage d’Einsiedeln représentent
assez
bien à eux deux, par un hasard qui ne m’étonne guère, ce double mouve
128
ison, et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours
assez
, à l’époque de ma mort, pour supporter ces frais ; à tout le moins, l
129
éril d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus
assez
pour se rendre compte de la décadence de leurs rêves et des possessio
130
ravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrade
assez
rapidement et se dissout dans une sentimentalité exquise, navrante. I
131
fantôme derrière nous claque la portière. Il fait
assez
froid. ⁂ Lorsque l’homme, cédant à l’évidence des choses ou de l’espr
132
en descendant le Grand Canal, — c’est une romance
assez
déchirante, à mi-voix. 20. Depuis lors a paru Samsara — un beau liv
133
ers. Remercions Candide d’avoir poussé les choses
assez
loin pour que la seule « réaction » possible de tout ce qu’il y a d’h
134
laideur pauvre et presque abstraite qui symbolise
assez
bien le régime. Quatre gaillards en uniforme, vautrés sur un banc qui
135
er à aucune révolution. L’iconoclaste est un type
assez
pur de révolutionnaire. Nous ne pouvons être ni conformistes — les or
136
véritable acte de présence à la misère du siècle,
assez
nouveau parmi les intellectuels, et si violemment accentué qu’il peut
137
ité pour lui étant ce qui s’impose, il la confond
assez
naturellement avec ce qu’il impose. Confusion liée au mouvement le pl
138
. Son mensonge devient vérité dès qu’elle le veut
assez
puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse, parce qu’ell
139
je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette,
assez
absente encore pour ressembler vraiment à son image. Je m’éloigne, je
140
vers une espèce de grande villa ou palais baroque
assez
décrépit, un décor en pierre brune peu solide, rongé de roses crimson
141
e plate-forme dallée, surchauffée, entre des murs
assez
hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais la port
142
social ou futuriste, et dont la « furia » serait
assez
hongroise… Mais l’expression la plus libre et la plus vivante du géni
143
lte-face.) Quelle heure est-il ? La Lune se tient
assez
bien depuis un moment, c’est que la ligne est droite. Je ne sais plus
144
sot que par un fou. » L’hiver dernier, m’occupant
assez
longuement d’un des poètes auxquels notre temps doit vouer l’attentio
145
e passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans doute
assez
profondément pour qu’aujourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne
146
teur suédois et le mage d’Einsiedeln représentent
assez
bien à eux deux, par un hasard qui ne m’étonne guère, ce double mouve
147
ison, et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours
assez
, à l’époque de ma mort, pour supporter ces frais ; à tout le moins le
148
e je savais qui allait m’écrire, et que j’avais d’
assez
bonnes chances de deviner juste. Mais je n’ai rien deviné du tout, pu
149
éril d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus
assez
pour se rendre compte de la décadence de leurs rêves et des possessio
150
çaises et une anglaise. Voilà peut-être un résumé
assez
fidèle des influences sociales, culturelles et religieuses, qui s’exe
151
n, dit l’époque, non sans irritation. Une science
assez
récente, mais déjà démodée, pensa réduire l’orgueil humain en plaçant
152
st-il Français, de F. Sieburg, donneront une idée
assez
juste du genre. Son succès en Allemagne remonte aux premières années
153
ne force positive contre une force de même ordre.
Assez
de cette « politique chrétienne » où l’on embarque une prétendue foi
154
ristianisme, n’est-ce donc qu’un conflit d’amour,
assez
touchant ? Est-ce à celui qui soignera le mieux cet homme que l’on s’
155
ement dépourvue malgré ses velléités de fantaisie
assez
relâchée. En quelques touches un peu bourrues, un peu précieuses, il
156
face d’une Russie dont le dynamisme juvénile est
assez
puissant pour animer la plus sclérosée des doctrines étatistes, la Fr
157
es sensibles. C’est un état d’âme qui caractérise
assez
bien le monde moderne, le monde des hommes sans responsabilité et san
158
ous nos mots. Je voudrais simplement en avoir dit
assez
pour qu’il soit inutile d’insister davantage sur ce fait : nos dialec
159
e devraient. Ils nous montrent une jeunesse russe
assez
peu marxiste, mais encore moins révolutionnaire. Saine, orgueilleuse,
160
té humaine. ⁂ Ces considérations peuvent paraître
assez
arides, et curieusement abstraites, s’agissant du concret par excelle
161
e l’absence obsédante de la guerre. Tout cela est
assez
connu, mais peu de personnes en tiennent compte. Si nous le répétons,
162
votre compte, la classe ou la race vous importent
assez
peu. Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’incroyants, de
163
ulièrement de ce personnage égoïste et, en somme,
assez
lâche, qu’on appelle l’individu. Il faut aller plus loin : les mythes
164
er son prochain, c’est bien vague, cela me paraît
assez
sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon Samari
165
ai que Calvin sut parler un langage d’une verdeur
assez
peu sorbonnique. Max Dominicé ne sera pas le dernier à souhaiter avec
166
s un bateau « qui dérive au gré de l’eau ». Image
assez
frappante de l’homme qui conclut avec le monde une paix honteuse. Il
167
is d’idées, et même d’idées générales, ce qui est
assez
paradoxal dans une telle œuvre. Le sujet de Taille de l’Homme, c’est
168
ffirmer matérialiste. La position de Ramuz paraît
assez
voisine de celle de Berdiaev. Tous deux considèrent le marxisme comme
169
fait en exil : « J’ai vécu, Monsieur, c’est bien
assez
! ». Ou bien le primum vivere se révèle imparfait ; il lui manque que
170
e renferme le mot. Ces quelques lignes décrivent
assez
bien le mouvement général de la critique de Scheler. À l’origine de t
171
ent pour esquiver les choix concrets. La démarche
assez
sinueuse, le titre un peu rebutant de cet essai, ne nous empêcheront
172
l’égard de la Réforme : d’où une série d’erreurs
assez
grossières sur Luther. 48. L’auteur entend : relativement à la possi
173
de notre personnalisme. Nous n’insisterons jamais
assez
sur ces constatations fondamentales. Toute la doctrine de l’Ordre nou