1
-t-il franchement. Il me semble bien paradoxal de
vouloir
unir dans une même philosophie la morale jésuite, faite de règles et
2
lles, et la morale des sports anglais, morale qui
veut
former des hommes maîtres d’eux-mêmes, c’est-à-dire libres. Et cela m
3
ifie son livre : « Ranimons ces horreurs pour les
vouloir
éviter, et ces grandeurs pour n’en pas trop descendre ». N’est-ce pas
4
empérament avec la réalité. Tantôt c’est l’un qui
veut
plier l’autre à sa violence — le Paradis —, tantôt c’est l’autre qui
5
érité » qui brûle dans son temple intérieur, s’il
veut
rester digne de son rôle et vraiment le coryphée d’une génération cas
6
e s’efforçait de donner raison aux 75 pages où il
voulut
nous persuader que tout poème doit être une dictée non corrigée du Rê
7
otif à l’admiration que tout le lyrisme dont on a
voulu
charger la « vie héroïque » de Vincent. M. Colin n’a pas cherché à ex
8
ieurs fous qui s’annulent », écrit-il. Ce fou qui
veut
être soi purement, qui veut éliminer de soi tout ce qui est déterminé
9
écrit-il. Ce fou qui veut être soi purement, qui
veut
éliminer de soi tout ce qui est déterminé par l’extérieur, — ce fou q
10
ait concentré la dynamite internationale qu’Ibsen
voulait
placer sous les arches de la vieille société », pour reprendre la pit
11
pas être… ». Mais les héros de Pirandello, s’ils
veulent
être, subissent, une fois qu’ils sont, le grand malentendu de la pers
12
d’ailleurs Mlle Simone Téry ne fait pas. Car elle
veut
éviter l’emballement et conserver dans l’admiration son sens critique
13
que le récit doit sauter quelques semaines. Qu’on
veuille
bien ne voir autre chose dans ces « procédés », d’ailleurs assez peu
14
l’enseignement de Jésus, telle est la pensée qu’a
voulu
restaurer le protestantisme. La place nous manque pour louer comme il
15
ragon, de ne plus rien attendre du monde, mais on
voudrait
que de moins de gloriole s’accompagnât votre ultimatum à Dieu. Mais,
16
er, absorbant son attention dans une sincérité si
voulue
qu’elle va parfois à l’encontre de son dessein. ⁂ Décidément nous som
17
; rééduquer les instincts du corps et de l’âme ;
vouloir
une foi… La morale de demain sera en réaction complète contre celle d
18
penser en fonction du temps présent, soit qu’ils
veuillent
en améliorer les conditions, ou les transformer totalement. — Alors,
19
al goethéen : au lieu de tout composer en soi, on
veut
tout cultiver, et en fait l’on se contente d’une violence, d’un vice,
20
ers du Mois, et peut-être Drieu la Rochelle, s’il
voulait
…) o. Rougemont Denis de, « Adieu, beau désordre… (Notes sur la jeun
21
vicieux, l’augmentation des salaires. Ce que nous
voulons
, c’est élever l’homme au-dessus de la plus dégradante condition, et n
22
peut tirer. L[e] malheur de Cocteau est qu’il se
veuille
poète. Il ne l’est jamais moins qu’en vers. Sa plus incontestable réu
23
cette école, et qu’il eut le tort à notre sens de
vouloir
illustrer de pédants exercices poétiques. Mais quelle intelligence, e
24
s quelle intelligence, et dont l’audace est de se
vouloir
plus juste que bizarre. Il sait bien d’ailleurs que les miracles les
25
s furent prétextes à me dissoudre, à me perdre. »
Vouloir
la vérité pure sur soi, c’est se refuser à l’élan vital qui nous crée
26
ous le plus beau soleil de printemps. Libre à qui
veut
d’y voir un symbole. On ne saurait exagérer l’importance des conditio
27
rai pas une foi, mais peut-être arriverai-je à la
vouloir
, et c’est le tout. S’il est une révélation, c’est en me rendant plus
28
ne corps à une faiblesse en la nommant ; or je ne
veux
plus de faiblesses4.) Et demain peut-être, agir dans le monde, si je
29
i je m’en suis d’abord rendu digne. L’époque nous
veut
, comme elle veut une conscience. Je fais partie d’un ensemble social
30
abord rendu digne. L’époque nous veut, comme elle
veut
une conscience. Je fais partie d’un ensemble social et dans la mesure
31
es dans une nuit froide. Les notes d’un chant qui
voudrait
s’élever. Puis enfin la marée de mes désirs. Qu’ils viennent battre c
32
’aujourd’hui. La « critique philosophique » qu’il
voudrait
inaugurer « ne se contenterait pas d’étudier les œuvres pour elles-mê
33
re, et qu’il serait bien utile d’adopter, si l’on
veut
éviter les confusions qui sont en train d’ôter sa valeur littéraire a
34
mar de soleil et de sang. On peut penser ce qu’on
veut
de ce paganisme exalté, tout ivre de la fumée des sacrifices sanglant
35
aussi ? Plutôt que d’oublier de vivre à force d’y
vouloir
trouver un sens, ne vaudrait-il pas autant s’abandonner parfois à ces
36
. » La place me manque pour parler comme j’aurais
voulu
le faire des deux autres parties du volume, d’une importance moins ac
37
més d’un repos sans rêves une langueur dont on ne
voudrait
plus guérir… Mais nous voyons la ville debout dans ses lumières. Arch
38
les tableaux dans le noir des musées ! — et si tu
veux
soudain le son grave de l’infini, pour être seul parmi la foule, lève
39
a Croisière indécise (décembre 1926)y L’auteur
veut
amuser en nous quelques idées graves en leur présentant les miroirs d
40
ans laquelle nous ne saurions aller, et qui, nous
voulons
l’espérer, ne sera pas sans leur donner quelque bénéfice en retour. C
41
es pas « une revue littéraire de plus » ; nous ne
voulons
pas être « l’expression de la jeunesse romande ». Nous sommes autre c
42
ien tirer quelque vertu d’une anarchie dont on ne
veut
pas avouer qu’elle est plus nécessaire — provisoirement — que satisfa
43
tes. Le contraire de la liberté. D’autre part, on
veut
donner à l’acte gratuit une valeur morale en disant qu’il révèle ce q
44
était venu y chercher quelque raison de vivre, il
voulait
se voir le plus purement (« cette curiosité donnée comme raison d’une
45
efficace — qui m’interdit de nommer ce dont je ne
veux
plus souffrir. (Car il n’est peut-être qu’une espèce de souffrance vé
46
s ce que je suis, mais ce que de toute mon âme je
veux
être !… 1. La véritable description de l’élan supposé dans le prem
47
d’impôts immédiatement supérieure à la leur. Ils
voudraient
que leur vie garantît un 5 % régulier de plaisirs, avec assurance con
48
ts sur mon lit, les cheveux dans les mains. Et je
voudrais
pouvoir pleurer sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain plein de
49
tain désespoir vaste et profond comme l’époque. «
Voulez
-vous des douleurs, la mort ou des chansons ? » On a l’hallucination d
50
agesse un peu sombre qui s’en dégage, sagesse qui
veut
« que nous appelions les âmes à la vie après seulement toutes les mor
51
ris, et d’ailleurs cela n’en vaut plus la peine. (
Veuillez
ne pas voir dans cette phrase quelque allusion de mauvais goût.) Je v
52
end « traquer l’inconnu ». Sa femme l’accuse de «
vouloir
faire admettre que la poésie consiste à écrire une phrase ». Et cette
53
le que Cocteau ait réalisé là exactement ce qu’il
voulait
. Et pourtant cette admirable machine ne m’inquiète guère : je sais qu
54
nquiète guère : je sais qu’elle le conduira où il
veut
, sans surprises. « Puisque ces mystères me dépassent, feignons d’en ê
55
es, suprême et inconsciente ruse d’un inquiet qui
veut
le rester ? Ces deux solutions peuvent se résumer en deux mots : inqu
56
toutes grandeurs au profit de fuites lâches qu’on
veut
nommer renoncements ! Jouant tout sur une révélation possible, ou la
57
rgueil des hommes croit pouvoir nous le désigner,
veut
nous l’imposer pour quelles fins assez basses, nous le savons… Mais p
58
même je récuse ici certain sens critique dont on
voudrait
que soient justiciables les œuvres d’un écrivain, les démarches de sa
59
l’incertain », c’est un académicien qui l’a dit.
Voulez
-vous me faire quelque chose là-dessus pour la Revue ? Mais plus tard,
60
ues à la raison ? Eh bien, c’est vous qui l’aurez
voulu
, mais tant pis, nous serons du Nord. Nous serons romantiques. Nous se
61
ne puis pardonner aux surréalistes : qu’ils aient
voulu
s’allier aux dogmatiques d’extrême gauche. Je ne dirai pas, comme on
62
encore pour demander à qui, enfin, à quoi nous en
voulons
, et finalement nous écraser par l’évidence définitive de notre absurd
63
n a conservé la graphie de l’original, sans doute
voulue
par l’auteur.
64
lui aussi — me rendre seul et sans argent. Je ne
voulais
pas le retenir, Je ne pouvais pas le suivre. On dit de ces phrases. M
65
s d’incompréhension que de timidité. ⁂ On ne m’en
voudra
pas de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’enfance géniaux et
66
individu pieds et poings liés à l’obsession qu’il
voulait
avouer pour s’en délivrer peut-être. Cette sincérité ne serait-elle à
67
éveillés, entre deux gorgées d’un élixir dont il
voudrait
bien nous faire croire que le diable est l’auteur. Beaucoup d’oiseaux
68
geais justement à un sourire de mon amie quand il
voulut
m’adresser la parole après un silence vertigineux. Il vit mon sourire
69
ur, pour critiquer les modalités de ma vengeance.
Veuillez
ne voir dans la confusion où je parais être engagé, du plan moral ave
70
: lui seul connaît l’adresse de Patsy, mais il ne
veut
pas vous la donner. Alors pour vous venger, vous lui dites que, « d’a
71
érature qui est en nous (dangereuse tant que vous
voudrez
). Mais ce refus n’est pas seulement comme vous pensez, d’une ingratit
72
s ou grossières de tous ceux qui ne peuvent ou ne
veulent
y voir que révoltes contre leurs morales, ou menaces pour leurs insta
73
d a ses idées, ou la philosophie de ceux qui n’en
veulent
pas Nous avons dit tout à l’heure quel fut le but de la vie de For
74
ue Ford a mieux à faire que de philosopher. Je le
veux
. Mais si j’insiste un peu sur ses « idées », c’est pour souligner ce
75
Si l’Esprit nous abandonne, c’est que nous avons
voulu
tenter sans lui une aventure que nous pensions gratuite : nous avons
76
qu’une attitude réactionnaire qui consisterait à
vouloir
en revenir à la période préindustrielle soit autre chose qu’une échap
77
es autres, divertissant et spirituel. Pourquoi ne
veut
-on voir en Jules Verne qu’un précurseur ? Jules Verne est un créateur
78
blement soumis la science à la poésie. Et l’on ne
veut
voir que jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus grand créate
79
ion d’une angoisse que le nihilisme de M. Malraux
veut
sans issues : l’angoisse que fait naître au cœur du monde contemporai
80
Louis II n’est ni aussi pure ni aussi rare qu’on
voudrait
l’imaginer. Il reste qu’il a voulu la vivre et qu’il l’a pu, étant ro
81
rare qu’on voudrait l’imaginer. Il reste qu’il a
voulu
la vivre et qu’il l’a pu, étant roi. Il offre ainsi l’image d’un roma
82
t à n’en pas finir. Quand il est très fatigué, il
veut
voir encore cette fatigue dans son regard : appuyé sur lui-même il se
83
avec une sorte d’angoisse qu’il la recherche. Il
veut
se voir tel qu’il est parmi les autres. Mais s’il lui arrive de prend
84
s. Stéphane est en train de se perdre pour avoir
voulu
se constater. Va-t-il découvrir aussi qu’on ne comprend que ce qu’on
85
ement, il ne sait plus aimer. (Ces jeunes gens ne
veulent
pas se fatiguer pour rien.) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie,
86
x, parce que les autres auront fait juste, et qui
voudrait
bien pleurer, et qui recommence à gratter son ardoise où sèchent des
87
J’ai fait allusion au lieutenant-instituteur qui
veut
faire de la pédagogie avec sa section. L’instituteur-lieutenant qui v
88
gie avec sa section. L’instituteur-lieutenant qui
veut
traiter militairement ses élèves témoigne de la même maladresse profe
89
drai peut-être sur ce point. Pour l’instant je ne
veux
que décrire l’école telle qu’on la voit. Après les personnes, le déco
90
estion oiseuse et saugrenue, — naïve. Le bon sens
voudrait
que l’on tînt compte des possibilités d’adaptation de l’enfant ; de l
91
des résultats actuels d’une science. Le bon sens
voudrait
qu’on étudie d’abord la science dans sa réalité, puis qu’on se réfère
92
e au résumé comme à un aide-mémoire. Mais l’école
veut
qu’on commence par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête là.
93
sécuter ceux qui, en quelque manière que ce soit,
voudraient
« se distinguer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette express
94
ulgaires ? L’idéal du bon élève Le bon sens
voudrait
que le bon élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain
95
e bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école
veut
que partout la valeur cède le pas à la règle. Elle cherche à développ
96
ologie infantile. Où il y avait non-science, on a
voulu
apporter de la science. Mais c’est un art qu’il faudrait. Sinon l’on
97
ais l’enfant-cobaye vaut l’enfant-citoyen. Moi je
voudrais
l’enfant tout court. Or il paraît que c’est très dangereux. Néanmoins
98
isable. Ici, je demanderai poliment au lecteur de
vouloir
bien ne point trop faire la bête, sinon je me verrai contraint de lui
99
oins flagrante, dans ses suites normales. Je n’en
veux
pas d’autre preuve que l’état grotesquement arriéré de notre instrume
100
rendre à des théories non point fumeuses comme le
veut
le cliché, mais schématiques. Or l’École radicale ne peut pas être id
101
ment » quantitatif de ceux qui s’y livrent. Je ne
veux
pas me poser ici en défenseur des vertus patriarcales. Mais je m’adre
102
s toutes ses formes, traduit tout en relations et
veut
rendre toutes relations conscientes, c’est-à-dire, pour lui, calculab
103
prochons de ce temps. Et que le véritable progrès
veut
qu’on s’attaque à tout ce qui entrave cet avènement. C’est pourquoi j
104
bien précis, on triomphe grossièrement. J’aurais
voulu
vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la pl
105
’instruction publique. Ils peuvent dire ce qu’ils
veulent
à propos de n’importe quoi, comme on sait, et ils auraient là l’occas
106
ésé dans un de ses droits fondamentaux. Le peuple
veut
s’instruire et on lui bourre le crâne pour l’en empêcher. Il s’agit d
107
que spirituelle. Et puis, qu’il en fasse ce qu’il
voudra
. Les Orientaux appellent yoga cette culture des facultés physiques, i
108
i pratique son yoga à lui : toutes les fois qu’il
veut
obtenir une grande intensité avec un minimum de moyens. J’en citerai
109
’applique généralement. Ces gens-là diront que je
veux
militariser l’enseignement ou transformer les collèges en couvents. T
110
e chose comme l’instruction privée : et moi je la
voudrais
secrète. Vous verrez bien. Cela se fera sans vous. Déjà revient le te
111
incu l’on a répété dans une ballade fameuse « Que
voulez
-vous, je suis bourgeois ! », l’on peut se permettre quelques malices,
112
cordes, c’est vraiment l’image de son âme ; j’ai
voulu
attirer là-dessus l’attention du médecin, mais il est plus difficile
113
. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où il
veut
. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle
114
n, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement
vouloir
se marier… » — Et puis plus tard on encadre les lettres des amants, o
115
hrase la plus malencontreuse de Pascal : le « Qui
veut
faire l’ange… » a autorisé des générations de « bourgeois cultivés »
116
nt aux dernières pages du livre, un peu amers… On
voudrait
un livre de Cassou qui ne serait fait que de ces intermèdes ; pur de
117
us une question aussi centrale — qui est, si l’on
veut
, la question d’Orient-Occident. Et pourquoi cette hostilité de sectai
118
défense contre ses adversaires de tous bords. Je
voudrais
souligner seulement la beauté de l’effort désintéressé de Julien Bend
119
t lui dire ses amis, — l’orgueil t’aveugle-t-il ?
Veux
-tu conserver, ô cruel, des ailes qui donnent des rhumes à ton grand-p
120
x, parce que les autres auront fait juste, et qui
voudrait
bien pleurer, et qui recommence à gratter son ardoise où sèchent des
121
J’ai fait allusion au lieutenant-instituteur qui
veut
faire de la pédagogie avec sa section. L’instituteur-lieutenant qui v
122
gie avec sa section. L’instituteur-lieutenant qui
veut
traiter militairement ses élèves témoigne de la même maladresse profe
123
drai peut-être sur ce point. Pour l’instant je ne
veux
que décrire l’école telle qu’on la voit. Après les personnes, le déco
124
estion oiseuse et saugrenue, — naïve. Le bon sens
voudrait
que l’on tînt compte des possibilités d’adaptation de l’enfant ; de l
125
des résultats actuels d’une science. Le bon sens
voudrait
qu’on étudie d’abord la science dans sa réalité, puis qu’on se réfère
126
e au résumé comme à un aide-mémoire. Mais l’école
veut
qu’on commence par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête là.
127
sécuter ceux qui, en quelque manière que ce soit,
voudraient
se « distinguer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette express
128
res ? 3.g. L’idéal du bon élève Le bon sens
voudrait
que le bon élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain
129
e bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école
veut
que partout la valeur cède le pas à la règle. Elle cherche à développ
130
ologie infantile. Où il y avait non-science, on a
voulu
apporter de la science. Mais c’est un art qu’il faudrait. Sinon l’on
131
is l’enfant-cobaye vaut l’enfant-citoyen. Moi, je
voudrais
l’enfant tout court. Or il paraît que c’est très dangereux. Néanmoins
132
isable. Ici, je demanderai poliment au lecteur de
vouloir
bien ne point trop faire la bête, sinon je me verrai contraint de lui
133
oins flagrante, dans ses suites normales. Je n’en
veux
pas d’autre preuve que l’état grotesquement arriéré de notre instrume
134
endre à des théories non point fumeuses, comme le
veut
le cliché, mais schématiques. Or l’École radicale ne peut pas être id
135
ment » quantitatif de ceux qui s’y livrent. Je ne
veux
pas me poser ici en défenseur des vertus patriarcales. Mais je m’adre
136
s toutes ses formes, traduit tout en relations et
veut
rendre toutes relations conscientes, c’est-à-dire, pour lui, calculab
137
prochons de ce temps. Et que le véritable progrès
veut
qu’on s’attaque à tout ce qui entrave cet avènement. C’est pourquoi j
138
bien précis, on triomphe grossièrement. J’aurais
voulu
vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la pl
139
’instruction publique. Ils peuvent dire ce qu’ils
veulent
à propos de n’importe quoi, comme on sait, et ils auraient là l’occas
140
ésé dans un de ses droits fondamentaux. Le peuple
veut
s’instruire et on lui bourre le crâne pour l’en empêcher. Il s’agit d
141
que spirituelle. Et puis, qu’il en fasse ce qu’il
voudra
. Les Orientaux appellent yoga cette culture des facultés physiques, i
142
i pratique son yoga à lui : toutes les fois qu’il
veut
obtenir une grande intensité avec un minimum de moyens. J’en citerai
143
’applique généralement. Ces gens-là diront que je
veux
militariser l’enseignement ou transformer les collèges en couvent. Ta
144
e chose comme l’instruction privée : et moi je la
voudrais
secrète. Vous verrez bien. Cela se fera sans vous. Déjà revient le te
145
Fais rentrer dans leur peau d’ombre ces mots qui
voudraient
fleurir tourne le dos ferme les poings ne fais qu’un ou deux pas qu
146
t la France c’est la Chambre des Députés, je n’en
veux
pas démordre, et la Légion d’honneur — je vous la laisse, la Légion d
147
gne une doctrine en vérité moins généreuse que ne
veut
le croire M. Gide, — si pareil entre les griffes de son égoïsme à la
148
a bien quelques outrances dans tout ceci. Mais je
voudrais
que s’en offusquent ceux-là seuls que l’outrancière habileté contempo
149
tout. Plutôt donc que de discuter ces thèses, je
voudrais
suivre leurs prolongements au-delà — au-dessous — de leurs prétextes.
150
ache ou qu’il ignore que la grâce seule permet de
vouloir
… C’est Nietzsche, et quelque chose par-dessus, tout de même… Mais cec
151
de même la grandeur d’un Ramuz, dont Beausire ne
veut
voir que le maniérisme, non la substance. q. Rougemont Denis de, «
152
pas l’être ? Mais je crois que les pacifistes qui
veulent
assurer la paix par la mutilation des passions sont disciples d’Origè
153
-dessus de lui-même, s’élever aussi loin qu’il le
veut
. On peut tomber dans la hauteur tout comme dans la profondeur ». Comm
154
’élever au-dessus de lui-même aussi loin qu’il le
veut
». Mais Hölderlin est sans doute d’une constitution trop faible pour
155
es bribes de phrases… Or, si comme je le crois et
voudrais
l’établir plus longuement, le sens des poèmes de la maturité de Hölde
156
n monde, au bord extrême de l’Europe. Le hasard a
voulu
que j’y entende, un soir, une présentation de musiques hongroises, tu
157
et me voici plus seul, avec une nostalgie qui ne
veut
pas de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste. I
158
mmuniste. Le cas Malraux, — le cas Perken si vous
voulez
. Les personnages de M. Malraux se ressemblent dans le souvenir du lec
159
erté est un pouvoir réel et une volonté réelle de
vouloir
être soi. Ayant ainsi esquissé ses positions éthiques, l’auteur part
160
it aucune correction à faire ». D’ailleurs, il ne
veut
pas poétiser le tableau, car, pour lui, « être poétique, c’est avoir
161
. Je répondrai tout d’abord que c’est ou que cela
veut
être l’Esprit de tout le monde ; et nous savons depuis Platon ce que
162
hissement et de la plus héroïque résistance, nous
voulons
aller de l’avant, nous n’avons pas peur d’essayer vers la beauté de n
163
ous les sujets chrétiens ! C’est bien là que nous
voulions
en venir : le dogme ne doit être qu’un stimulant (une difficulté) non
164
technique dans le fait qu’aujourd’hui les masses
veulent
conquérir des biens spirituels et matériels réservés autrefois à ceux
165
ar l’effort de discipline qu’elles exigent de qui
veut
les vaincre, c’est un classicisme héroïque qu’elles inspirent. Ce thè
166
intimider Eiichi. Eiichi garda le silence ; il ne
voulait
pas se laisser aller à la colère comme le Procureur. Au contraire, il
167
ontractait et ses lèvres étaient pâles. — Comment
voulez
-vous renverser l’état social actuel, si ce n’est par une révolution ?
168
sincérité de ce récit qu’il faut revenir, si l’on
veut
d’un mot le caractériser. Parmi les innombrables sentiments : doutes,
169
cela ne saurait être sans fruits. 24. Ceux qui
veulent
assimiler christianisme et capitalisme feraient bien de ne pas perdre
170
t la rançon. (Divers, p. 75.) Ces quelques notes
voudraient
marquer une réaction toute personnelle provoquée par la dernière « ma
171
s et les honnêtes gens.) Ensuite, parce que je ne
veux
pas me laisser entraîner sur le terrain purement moral ou immoral où
172
s si « mauvais » qu’on l’a dit, — ou qu’il a bien
voulu
s’en donner l’air — je suis prêt à le concéder au-delà de ce qu’il es
173
n’est plus qu’une impudeur raffinée. « Celui qui
veut
sauver sa vie la perdra, mais celui qui veut la perdre la rendra vrai
174
qui veut sauver sa vie la perdra, mais celui qui
veut
la perdre la rendra vraiment vivante », répète inlassablement M. Gide
175
Gide25. Seulement, celui qui, de propos délibéré,
veut
perdre sa vie, et non pas pour Christ, mais pour la rendre vraiment v
176
mais de faire la volonté de Dieu. Et ce que nous
voulons
ce ne sont pas des exemples édifiants, mais des témoignages de respon
177
emarquons le tour qu’il adopte : « mais celui qui
veut
la perdre… » n. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] André Gide ou
178
re surpassé, vit dans la démesure, et lorsqu’il «
veut
prendre mesure de lui-même, il se sent aussitôt incomplet et coupable
179
insensées, mais comme des baisers dans l’air. Je
voudrais
vous poser une question, Sonnette. Une question très grave. Une quest
180
le qu’une véritable préméditation — où l’on n’eût
voulu
voir qu’une pudeur — lui fait éviter toute allusion chrétienne, au po
181
au point qu’en tels endroits où la vraisemblance
voudrait
que le nom de Dieu fût invoqué (je pense au testament de la mère par
182
pourtant de notre force de conquête. Que nous le
voulions
ou non, en fait, sinon toujours en droit, l’héritage intellectuel du
183
ler le dilemme sociologie-métaphysique ou si l’on
veut
marxisme-christianisme, qui se trouve être le dilemme urgent de l’heu
184
en retiendra qu’un dans ces pages, celui que l’on
voudrait
nommer l’a priori éthique. Kierkegaard, après avoir formulé la « mons
185
éaction éthique, c’est-à-dire une réalisation. On
veut
faire voir par ces exemples qu’il ne s’agit nullement d’« application
186
ne s’agit nullement d’« applications », comme le
voudrait
le vocabulaire du xixe , mais d’incarnation de la pensée. Ni moralism
187
it enfin brisé s’abandonne comme on oublie, à tel
vouloir
qu’il concevait, mais redoutait, et qui devient alors notre sang et n
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récisément cette défense a réussi. Par contre ils
veulent
bien voir la révolte chez ceux-là qui la crient, et la magie chez ceu
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n’est-elle point faussée par un état d’esprit qui
voudrait
que l’on considère ces deux hommes avant tout comme des écrivains ? C
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it de cet ordre puisse être tenu pour crucial, je
veux
croire qu’on ne le contestera pas. Mais ce qu’on voudrait dire mainte
191
delà » des conditions de vivre. Mais notre époque
voudra-t
-elle encore de ces évasions ? Elle les reproche au christianisme, ave
192
s non est tempus sine fine, sed nunc stans). Elle
veut
cette vie-ci. Et tout le reste, qu’elle soit marxiste ou nietzschéenn
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us juge, et la grandeur humaine de Goethe. Et qui
voudrait
les opposer ? Que signifierait un choix dont l’opération resterait pu
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ambiguïté, c’est du paradoxe détendu ; ou si l’on
veut
, c’est une contradiction intérieure dont les deux termes, faute d’êtr
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ntendu du grand public, et c’est pourquoi l’on ne
voudrait
pas reprocher à M. Duhamel d’avoir adopté pour cette fois un style co
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de voir un esprit de cette qualité, et qui certes
veut
être honnête, se complaire expressément dans une hargne tempérée de b
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eoisie est un mensonge. Car, dans la mesure où il
veut
être effectif, il doit accepter libéralement d’être radicalement supp
198
er faire à d’autres, et par d’autres, ce qu’il ne
voudrait
pas faire, ni subir. C’est-à-dire qu’il se décide pour la police cont
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e réfugie la lâcheté bourgeoise. M. Durand-Dupont
voudrait
bien que nous nous engagions ici dans une apologie philosophique de l
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à coups de marteau qu’à coups d’épingle. Ce qu’il
veut
dégonfler, c’est la philosophie avec grand P, la doctrine officielle
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à qui ? De toutes parts ce serait trahir. Si l’on
veut
agir sur l’époque, il faut d’abord avoir l’époque dans la peau ; c’es
202
ualisation. L’humanisme d’un homme de 1932 et qui
veut
vivre, au lieu d’amèrement languir, — c’est la Révolution. Mais quell
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d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et
vouloir
se trouve coupé de son origine vivante, flétri, dénaturé, inverti, sa
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ous avons publiée en tête du numéro 1. Le lecteur
voudra
bien s’y reporter. »
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s, et de Hegel une leçon révolutionnaire que nous
voulons
tirer des seuls faits qui nous pressent. Et dès lors toutes les tares
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de hors-d’œuvre ? — De la composition desquels il
voudrait
bien qu’on ne déduise pas celle des plats qui — peut-être — suivront.
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réel. Son mensonge devient vérité dès qu’elle le
veut
assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse, parce
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de l’âme : le péché n’est réel que pour celui qui
veut
s’en arracher. Toute délectation détruit son objet, et bientôt détrui
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éel, dans ce qu’il imagine ; aussi, dans ce qu’il
veut
. Il se sent moins porté à généraliser, et borne son désir à l’immédia
210
—, c’est le secret de votre bienveillance que je
voudrais
rechercher maintenant. Bienveillance — un mot des campagnes… Et ces p
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quation d’existence de l’âme allemande. Mais il a
voulu
que ses moments fussent successifs : c’était un moyen de la résoudre.
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magination de bien étranges spectacles ; pourquoi
veut
-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon, entre deux haut
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ain pend sur l’ébène, succombant à ses bagues. On
voudrait
que cela dure longtemps, on voudrait comprendre ce qui se passe… Mais
214
s bagues. On voudrait que cela dure longtemps, on
voudrait
comprendre ce qui se passe… Mais le poète referme son livre, plie ses
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on de sa musique. Les petites baronnes ont froid,
veulent
rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-cha
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ord extrême de l’Europe. Je ne sais quel hasard a
voulu
que j’y entende, un soir, une audition de musiques hongroises, turque
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et me voici plus seul, avec une nostalgie qui ne
veut
pas de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste.
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pas l’être ! Mais je crois que les pacifistes qui
veulent
assurer la paix par la mutilation des passions sont disciples d’Origè
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cordes, c’est vraiment l’image de son âme ; j’ai
voulu
attirer là-dessus l’attention du médecin, mais il est plus difficile
220
t et dont certains des plus purs d’entre nous ont
voulu
tenter le climat, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettin
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. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où il
veut
. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle
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n, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement
vouloir
se marier… » — Et puis plus tard on encadre les lettres des amants, o
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hrase la plus malencontreuse de Pascal : le « Qui
veut
faire l’ange… » a autorisé des générations de bourgeois cultivés à fa
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plus tard, il y eut un instant merveilleux que je
veux
noter ici. Le ciel est encore plus blanc, et la prairie s’embrume. So
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s stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous
voulez
—, tout encombré de larves et de systèmes qui ne correspondent à rien
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plis. Tant que je serai étendu dans la maison, je
veux
que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors, pendant
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et qu’on n’y regarde pas à quelques kilowatts. Je
veux
être mis en bière dans mes habits de tous les jours, et peu importe s
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fond de mon pantalon brillent. En aucun cas je ne
veux
être emballé dans une serviette de papier. Je renonce aux couronnes m
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autre marque extérieure de deuil ; par contre je
voudrais
que l’on joue sur ma tombe : Schon die Abendglocken klangen et ensuit
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t je n’ai même pas pu me faire les ongles… » Elle
voudrait
ressembler aux girls de son magazine, et me voit comme au cinéma. Moi
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fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ainsi
voudrais
-je un jour décrire ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une p
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te journée par une récréation bien méritée), nous
voulons
aller dormir. Ainsi, dormez bien, faites de doux rêves, — il cligne v
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temps n’est pas toujours le bon, si l’expression
veut
qu’il figure le contraire du « mauvais ». Les jours de pluie dans les
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n parmi les formes désirables du monde, lorsqu’il
veut
les connaître et les posséder dans sa force. Car la lenteur est chose
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deux ouvrières me regardent. Elle, sans doute, ne
veut
pas trop choisir, ni surtout me choisir, — va s’asseoir de l’autre cô
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sellier à la tête du Reich, et seuls les insensés
voudraient
lire ce qu’ils publient. Éducation L’obéissance militaire aux p
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gne une doctrine en vérité moins généreuse que ne
veut
le croire M. Gide, — si pareil entre les griffes de son égoïsme à la
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a loi de Dieu s’oppose à cette loi des hommes qui
veut
qu’on tue. Une décision se formule, peut-être pour la première fois,
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eulement manifesté sa vocation particulière —, on
voudrait
dégager ici quelques constatations dépourvues de subtilité. 1° L’ense
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païenne par excellence, celle de l’État-Dieu, qui
veut
l’obéissance aveugle… » 6° Il n’y a qu’un rapport de lâcheté entre le
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es. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à tous ceux qui
voudront
les entendre ; à ceux auxquels, peut-être mieux qu’à nous, il sera do
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au Malin, les autres — ou parfois les mêmes — de
vouloir
fonder dans ce monde un Royaume de Dieu qui pour capitale, plutôt que
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: la politique du pessimisme actif, — ou si l’on
veut
de l’activisme sans illusions. Et sa devise n’est autre que la maxime
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eras des dents sous le genou de ces démons que tu
veux
ignorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne veux parler ici que du princip
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ue tu veux ignorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne
veux
parler ici que du principe de notre politique ; il est bien clair qu’
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avance par un programme, si « chrétien » qu’on le
veuille
. Un certain nombre de compromissions nous sont à jamais impossibles :
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d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et
vouloir
se trouve coupé de son origine vivante, flétri, dénaturé, inverti, sa