1 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
1 à l’encasernement17. Je saute le chapitre sur les Affaires étrangères , qui sent son député radical. « Nous savons trop qu’au point où on a
2 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
2 des finances par un homme honnête ; et celui des Affaires étrangères par un homme qui connaisse la langue des pays voisins et l’esprit de
3 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
3 des finances par un homme honnête ; et celui des affaires étrangères par un homme qui connaisse la langue des pays voisins et l’esprit de
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
4 Pseudonyme d’Alexis Léger, secrétaire général des Affaires étrangères jusqu’en mai 1940, auteur d’Éloges, d’Anabase et de l’Exil. 13. Nou
5 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
5 t, il fut présenté à la réunion des ministres des Affaires étrangères des cinq pays signataires du pacte de Bruxelles. Le 18 août notre Mém
6 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Statut du Conseil de l’Europe (9 mai 1949)
6 onc d’être signés à Londres par les ministres des Affaires étrangères de dix pays démocratiques, ce n’est, je le répète, qu’un premier obje
7 comprend d’une part, un Conseil des ministres des Affaires étrangères , et d’autre part une Assemblée. Le Conseil des ministres doit siéger
7 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’atmosphère de Strasbourg (11 septembre 1950)
8 un Comité ministériel formé par les ministres des Affaires étrangères des États membres, et d’une Assemblée consultative de 125 députés, él
8 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — À Strasbourg (21 novembre l950)
9 ’Assemblée, le comte Sforza, ministre italien des Affaires étrangères , retrouvait par hasard dans les couloirs deux amis de son temps d’exi
9 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
10 t guère d’autres attributions que la conduite des Affaires étrangères et l’arbitrage entre cantons. Ses délibérations se voyaient constamme
10 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
11 té fut signé le 27 mai 1952 par les ministres des Affaires étrangères des six pays déjà liés par la Communauté du charbon et de l’acier, pl
11 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
12 échangés pendant la Conférence des ministres des Affaires étrangères , en octobre et novembre 1955, sur le sujet précis des relations cultu
12 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
13 ir de traiter en leur nom avec les ministères des Affaires étrangères des pays alliés. Voilà donc Retinger chargé d’une mission politique d
14 t chez Philippe Berthelot, secrétaire général des Affaires étrangères , qui lui signe une autorisation de quitter la France, et sur la foi d
15 ative de grouper périodiquement les ministres des Affaires étrangères des gouvernements en exil à Londres, pour discuter avec eux les persp
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
16 r des oreilles attentives et une aide rapide. Ces affaires étrangères sont devenues actuellement des affaires intérieures et on aime à tend
14 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
17 , et les Relations culturelles des ministères des Affaires étrangères contribuent aux échanges dans la mesure où ils peuvent répondre à des
15 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
18 la Suisse allemande : elle relevait en effet des Affaires étrangères , plutôt mal vues à cause de l’adjectif. Notre demande d’association a
16 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
19 et ses révisions successives. À la fédération les affaires étrangères , la représentation, la défense du pays, les douanes et la régie des g
17 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
20 la Suisse allemande : elle relevait en effet des affaires étrangères , plutôt mal vues à cause de l’adjectif. Notre demande d’association a
18 1965, Articles divers (1963-1969). La Suisse, maquette pour une Europe du bonheur (automne 1965)
21 ains attributs classiques de la souveraineté, les affaires étrangères , la défense, afin de sauvegarder leurs existences distinctes. On dit
19 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
22 er de tâches communes (telles que la défense, les affaires étrangères et la politique économique ou certaines recherches scientifiques) san
20 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
23 er de tâches communes (telles que la défense, les affaires étrangères et la politique économique, ou certaines recherches scientifiques) sa
21 1970, Articles divers (1970-1973). Ce que la Suisse peut apporter à l’Europe (19 mars 1970)
24 ions des hommes qui sont chargés notamment de nos affaires étrangères . c. Rougemont Denis de, « [Entretien] Ce que la Suisse peut appor
22 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
25 ous noterez que je ne parle pas de relations ou d’ affaires étrangères  : c’est un mot qu’il nous faut bannir du vocabulaire politique dans u
23 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
26 er de tâches communes (telles que la défense, les affaires étrangères et la politique économique ou certaines recherches scientifiques), sa
24 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Le mouvement européen
27 t, il fut présenté à la réunion des ministres des Affaires étrangères des cinq pays signataires du pacte de Bruxelles. Le 18 août notre Mem
25 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
28 vité. Là où l’information n’est qu’un service des Affaires étrangères , comme dans tous les pays de l’Est et l’Espagne, il y a totalitarisme
26 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. I. Pour une nouvelle définition du fédéralisme
29 er de tâches communes (telles que la défense, les affaires étrangères et la politique économique, ou certaines recherches scientifiques) sa
27 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
30 ous noterez que je ne parle pas de relations ou d’ affaires étrangères  : c’est un mot qu’il nous faut bannir du vocabulaire politique dans u
28 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
31 ayant cessé de correspondre essentiellement aux «  affaires étrangères  » de l’État-nation d’une part, et aux rivalités des partis d’autre pa
29 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Nos conclusions] (été 1972)
32 posée par un député aux ministres néerlandais des Affaires étrangères , de l’Intérieur, et des Affaires économiques, touchant la possibilité
30 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
33 uropéen entreprit de convaincre les ministres des Affaires étrangères de France, du Benelux, d’Italie et de Grande-Bretagne, et les convert
31 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
34 ne fédérale et de l’Autriche, trois ministres des Affaires étrangères et des Affaires européennes, le secrétaire général du Conseil de l’Eu
32 1994, Articles divers (1982-1985). URSS (1994)
35 es les compétences fédérales de l’Union (Défense, Affaires étrangères , etc.), les autres étant du ressort des « Commissaires du peuple fédé