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prises. C’est « par la divination de cet amour qu’
Alban
(le jeune héros du récit) sent ce que sent la bête en même temps qu’e
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oration ou en une véritable horreur sacrée. Voici
Alban
devant une bête qu’il devra combattre le lendemain : « Salaud, cocho
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tisme effarant, où Mithra, Jésus, les taureaux et
Alban
confondent leurs génies dans une sorte de cauchemar de soleil et de s
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c la vie. Ni métaphysicien, ni logicien, dit-il d’
Alban
— (de lui-même) — il n’« accroche » pas à ce qui est triste ou ennuye