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r O.-E. Strasser déclare que le sonnet publié par
Albert-Marie Schmidt
dans notre premier numéro « est bien la première poésie dialectique q
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Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par
Albert-Marie Schmidt
(octobre 1933)m Il est plaisant de voir un jeune auteur obtenir de
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ge. Il en révèle peut-être aussi certain défaut :
Albert-Marie Schmidt
domine trop constamment et trop aisément son sujet. Non point qu’il l
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éclairée et mondaine. La nouveauté de l’essai d’
Albert-Marie Schmidt
est d’avoir su déceler la corruption secrète de cet art trop parfait,
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viduelle et religieuse de ce fait trop actuel, qu’
Albert-Marie Schmidt
nous restitue au cours de son essai de critique exemplaire. m. Rou
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laire. m. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Albert-Marie Schmidt
, Saint-Évremond ou L’humaniste impur », La Nouvelle Revue française,
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0. Voir sur ce point : Colloque avec Salomon, par
Albert-Marie Schmidt
, dans la revue Hic et Nunc , n° 9-10. 71. Des études plus récentes
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oésie scientifique en France au xvie siècle, par
Albert-Marie Schmidt
(septembre 1939)aq Ronsard évoquant les démons, Maurice Scève spéc
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ience. aq. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Albert-Marie Schmidt
, La Poésie scientifique en France au XVIe siècle », La Nouvelle Revu
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nts — Roger Breuil, Henry Corbin, Roland de Pury,
Albert-Marie Schmidt
— seront consacrés à la défense et à l’illustration d’une théologie d
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avec Roger Breuil, Henry Corbin, Roland de Pury,
Albert-Marie Schmidt
. Les théologiens et philosophes qui nourrissaient notre pensée étaien
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de Baudry de Bourgueil, dont Régine Pernoud après
Albert-Marie Schmidt
fait grand cas, encore qu’on ne voie pas de rapport entre le génie no
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Hic et Nunc , où vont collaborer Henry Corbin et
Albert-Marie Schmidt
, et où j’expose ma « politique du pessimisme actif » dont j’ai trouvé