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ar la nécessité) la plus brûlante : Américains et
Allemands
chez nous. Laissons les Américains. Ils réussissent mal à nos satiris
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e « Français chez eux ». Mais lorsqu’il croque un
Allemand
, l’on doit reconnaître qu’il se surpasse et qu’il surpasse, mais il y
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niveau de jugement où nous place M. Hermann, tout
Allemand
a le crâne rasé, s’appelle Fritz, a volé des pendules et violé pour l
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aut tout de même que nos camarades de la jeunesse
allemande
, qui s’en inquiètent à juste titre, sachent ce que nous pensons des m
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sur elle pour attaquer le régime. L’exemple de l’
Allemagne
est pour le moment le plus frappant, mais tout porte à croire que l’A
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elle considérable sur le protestantisme de langue
allemande
. Alors qu’en France l’affirmation d’une foi religieuse personnelle fa
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à l’effort critique de la « théologie politique »
allemande
que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nunc , et dans certains
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ici fâcheusement. Iront-ils au-delà du romantisme
allemand
— qu’on est heureux pourtant de les voir découvrir, comme l’étymologi
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Kasimir Edschmid, Destin
allemand
(mai 1935)n Nous ne cesserons de protester ici contre la négligenc
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ité, voilà ce qui définit leur dernière dignité d’
Allemands
dans les tortures qu’un destin absurde leur réserve. « Il découvrit p
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sée, broyée, souffrante, et pourtant fière d’être
allemand
, de garder la tête haute pour l’Allemagne et de participer au destin
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e d’être allemand, de garder la tête haute pour l’
Allemagne
et de participer au destin qui lui était échu pour un temps. » Pour u
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lien. Et la haute statue de Pillau, le ministre d’
Allemagne
à La Paz — celui qui n’a pas pu sauver ses camarades — se dresse deva
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on les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes
Allemands
qui doivent supporter de nos jours toutes les misères du monde au fon
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peuple. » N’est-il point là le vrai tragique de l’
Allemagne
actuelle, que son destin la force à n’envisager plus le sort de l’hom
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nous la prochaine guerre pour lire dans ce Destin
allemand
l’un des secrets de notre destin à tous ? L’ostracisme de nos critiqu
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e livre — écrit par un juif ! — a été condamné en
Allemagne
. n. « Kasimir Edschmid, Destin allemand, Plon. Traduit de l’alleman
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mné en Allemagne. n. « Kasimir Edschmid, Destin
allemand
, Plon. Traduit de l’allemand par J. Benoist-Méchin », Esprit, Paris,
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mir Edschmid, Destin allemand, Plon. Traduit de l’
allemand
par J. Benoist-Méchin », Esprit, Paris, n° 32, mai 1935, p. 292-294.
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le ton des grandes utopies du premier romantisme
allemand
. Le style reste baroque (un rococo jésuite qui n’économise pas sur le
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t déjà une nation. Mais condamner le « fascisme »
allemand
, et fonder sur cette condamnation une politique européenne, c’est à p
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onté, qui n’aurait pas « vécu » (comme disent les
Allemands
: Miterlebt) une des grandes cérémonies de la religion nouvelle. Par
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puis vivre que si ma foi puissante dans le Peuple
allemand
est sans cesse renforcée par la foi et la confiance du Peuple en moi
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communion du cœur avec chaque homme de la nation
allemande
. » De nouveau dressés, saluant à la romaine, ils pleuraient, ils râla
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vie siècle ; puis Goethe et certains romantiques
allemands
; puis Rimbaud qui voulait « posséder la vérité dans une âme et un co
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ard, et se modèle selon les prises du regard. (En
allemand
, le seul mot Gesicht signifie à la fois visage, vision, et vue au sen
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partout la ligne de plus grande facilité. 50. L’
allemand
dit Ernüchterung. 51. Rimbaud, cité par Ramuz dans Six Cahiers. r.
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oit ici la société prolétarienne, et là la nation
allemande
, — qui sont censées configurer la culture. 2. Or cette mesure partiel
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s parlent de la nécessité d’un homme nouveau — en
Allemagne
aussi bien qu’en URSS. ⁂ Les partisans de l’URSS ou de Hitler me fero
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État. (Des « soldats politiques » comme on dit en
Allemagne
.) Leur opinion publique est dictée par l’État, et l’opinion privée, b
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gnent d’ailleurs de moins en moins. En Russie, en
Allemagne
, en Italie, il n’est question que de renaissance et de construction.
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a Russie ; et l’écrasante majorité en faveur de l’
Allemagne
hitlérienne lors du plébiscite de la Sarre. Prenons-y garde ! Ces deu
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ie. (France de la fin du xviiie , Russie de 1917,
Allemagne
et Italie de l’après-guerre.) Ainsi l’opposition des deux Europes se
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ne sommes pas en retard sur les Soviets ou sur l’
Allemagne
, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas notre avance histori
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sses ajoutent : de l’oppression tsariste ; et les
Allemands
: du déshonneur. s. « Culture et commune mesure », Esprit, Paris, n°
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r si peu. Je constate simplement ceci : le peuple
allemand
, dont le régime me paraît spécialement dangereux pour la culture, ach
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ient-ils opposer aux tirages invraisemblables des
Allemands
? Un roman historique en 3 volumes sur Paracelse, coûtant 25 marks, s
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uante-mille. Repère : le dernier Lagerlöf fait en
Allemagne
quarante-mille, en France, cinq, etc., etc. Conclusion ? Si l’on mesu
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oviétiques, il faudrait en conclure que le régime
allemand
est très supérieur au français. Ce qui est faux. Alors ? Alors on voi
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muser. (Comme on l’exige de nouveau en URSS et en
Allemagne
.) Mais nos romans ne veulent plus de morale — à cause de « l’art » —
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a métaphore continuée avec une fantaisie (au sens
allemand
) plus baroque, plus « triomphante ». Voici la conclusion de son chapi
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Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée
allemande
depuis l’armistice (mars 1937)ae Ce livre eût passionné Lénine, gr
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C’est toute l’histoire de la première révolution
allemande
(1918-1919) qui se recompose autour de l’aventure du GQG prussien, au
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l’auteur paraît aussi solide qu’inattendue : si l’
Allemagne
ne s’est pas défaite en vingt morceaux, si la révolte spartakiste a p
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ae. « Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée
allemande
depuis l’armistice, tome I (Albin Michel) », Esprit, Paris, n° 54, ma
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rs. Je signale ce grand livre à ceux qui lisent l’
allemand
, en attendant une traduction, aussi nécessaire d’ailleurs que peu pro
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it être question de ce cliché importé d’URSS ou d’
Allemagne
hitlérienne : « retrouver le contact avec les masses ». Les masses, c
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tologique des poètes chrétiens et des romantiques
allemands
, c’est la volonté de réintégration générale de la création dans son é
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lus au nom de la droite française ou de la gauche
allemande
émigrée, mais au nom du principe fédéral que nous avons à incarner, o
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partisane, à la manière des partisans français ou
allemands
, n’est plus qu’une presse d’intérêt local. Là encore, nos chances son
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parce qu’ils sont d’abord, et génialement, Suisse
allemand
et Vaudois rhodanien. Mais deux poètes « enracinés » ne font pas une
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ie passagère de l’École suisse sur la littérature
allemande
. Avec le xixe , la Suisse réapparaît sur la grande scène de l’Europe.
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sonne et ceux de la communauté. 76. On disait en
Allemagne
, pendant la guerre : « Les alliés voudraient bien conclure la Paix, m
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égitimité et de virulence anarchisante. Certes, l’
Allemagne
de l’après-guerre n’atteignit pas un stade d’anarchie sexuelle compar
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étéroclites. Le cynisme morbide de l’après-guerre
allemande
, la Neue Sachlichkeit des avant-gardes littéraires et artistiques, l’
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titue des écoles analogues pour toutes les femmes
allemandes
, et l’on ne manquera pas de les rendre obligatoires à bref délai. Le
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u patron, il est abondamment exploité par le film
allemand
, depuis l’hitlérisme. 88. Le titre d’un roman de Max Brod : Die Frau
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Crainte et Tremblement, trad. d’après la version
allemande
de E. Geismar et R. Marx. ap. « Mariage et personne (II) : l’amour a
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modeste », — très bien. 110. Un de mes étudiants
allemands
me contait qu’après 5 ans de travail sur les troubadours, à Francfort
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r lui dit : « Que venez-vous faire ici ? C’est en
Allemagne
qu’on se passionne pour les troubadours et qu’on les connaît. » 111.
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9/10 de la production. Le job a été bien fait : l’
Allemagne
et le Japon ont été battus. Et les agences de contrôle des prix, de l
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de les équiper, puisque ce sont leurs colonies. L’
Allemagne
nous plaît mieux que la Pologne : pays de blonds et les noirs sont su
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ins de nos films ont les cheveux noirs. De plus l’
Allemand
est propre et travailleur, et mon arrière-grand-mère était du Wurtemb