1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 iches, de Clément Vautel. Dans les pays de langue allemande , son succès est encore plus grand, et de meilleure qualité. Je ne par
2 i et là, la révolte perce : « Jugendbewegung » en Allemagne  ; surréalisme en France, en Amérique ; poussée mystique en Russie. a
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
3 guerre à diriger le service de contre-espionnage allemand chargé de sa filature6. Ah ! comme nous avons besoin d’être purifiés
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
4 aux Américains — reste un trait marquant de l’âme allemande  : le choix de la salle, les sujets abordés, jusqu’à la stature du con
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
5 ourut en 1855. Voici comment le profond essayiste allemand Rudolf Kassner caractérise cette existence (Commerce, n° XII). Le gr
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
6 es réactions anglaises et françaises. La réaction allemande eût apporté un élément important et radicalement différent. Nous essa
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
7 ligne de la mort, en Amérique, en Angleterre, en Allemagne , et en France, sous celui d’Avant l’Aube, est un des livres les plus
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
8 ans lesquelles Goethe évoluait. Un grand critique allemand , Ernst Robert Curtius, rappelait récemment dans un article qui fit qu
9 temps du réveil sentimental et mystique dans une Allemagne luthérienne ravagée par l’Aufklärung et le rationalisme. C’était le t
8 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
10 stater, en parcourant les catalogues de librairie allemande , par exemple, que la proportion des ouvrages purement romanesques va
11 ront une idée assez juste du genre. Son succès en Allemagne remonte aux premières années de l’après-guerre, illustrées par les li
12 é d’emblée le grand succès qu’ils méritaient. Les Allemands vivent « la crise » depuis 1919, et l’atmosphère de crise baigne tout
13 ne l’imagine d’ordinaire en France. En ceci, les Allemands se trouvent être en quelque sorte plus « actuels », plus directement
14 ût pour l’idéologie que manifeste le grand public allemand . Il est bien naturel qu’une société qui jouit d’une relative sécurité
15 au titre de cet album de photos paru récemment en Allemagne  : « Weltgeschichte gefälligst », Histoire du monde, s’il vous plaît !
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
16 tait, à la fin de la guerre, caporal dans l’armée allemande . Son idéologie n’a rien de personnel, c’est l’idéologie des petits gr
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
17 ais ce n’est point partout le cas. L’exemple de l’ Allemagne peut nous faire réfléchir. Les philosophes y connaissent des succès d
18 othèse n’est pas absurde : elle s’est vérifiée en Allemagne , à propos de Spengler par exemple, dont on sait l’influence qu’il exe
19 d possible. ⁂ Max Scheler se rattachait à l’école allemande des phénoménologues, illustrée par Husserl et Martin Heidegger. On sa
20 irie Gallimard, collect. Les Essais. Traduit de l’ allemand par un anonyme. 45. Cet essai constitue la seconde partie d’un volum
21 chefs du parti catholique parmi les intellectuels allemands , Scheler rompit finalement avec l’Église et revint à un nietzschéisme
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
22 et qui va croissant avec le temps. La philosophie allemande contemporaine, avec ses deux grands maîtres, Heidegger et Jaspers, pr
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
23 Kasimir Edschmid, Destin allemand  (octobre 1934)u Le meilleur livre de l’année. Je crois bien pouvoi
24 très étonnant, d’ailleurs. Il s’agit d’une œuvre allemande , d’un auteur inconnu en France jusqu’ici, d’un roman qui veut dire qu
25 avec une puissance assez austère. ⁂ Six chômeurs allemands , anciens officiers et sous-officiers pendant la guerre, s’embarquent
26 interdit à la Bolivie d’utiliser les services des Allemands . Pendant leur traversée, un coup d’État renverse le gouvernement qui
27 infecte, avec des Indiens lépreux. Le ministre d’ Allemagne à La Paz, Pillau, réussit à les tirer de là après des semaines d’effo
28 e de son autorité, c’est-à-dire la faiblesse de l’ Allemagne sur le plan international. Les quatre hommes s’en vont à Buenos Aires
29 à qui donne l’idée d’un roman d’aventures. Destin allemand est bien, entre autres, un roman d’aventures, et même d’une intensité
30 leur pain, mais c’est surtout de constater que l’ Allemagne , pour laquelle ils se sont battus, n’a plus la force d’utiliser leurs
31 ée, broyée, souffrante, et pourtant fière, d’être Allemand , de garder la tête haute pour l’Allemagne, et de participer au destin
32 , d’être Allemand, de garder la tête haute pour l’ Allemagne , et de participer au destin qui lui était échu pour un temps. Ce dest
33 ait échu pour un temps. Ce destin qui obligeait l’ Allemagne , après la guerre, à vivre dans un état de guerre encore plus cruel qu
34 fort de Capocabana, il a soudain la vision d’une Allemagne future renaissant de son calvaire, purifiée et galvanisée par ses sac
35 on les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui doivent supporter, de nos jours, toutes les misères du monde au f
36 . Nous sommes ici au nœud tragique de ce problème allemand qui domine l’après-guerre, et dont le dénouement doit nous laisser d’
37 et de ce qui est plus généralement humain. Destin allemand pourrait aussi s’appeler « La condition humaine ». Et plusieurs des p
38 mmes ? Et n’est-ce point là le vrai tragique de l’ Allemagne actuelle, que son destin la force à n’envisager plus le sort de l’hom
39 inion qu’on ait sur le point de vue strictement «  allemand  » de l’auteur, qu’il est peu de problèmes plus graves pour notre aven
40 graves pour notre avenir immédiat. Mais ce Destin allemand évoque bien d’autres questions. Edschmid a fait le tour du monde ; il
41 rder pure. Alors ? Serait-ce bientôt l’heure de l’ Allemagne  ? On sent partout cette interrogation, cette anxieuse espérance, dans
42 i nous apprendront tout cela. Il faut lire Destin allemand , comme on lirait dans la conscience même d’un peuple. Il faut avoir é
43 ur leur atmosphère et leur tension65, à ce Destin allemand , qui, toutefois, les domine. Edschmid est plus viril, plus massif, pl
44 hmid est le plus authentique. Il y a, dans Destin allemand , un timbre de voix métallique, une sobriété amère et courageuse, un s
45 ais lui-même que dans les tortures ? u. « Destin allemand  », Foi et Vie, Paris, n° 65, octobre-novembre 1934, p. 812-817. Une n
46 ise : « Roman, par Kasimir Edschmid. Traduit de l’ allemand et introduit par J. Benoist-Méchin. (Paris, Plon, collection Feux-Cro
13 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
47 n exploiteur de l’éternel ressentiment de la race allemande contre la civilisation romaine. On a poussé la bouffonnerie jusqu’à c
14 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
48 Russie orthodoxe, une seconde, correspondant à l’ Allemagne en majorité luthérienne, et une troisième correspondant à l’Italie et
49 ici que le thème — je dirai ceci : en Russie, en Allemagne , en Italie et en Espagne, la distinction entre l’Église et l’État n’a