1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
1 ifie pour les gauches antifascisme, l’Italie et l’ Allemagne ayant, comme chacun sait, déclaré une guerre sans merci à toutes les
2 it beaucoup moins en France qu’en Suisse et qu’en Allemagne .) Elle me paraît souffrir ensuite, et peut-être plus gravement encore
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
3 ernes de la culture. C’est en effet au romantisme allemand qu’il faut remonter si l’on veut étudier la source véritable de préoc
4 ofondes, et toutes nouvelles, entre le romantisme allemand et les plus grands poètes modernes de la France : Nerval, Hugo, Baude
5 notamment le préjugé qui veut que les romantiques allemands n’aient été que de « doux rêveurs », alors qu’ils furent souvent, en
6 ofonde sympathie pour les hardiesses de la pensée allemande . Il me plaît de souligner ici la réussite d’une telle synthèse, dont
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
7 tistes) de l’Église anglicane ou du luthérianisme allemand , huguenots ou puritains, méthodistes, presbytériens, tous ces pionnie
8 a bien des chances d’être Hollandais d’origine ; Allemand ou Suédois s’il est luthérien ; Anglais s’il est presbytérien ; et s’
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
9 oute catholique, ou protestante, ou française, ou allemande , ou de gauche, ou de droite — ou ne sera pas. Vous êtes là pour qu’el
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
10 le. Nous parlons de culture française, de culture allemande , cela n’existe pas. Il y a seulement des différences, des nuances de
6 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
11 e dans des conditions bien différentes. Le peuple allemand aurait en effet commencé à remettre en cause très sérieusement la val