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ce, même vulgaire, prime l’efficience. Le penseur
allemand
serait plutôt du type « tiefsinnig ». Mais on remarque à ce propos qu
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vante : le Français pèse le pour et le contre ; l’
Allemand
pèse sur les choses. D’où l’on conclut encore que la pensée figure po
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ur le Français une activité ordonnatrice ; pour l’
Allemand
, titanique. On fait alors intervenir une définition de la pensée d’où