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onard Euler, et il vivait à Bâle, entre France et
Allemagne
, dans une atmosphère très savante mais pénétrée de spiritualité. Infl
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es organisés. Nous avons créé des secrétariats en
Allemagne
, en France, en Italie, en Grande-Bretagne, dans les deux Amériques, a
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américain et qui manquait, pour son malheur, à l’
Allemagne
, au temps où j’y fis mes études.” Nous reproduisons ci-dessous presqu
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fut apporté par M. Ernst Friedländer, publiciste
allemand
: « Il faut dire franchement à nos nations qu’elles ne pourront sauve
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le fédéralisme était une méthode pour affaiblir l’
Allemagne
! Par une erreur inverse, d’autres s’imaginent que les fédéralistes e
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rmoy (France), Friedländer (République fédérale d’
Allemagne
), Cotsaridas (Grèce), Gudmundsson (Islande), Miss Chinneide (Irlande)
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x points à son ordre du jour — l’unification de l’
Allemagne
et la libération de l’Autriche. Mais cet échec était prévu. La vraie
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-millions de Français et quarante-huit-millions d’
Allemands
seraient rassurés à l’idée d’un bloc de deux-cents-millions de Russes
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suggérer que le cauchemar du « tête-à-tête avec l’
Allemagne
» s’évanouirait devant les joies d’un bon voisinage avec l’alliée nat
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la Corée ne vous regardent plus. Mais le problème
allemand
nous intéresse beaucoup. » Que s’est-il donc passé depuis Berlin ? —
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s assurer la paix définitive entre la France et l’
Allemagne
par le moyen de leur fédération, ce serait agir en « bellicistes », p
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Bonn pour empêcher la renaissance du nationalisme
allemand
, enfin l’avenir concret de l’Europe entière. L’échec déjà plus que pr
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a peur proclamée (novembre 1954)o D’un Premier
Allemand
qui joue sur une entente avec la France, un écrivain français a dit c
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la France, un écrivain français a dit ceci : « L’
Allemagne
qu’il incarne ne nous apparaît pas moins redoutable que celle qui exi
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it la démission de Delcassé. » Paraphrasons : une
Allemagne
vaincue, désarmée, occupée, amputée d’un quart de sa population et d’
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e la France, n’est « pas moins redoutable » que l’
Allemagne
arrogante, surarmée et intacte sur laquelle régnait Guillaume II. Ce
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ns le seul cas où l’on attribuerait à « Peur de l’
Allemagne
» une valeur infinie. Ce que l’on fait, en réalité. La peur de l’Alle
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finie. Ce que l’on fait, en réalité. La peur de l’
Allemagne
étant infinie — ou absolue — c’est-à-dire indépendante de quoi que ce
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est-à-dire indépendante de quoi que ce soit que l’
Allemagne
réelle fasse ou non, soit ou non, cette peur ne pourrait donc être su
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tte peur ne pourrait donc être supprimée que si l’
Allemagne
disparaissait totalement et à tout jamais. Car s’il n’en restait qu’u
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septembre). ⁂ L’argument de la peur qu’inspire l’
Allemagne
a été l’arme principale des anticédistes. N’est-il pas très nouveau q
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tantes sont moins dangereuses que douze divisions
allemandes
virtuelles, et que la présence en Europe de quatre divisions anglaise
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alité proposée des armements de la France et de l’
Allemagne
. Encore une fois, seule la Peur, affectée du signe ∞, peut rendre un
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t, les gens ne sont pas un autre, sauf s’ils sont
Allemands
, comme vient de le montrer M. Mauriac. ⁂ Ne craignons pas les Russes,
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ses, nous dit L’Express. Le vrai danger vient des
Allemands
. Un Anglais prouve le premier point, un Français le second. La collab
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rmacht”, leur chantage au contrecoup nationaliste
allemand
. » Tout cela serait faux ? Rien de tout cela ne se serait produit ? I
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moins de garanties que la CED… Le même état-major
allemand
pourra se constituer… L’Allemagne aura le droit de fabriquer des arme
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même état-major allemand pourra se constituer… L’
Allemagne
aura le droit de fabriquer des armes… On a donc des raisons au moins
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s égales de redouter que la corporation militaire
allemande
fasse sentir à une démocratie incertaine le poids de sa force nouvell
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de une correction : la CED excluait un état-major
allemand
. Les accords de Londres l’autorisent. Les « raisons de redouter » ne
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, etc. Sur le chantage au contrecoup nationaliste
allemand
: « Le climat est lourd en Allemagne occidentale. (Fuite d’Otto John.
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nationaliste allemand : « Le climat est lourd en
Allemagne
occidentale. (Fuite d’Otto John.) Nous avons reçu d’autres témoignage
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la CED) a renforcé immédiatement les socialistes
allemands
» (p. 665). On sait que les socialistes allemands sont nationalistes,
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allemands » (p. 665). On sait que les socialistes
allemands
sont nationalistes, ne fût-ce que du seul fait qu’Adenauer ne l’est p
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prit qu’à répéter la leçon connue : le réarmement
allemand
, autorisé par les accords de Londres, aura pour « corollaire fatal, q
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toute vraisemblance. La « France éternelle », « l’
Allemagne
immortelle » sont des expressions courantes en temps de guerre. Cette
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echnique, que celle des alchimistes aux piétistes
allemands
, et de ces derniers aux fondateurs de nombreuses industries modernes.
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attaquerait Hitler que pour avoir pendu de « bons
Allemands
» après le 20 juillet ? 3. Pour illustrer la folie du despote, K. cit
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nt au début d’« impérialiste », leur pacte avec l’
Allemagne
ayant permis de la déclencher) n’avait pas été gagnée grâce à Staline
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erait-elle de gauche ou de droite ? Dominée par l’
Allemagne
ou la France ? Le Vatican ou le Musée de l’Homme ? B. Je voudrais d’a
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Monnet et son Euratom ralliant enfin l’opposition
allemande
, et l’affaire Nenni-Saragat… S. C’est donc sérieux ? Les grands parti
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ustrent à l’envi, et presque tous les romantiques
allemands
ont subi l’obsession de ce thème : pour eux, comme pour les Tasmanien
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oisins immédiats comme les Suisses sont français,
allemands
ou italiens par leur langue, leur culture et leurs affinités, la guer
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nds tenant pour la France, les Alémaniques pour l’
Allemagne
; mais non pas en 1939 : tous d’accord contre Hitler) ; 3°) s’il se r
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les blocs. Neutralisons les États satellites et l’
Allemagne
(réunifiée), séparons par une zone d’un millier de kilomètres les ava
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« désengagée » et en zone « atlantique ». Sans l’
Allemagne
, les Six ne sont rien ; sans les Six, l’union ne se fera pas. Le v
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aujourd’hui ; des Espagnols et des Italiens, des
Allemands
et des Scandinaves, des Anglais et des Suisses suivront. Quant aux je
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ler de l’énergie atomique, si les Français et les
Allemands
décidaient de se battre demain, ils ne pourraient plus le faire qu’à
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t borné à conseiller l’union de la France et de l’
Allemagne
, l’Angleterre n’étant pas nommée ni impliquée. Sensation dans la pres
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illeurs, le phénomène est à peu près unique. Ni l’
Allemagne
, ni l’Italie, ni la Hollande, ni la Suisse, ni l’Espagne, ni même la
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io et à Thomas Mann, en passant par le romantisme
allemand
, français et anglais, on sait assez la fortune littéraire de cette fo
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oix gammée flotte sur Hambourg et que la jeunesse
allemande
a oublié les Camps, en déduit dans l’Express que les « Européens » so
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ar mot dans cette page malheureuse ? Erreur sur l’
Allemagne
, erreur sur la France, erreur sur leurs relations actuelles, erreur s
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es », erreur sur le militarisme éternel du peuple
allemand
et sur le pacifisme actuel de certains colonels français, erreur sur
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ous a raconté n’est simplement pas vrai. 56 % des
Allemands
d’aujourd’hui souhaitent avoir pour prochain président de leur Républ
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votre jugement. Vous trouvez fort que la jeunesse
allemande
ait oublié ses devanciers bottés. Mais songez qu’on n’enseigne pas l’
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z d’avoir sauvé la France et réconforté le peuple
allemand
en le coupant en deux tronçons. J’eusse peut-être applaudi votre art
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nheur de pouvoir vous rappeler que la France et l’
Allemagne
ayant mis en commun non seulement leur charbon et leur acier, mais en
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ur premier objectif d’empêcher que la France et l’
Allemagne
reposent leur « problème éternel » dans les termes où vous le faites
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otre désunion. Et non seulement devant une grande
Allemagne
hypothétique, que nos méfiances auraient repoussée vers la Russie, ma
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reprend un des thèmes essentiels du préromantisme
allemand
, l’opposition de l’antique et du moderne, non du point de vue littéra
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.90 Relisons maintenant Herrigel, ce philosophe
allemand
qui est allé au Japon pour s’initier au zen en s’entraînant au tir à
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maladie mortelle. Ayant vécu près d’une année en
Allemagne
hitlérienne (comme lecteur de français) j’avais coutume de dire à ceu
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ent sur les motifs de l’adhésion réelle de tant d’
Allemands
à une doctrine évidemment démente : « J’ai vu certains de mes étudian
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ssée d’épouser Don Ottavio… 129. Mon Journal d’
Allemagne
ne fait qu’une ou deux allusions très voilées à cette transformation
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ont, eux aussi, le droit de s’autodéterminer, ces
Allemands
cesseraient aussitôt de fuir à l’Ouest et se mettraient au travail, d
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bles, garantirait l’évolution pacifique du peuple
allemand
, à laquelle ses voisins de l’Est sont vitalement intéressés. Ce serai
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édificateurs, il ne fut pas seul : des milliers d’
Allemands
(de l’Ouest) arborèrent son insigne… apportant eux aussi leur pierre
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ce au mur l’Ouest a pu « bannir Brecht des scènes
allemandes
et empêcher une information objective sur le monde communiste. Grâce
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phe de la pensée ou du théâtre révolutionnaire en
Allemagne
». (Rien n’est plus faux : la République fédérale joue Brecht autant
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t il fut l’un des assassins de Rathenau, le grand
Allemand
d’après la Première Guerre. « Les Allemands, ajoute Salomon, n’ont pr
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grand Allemand d’après la Première Guerre. « Les
Allemands
, ajoute Salomon, n’ont pris des Prussiens que les défauts… L’Allemagn
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omon, n’ont pris des Prussiens que les défauts… L’
Allemagne
sans l’Est n’est pas l’Allemagne. » C’est en effet une Allemagne sans
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e les défauts… L’Allemagne sans l’Est n’est pas l’
Allemagne
. » C’est en effet une Allemagne sans Prusse. Et une partie de la Prus
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l’Est n’est pas l’Allemagne. » C’est en effet une
Allemagne
sans Prusse. Et une partie de la Prusse ancienne est devenue polonais
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se lient d’amitié, soit par des livres comme De l’
Allemagne
, qui rétablissent la circulation internationale des idées, malgré les
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avec méfiance par la presse moyenne de la Suisse
allemande
: elle relevait en effet des Affaires étrangères, plutôt mal vues à c
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x des travailleurs étrangers en Suisse (Italiens,
Allemands
, Espagnols, Grecs et Turcs). Ce n’est pas le Marché commun qui les am
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ent pour l’équilibre des productions française et
allemande
(charbonnières et métallurgiques), mais pour la production de l’Union
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, de Danemark et de Grande-Bretagne, mais aussi d’
Allemagne
, d’Autriche et de plusieurs pays de l’Est. De ce colloque allait sort
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urs chefs se retrouvaient à Montreux, Italiens et
Allemands
, Français, Bénéluxiens. Enfin, derrière la pensée de la plupart des r
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it essaimé dans le reste de l’Europe, y compris l’
Allemagne
(groupe des Gegner avec Harro Schulze-Boysen), mais non pas l’Italie,
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moins d’un mariage de raison entre la France et l’
Allemagne
. Churchill avait fondé tôt après l’United Europe Movement, que son ge
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lais, un joyeux anarchiste italien, des ministres
allemands
aux lunettes sans bord… Mais pourquoi cet immense applaudissement ? “
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des vaincus d’hier ? (Nous avons des délégations
allemandes
, autrichiennes et italiennes.) Ou bien le mariage de l’Ouest et de l’
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chefs de gouvernement démo-chrétiens de France, d’
Allemagne
et d’Italie, la naissance d’une Haute Autorité du charbon et de l’aci
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t ceci : « Il y a une grande différence entre les
Allemands
et les Italiens. Eux, quand ils parlent de leur ancien chef, disent :
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. On parle provençal sur les deux rives du Rhône,
allemand
sur les deux rives du Rhin, français sur les deux versants du Jura et
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çais sur les deux versants du Jura et italien (ou
allemand
de nouveau) sur les deux versants des Alpes. Décréter que le Rhin sép