1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 ux de France, de Suisse, de Belgique, d’Italie, d’ Allemagne et de Grande-Bretagne, de 1974 à 1976 : Sur l’Europe en général : « L
2 ouvements de résistance de neuf pays (y compris l’ Allemagne et l’Italie) se réunissent clandestinement à Genève, à quatre reprise
3 Six, déclaraient, il y a vingt-cinq ans, du côté allemand  : « Cette petite Europe n’est qu’une grande France » (le socialiste K
4 ronter à armes égales la concurrence du fabricant allemand ou italien. Cette « union douanière » avec la libre circulation des h
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
5 ante pour les besoins de plusieurs de nos pays. L’ Allemagne et la Belgique sont déjà importatrices d’eau. Alors que les réserves
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
6 e à grouper des Alsaciens (français), des Badois ( allemands ), et des Bâlois (suisses) qui voisinent sur les deux rives du Rhin et
7 ires (six tranches françaises, cinq suisses, cinq allemandes ), dont le moins qu’on puisse dire est qu’elles sont superflues pour l
8 uralité : c’est que les communautés linguistiques allemandes , françaises, italiennes, ladines ou romanches, qui cohabitent dans le
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
9 es, au nom de la crainte alléguée d’un contingent allemand intégré dans les forces européennes, et de la nécessité de sauvegarde
10 fut double : — renaissance immédiate d’une armée allemande indépendante (c’est-à-dire non intégrée) ; — dépendance accrue des Ét
11 lège de la défense de l’OTAN. Et celui du général allemand Johannes Steinhoff, qui fut président du comité militaire de l’Allian
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
12 ution vers les régions Rappelons d’abord que L’ Allemagne fédérale a été divisée par les Alliés de 1945 en onze Länder dans l’i
13 uvoirs entre quatre régions — wallonne, flamande, allemande , bruxelloise —, mais au-delà de cette division que le xixe siècle eû