1
ux de France, de Suisse, de Belgique, d’Italie, d’
Allemagne
et de Grande-Bretagne, de 1974 à 1976 : Sur l’Europe en général : « L
2
ouvements de résistance de neuf pays (y compris l’
Allemagne
et l’Italie) se réunissent clandestinement à Genève, à quatre reprise
3
Six, déclaraient, il y a vingt-cinq ans, du côté
allemand
: « Cette petite Europe n’est qu’une grande France » (le socialiste K
4
ronter à armes égales la concurrence du fabricant
allemand
ou italien. Cette « union douanière » avec la libre circulation des h
5
ante pour les besoins de plusieurs de nos pays. L’
Allemagne
et la Belgique sont déjà importatrices d’eau. Alors que les réserves
6
e à grouper des Alsaciens (français), des Badois (
allemands
), et des Bâlois (suisses) qui voisinent sur les deux rives du Rhin et
7
ires (six tranches françaises, cinq suisses, cinq
allemandes
), dont le moins qu’on puisse dire est qu’elles sont superflues pour l
8
uralité : c’est que les communautés linguistiques
allemandes
, françaises, italiennes, ladines ou romanches, qui cohabitent dans le
9
es, au nom de la crainte alléguée d’un contingent
allemand
intégré dans les forces européennes, et de la nécessité de sauvegarde
10
fut double : — renaissance immédiate d’une armée
allemande
indépendante (c’est-à-dire non intégrée) ; — dépendance accrue des Ét
11
lège de la défense de l’OTAN. Et celui du général
allemand
Johannes Steinhoff, qui fut président du comité militaire de l’Allian
12
ution vers les régions Rappelons d’abord que L’
Allemagne
fédérale a été divisée par les Alliés de 1945 en onze Länder dans l’i
13
uvoirs entre quatre régions — wallonne, flamande,
allemande
, bruxelloise —, mais au-delà de cette division que le xixe siècle eû