1
i, l’aspiration du néant. J’ai revu à l’envers le
film
de mon passé : ce qui était élan devient recul, et l’évocation de mes
2
épondant au mien, comme on voit au dénouement des
films
populaires et sur des cartes postales illustrées. Déjà la foule des d
3
Jacob. Ce soir-là, le programme comprenait : un
film
d’avant-guerre ; un film japonais ; Entr’acte et le Voyage imaginaire
4
rogramme comprenait : un film d’avant-guerre ; un
film
japonais ; Entr’acte et le Voyage imaginaire, de René Clair. La Mort
5
ieure à l’époque du long baiser de conclusion. Le
film
japonais : une historiette un peu plus banale que nature, très bien p
6
ale que nature, très bien photographiée. C’est le
film
du type « Jeux de soleil dans les jardins, complets variés, ça fait t
7
’être ainsi qualifié : c’est peut-être le premier
film
où l’on a fait du ciné avec des moyens proprement cinégraphiques. Ici
8
pas, il exprime, et se suffit. Mais comme pour le
film
1905, on a sans cesse envie de crier : « Trop de gestes ! » C’est une
9
e style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les
films
de René Clair un sens du miracle assez bouleversant. Et je ne parle p
10
Madame, car alors quoi de plus surréaliste que le
film
1905. Ce n’est peut-être qu’une question d’imagination ; il reste qu’
11
re qu’une question d’imagination ; il reste qu’un
film
comme Entr’acte est une aide puissante. Nous faisons nos premiers pas
12
aisante. Il dit que la vie ressemble surtout à un
film
où les épisodes s’appellent par le simple jeu des images, se voient p
13
doute lui vint. Il alla au cinéma. On donnait un
film
voluptueux. Il aima l’héroïne, mais sans espoir. Il lui écrivit, en s
14
res qui « rendraient » mieux sous la rubrique Mon
film
16. En d’autres passages, d’une expression plus serrée, M. Duhamel ch
15
aisante. Il dit que sa vie ressemble surtout à un
film
où les épisodes s’appellent par le simple jeu des images, se voient p
16
nt des hommes. L’URSS, qu’ils connaissent par ses
films
, offre à leur rêve toutes les possibilités de contact humain dont le
17
l’atmosphère salubre, la naïveté puissante de ce
film
, et le même parti pris de bonne humeur héroïque. Tout ce qu’il faut p
18
fugie dans les soucis publics comme on va voir un
film
pour s’oublier dans un drame fictif, de cet homme affolé par la lectu
19
ard, de saut. 18. ou cinématographique ! Voir le
film
Golgotha. Ou encore la Passion d’Oberammergau ! 19. C’est le rôle qu
20
rées, seront contraintes de s’ordonner. Règne des
films
de propagande, des chœurs parlés, des Schlagworte écrits en lettres g
21
olice au début. Un peu plus tard, il envahira les
films
, le roman, le théâtre… Rôle de l’écrivain et de l’artiste. — « L’a
22
ve. En vérité, c’est cette littérature — celle du
film
, celle du journal, celle du roman — qui est l’opium des peuples incro
23
rées, seront contraintes de s’ordonner. Règne des
films
de propagande, de chœurs parlés, des Schlagworte écrits en lettres gi
24
olice au début. Un peu plus tard, il envahira les
films
, le roman, le théâtre… Rôle de l’écrivain et de l’artiste : « L’ar
25
ve. En vérité, c’est cette littérature — celle du
film
, celle du journal, celle du roman — qui est l’opium des peuples incro
26
re où la diffusion de la pensée par le papier, le
film
et la radio n’a jamais été si grande, nous sommes obligés de revenir
27
limites du désert. Curiosité, comme au début d’un
film
. La situation est d’ailleurs excellente pour l’instant. Il nous reste
28
de l’appareil, empressés à tendre les bobines de
film
à l’instituteur. Ilfallut un certain temps pour mettre au point la pr
29
e le silence, et la projection commence. C’est un
film
d’avant-guerre, la Course au Flambeau, tiré de la pièce de Paul Hervi
30
. Tout le monde a l’air très content, bien que le
film
m’apparaisse à peu près incompréhensible. La course au flambeau termi
31
après-midi sur la place : celle d’être devant un
film
dont la musique vient de se taire. Une vie sans accompagnement profon
32
nsolite et trop connu — le rire conventionnel des
films
français, des petites actrices piquantes, de toutes les femmes qui le
33
de l’appareil, empressés à tendre les bobines de
film
à l’instituteur. Il fallut un certain temps pour mettre au point la p
34
e le silence, et la projection commence. C’est un
film
d’avant-guerre, la Course au flambeau, tiré de la pièce de Paul Hervi
35
. Tout le monde a l’air très content, bien que le
film
m’apparaisse à peu près incompréhensible. La course au flambeau termi
36
limites du désert. Curiosité, comme au début d’un
film
. La situation est d’ailleurs excellente pour l’instant. Il nous reste
37
, c’est au pain quotidien. » ⁂ Il est rare que le
film
d’une conversation, non retouché, offre une image significative, tant
38
mais personne ne peut plus le croire, à l’âge du
film
et du roman — nous sommes tous plus ou moins intoxiqués, — et cette n
39
type, compromis entre ce qu’il aime et ce que le
film
le persuade d’aimer. Il rencontre cette femme, il la reconnaît. C’est
40
sance du mythe primitif, le succès du roman et du
film
apparaissent comme les signes certains d’une décadence de la personne
41
lle du patron, il est abondamment exploité par le
film
allemand, depuis l’hitlérisme. 88. Le titre d’un roman de Max Brod :
42
s devenues inadéquates. 10 janvier 1936 Un
film
de propagande. — Destin d’une commune d’Allemands de la région de la
43
actualités, à considérer le public quand passe le
film
des funérailles romaines. Quelque chose vibre dans l’obscurité, des r
44
de vous impose des bas de soie. Les romans et les
films
nous enfièvrent d’une nostalgie d’amour-passion dont nous ne savons p
45
iasme que nous montrons pour le roman, et pour le
film
né du roman ; l’érotisme idéalisé diffus dans toute notre culture, da
46
se trahit dans la plupart de nos romans et de nos
films
, dans leurs succès auprès des masses, dans les complaisances qu’ils r
47
vulgarisée de nos jours par les romans et par le
film
, n’est rien d’autre que le reflux et l’invasion anarchique dans nos v
48
es romans de série, le théâtre à succès, enfin le
film
. Le vrai tragique de notre époque est diffus dans la médiocrité. Le v
49
r, on la voit s’exprimer en toute naïveté dans le
film
sentimental. Peu de genres plus strictement conventionnels et rhétori
50
strictement conventionnels et rhétoriques que le
film
américain des premières années de l’après-guerre. C’était l’époque du
51
ce qui amène par définition la fin du roman et du
film
: « et ils eurent beaucoup d’enfants » signifie qu’il n’y a plus rien
52
ans le théâtre, dans le roman à succès et dans le
film
qui exploitent inlassablement la formule du ménage à trois, l’idéalis
53
mais personne ne peut plus le croire, à l’âge du
film
et du roman — nous sommes tous plus ou moins intoxiqués, — et cette n
54
type, compromis entre ce qu’il aime et ce que le
film
le persuade d’aimer. Il rencontre cette femme, il la reconnaît. C’est
55
ance du mythe primitif, les succès du roman et du
film
apparaissent comme les signes certains d’une décadence de la personne
56
lle du patron, il est abondamment exploité par le
film
allemand, depuis l’hitlérisme. 188. Le titre d’un roman de Max Brod,
57
iasme que nous montrons pour le roman, et pour le
film
né du roman ; l’érotisme idéalisé diffus dans toute notre culture, da
58
se trahit dans la plupart de nos romans et de nos
films
, dans leurs succès auprès des masses, dans les complaisances qu’ils r
59
vulgarisée de nos jours par les romans et par le
film
, n’est rien d’autre que le reflux et l’invasion anarchique dans nos v
60
es romans de série, le théâtre à succès, enfin le
film
. Le vrai tragique de notre époque est diffus dans la médiocrité. Le v
61
r, on la voit s’exprimer en toute naïveté dans le
film
sentimental. Peu de genres plus strictement conventionnels et rhétori
62
strictement conventionnels et rhétoriques que le
film
américain des premières années de l’entre-deux-guerres. C’était l’épo
63
ce qui amène par définition la fin du roman et du
film
; « et ils eurent beaucoup d’enfants » signifie qu’il n’y a plus rien
64
ans le théâtre, dans le roman à succès et dans le
film
qui exploitent inlassablement la formule du ménage à trois, l’idéalis
65
mais personne ne peut plus le croire, à l’âge du
film
et du roman — nous sommes tous plus ou moins intoxiqués — et cette nu
66
type, compromis entre ce qu’il aime et ce que le
film
le persuade d’aimer. Il rencontre cette femme, il la reconnaît. C’est
67
ance du mythe primitif, les succès du roman et du
film
apparaissent comme les signes certains d’une décadence de la personne
68
s obstacles, ainsi que le font voir journellement
films
, romans et comic-strips. De fait, si l’amour romanesque triomphe d’un
69
t pour l’État de Nevada. Exiger de n’importe quel
film
, fût-il sur la bombe atomique, qu’il tienne une certaine dose de la d
70
lle du patron, il fut abondamment exploité par le
film
allemand, sous l’hitlérisme. 205. Le titre d’un roman de Max Brod, D
71
iasme que nous montrons pour le roman, et pour le
film
né du roman ; l’érotisme idéalisé diffus dans toute notre culture, da
72
se trahit dans la plupart de nos romans et de nos
films
, dans leurs succès auprès des masses, dans les complaisances qu’ils r
73
vulgarisée de nos jours par les romans et par le
film
, n’est rien d’autre que le reflux et l’invasion anarchique dans nos v
74
es romans de série, le théâtre à succès, enfin le
film
. Le vrai tragique de notre époque est diffus dans la médiocrité. Le v
75
r, on la voit s’exprimer en toute naïveté dans le
film
sentimental. Peu de genres plus strictement conventionnels et rhétori
76
strictement conventionnels et rhétoriques que le
film
américain des premières années de l’entre-deux-guerres. C’était l’épo
77
ce qui amène par définition la fin du roman et du
film
: « et ils eurent beaucoup d’enfants » signifie qu’il n’y a plus rien
78
ans le théâtre, dans le roman à succès et dans le
film
qui exploitent inlassablement la formule du ménage à trois, l’idéalis
79
mais personne ne peut plus le croire, à l’âge du
film
et du roman — nous sommes tous plus ou moins intoxiqués — et cette nu
80
type, compromis entre ce qu’il aime et ce que le
film
le persuade d’aimer Il rencontre cette femme, il la reconnaît. C’est
81
ance du mythe primitif, les succès du roman et du
film
apparaissent comme les signes certains d’une décadence de la personne
82
s obstacles, ainsi que le font voir journellement
films
, romans et bandes dessinées. De fait, si l’amour romanesque triomphe
83
t pour l’État de Nevada. Exiger de n’importe quel
film
, fût-il sur la bombe atomique, qu’il tienne une certaine dose de la d
84
lle du patron, il fut abondamment exploité par le
film
allemand, sous l’hitlérisme. 191. Le titre d’un roman de Max Brod, D
85
littérature romantique, et dont les romans et les
films
sont les agents de diffusion. Cette obsession était devenue la grande
86
e allusion. Elle règne sur l’énorme industrie des
films
, sur l’édition et sur la librairie, sur la vente des parfums, sur l’a
87
risé par l’homme en lui. Contre les romans et les
films
, et contre l’opinion courante du temps, qui voient le signe de la vra
88
odéré pour démocraties non communistes ; un peu d’
American
way of life pour les pays latins, un peu de diplomatie vaticane pour
89
littérature romantique, et dont les romans et les
films
sont les agents de diffusion. Cette obsession était devenue la grande
90
e allusion. Elle règne sur l’énorme industrie des
films
, sur l’édition et sur la librairie, sur la vente des parfums, sur l’a
91
risé par l’homme en lui. Contre les romans et les
films
, et contre l’opinion courante du temps, qui voient le signe de la vra
92
odéré pour démocraties non communistes ; un peu d’
American
way of life pour les pays latins, un peu de diplomatie vaticane pour
93
littérature romantique, et dont les romans et les
films
sont les agents de diffusion. Cette obsession était devenue la grande
94
e allusion. Elle règne sur l’énorme industrie des
films
, sur l’édition et sur la librairie, sur la vente des parfums, sur l’a
95
risé par l’homme en lui. Contre les romans et les
films
, et contre l’opinion courante du temps, qui voient le signe de la vra
96
os yeux nous parlent du peuple de France ; et les
films
composés à Hollywood ou à Londres sur l’organisation de la résistance
97
résistance. J’ai vu à New York la plupart de ces
films
qui empruntent leur sujet à certains épisodes véridiques de la lutte
98
nale. On peut penser tout ce que l’on veut de ces
films
, du pire au bien ; j’en retiens pour ma part qu’ils nous présentent e
99
pas sérieux ». Ce qui me frappe le plus, dans les
films
que je citais, et dans les témoignages directs venus de France sur la
100
fugie dans les soucis publics comme on va voir un
film
pour s’oublier dans un drame fictif, cet homme que la lecture de son
101
ique cette irréalité fade et flatteuse de tant de
films
tournés à Hollywood. Aux toundras, steppes, déserts, pampas, glaciers
102
n sentiment. J’avais, avant d’y venir, vu tant de
films
et lu tant de romans américains : ils donnaient, je le sais aujourd’h
103
éciatif, bien au contraire, qu’on l’applique à un
film
, à un chapeau, ou même à un industriel entreprenant. Cette nuance me
104
que dans leurs brutalités stéréotypées, voilà les
films
américains au lendemain de la guerre. Les critiques, les échos de pre
105
resplendissant au terme de l’épreuve. Le moindre
film
européen d’avant la guerre, projeté dans une petite salle de rétrospe
106
Stravinsky — deux des principales victimes de son
film
. Il coupe court d’un ton neutre : « Mrs Walt Disney n’aime pas la mus
107
s budgets ! Essayez de faire pour une fois : « le
film
le meilleur marché du monde », au lieu de rivaliser dans la dépense.
108
Disney. Et qui sait s’il ne va point préférer les
films
européens, dès qu’il pourra les voir ? Tous les signes sont là. Dépêc
109
rières commerciales qui s’opposent à l’entrée des
films
russes, anglais et français, cèderont au jour… Et j’imagine alors Hol
110
près sa mort, devienne une merveilleuse « idée de
film
», et renaisse à l’écran sous la forme du chef-d’œuvre que, vivante,
111
du Figaro à la vulgarité totale du Journal and
American
. Mais il est difficile d’être à la fois juste et utile, en temps de c
112
tat du spectateur à l’approche du climax d’un bon
film
policier. Si l’on nous privait de la Bombe, je suis sûr que la décept
113
tat du spectateur à l’approche du climax d’un bon
film
policier. Si l’on nous privait de la Bombe, je suis sûr que la décept
114
de loto, des comités variés, des conférences, des
films
, un peu de danse, les cultes du dimanche et parfois de la semaine, br
115
les noirs sont suspects, tous les villains de nos
films
ont les cheveux noirs. De plus l’Allemand est propre et travailleur,
116
tteint le public américain que par la radio et le
film
, les magazines à grand tirage, ou le théâtre. Pour m’acquitter de ma
117
ste dans les variétés que l’on y donne entre deux
films
. Je pense que c’est la seule église vraiment moderne de New York. La
118
ffaires locales, elle se borne à l’exportation de
films
, de vedettes et de brochures sur Roosevelt et la démocratie. C’est as
119
e en état de grâce ! — J’ai dormi vers la fin du
film
. Que s’est-il donc passé entre le moment où le fugitif embrassait la
120
ique cette irréalité fade et flatteuse de tant de
films
tournés à Hollywood. Aux toundras, steppes, déserts, pampas, glaciers
121
res les succès d’hier. Et grâce à l’influence des
films
, elle s’imite elle-même. Autre histoire de singes. — J’en parlais l’
122
ombreux nous parlent du peuple de France ; et des
films
tournés à Hollywood ou à Londres sur l’épopée secrète de la Résistanc
123
ui. Je viens de voir à New York la plupart de ces
films
qui empruntent leur sujet à certains épisodes véridiques de la Résist
124
nale. On peut penser tout ce que l’on veut de ces
films
, du pire au bien ; j’en retiens pour ma part qu’ils présentent enfin
125
pas sérieux ». Ce qui me frappe le plus dans les
films
que je citais et dans les témoignages directs venus de France sur la
126
limites du désert. Curiosité, comme au début d’un
film
. La situation est d’ailleurs excellente pour l’instant. Il nous reste
127
de l’appareil, empressés à tendre les bobines de
film
à l’instituteur. Il fallut un certain temps pour mettre au point la p
128
e le silence, et la projection commence. C’est un
film
d’avant-guerre, La Course au Flambeau, tiré de la pièce de Paul Hervi
129
. Tout le monde a l’air très content, bien que le
film
m’apparaisse à peu près incompréhensible. La Course au Flambeau term
130
après-midi sur la place : celle d’être devant un
film
dont la musique vient de se taire. Une vie sans accompagnement profon
131
nsolite et trop connu — le rire conventionnel des
films
français, des petites actrices piquantes, de toutes les femmes qui le
132
s devenues inadéquates. 10 janvier 1936 Un
film
de propagande. — Destin d’une communauté d’Allemands de la région de
133
actualités, à considérer le public quand passe le
film
des funérailles romaines. Quelque chose vibre dans l’obscurité, des r
134
tteint le public américain que par la radio et le
film
, les magazines à grand tirage, ou le théâtre. Pour m’acquitter de ma
135
ste dans les variétés que l’on y donne entre deux
films
. Je pense que c’est la seule église vraiment moderne de New York. La
136
ffaires locales, elle se borne à l’exportation de
films
, de vedettes et de brochures sur Roosevelt et la démocratie. C’est as
137
’emmène de là au Musée d’Art moderne où passe son
film
sur l’île de Pâques. Nous y retrouvons Buñuel et André Masson. Ce der
138
en état de grâce ! — J’ai dormi vers la fin du
film
. Que s’est-il donc passé entre le moment où le fugitif embrassait la
139
ique cette irréalité fade et flatteuse de tant de
films
tournés à Hollywood. Aux toundras, steppes, déserts, pampas, glaciers
140
res les succès d’hier. Et grâce à l’influence des
films
, elle s’imite elle-même. Autre histoire de singes. — J’en parlais
141
ombreux nous parlent du peuple de France ; et des
films
tournés à Hollywood ou à Londres sur l’épopée secrète de la Résistanc
142
ui. Je viens de voir à New York la plupart de ces
films
qui empruntent leur sujet à certains épisodes véridiques de la Résist
143
nale. On peut penser tout ce que l’on veut de ces
films
, du pire au bien ; j’en retiens pour ma part qu’ils présentent enfin
144
pas sérieux ». Ce qui me frappe le plus dans les
films
que je citais et dans les témoignages directs venus de France sur la
145
s leurs sont transmis sous la forme atténuée de l’
American
way of life, à l’école, dans la presse, au cinéma, au cours du soir p
146
un sentiment. J’avais avant d’y venir vu tant de
films
et lu tant de romans américains : ils donnaient, je le sais aujourd’h
147
éciatif, bien au contraire, qu’on l’applique à un
film
, à un chapeau, à un grand général, ou même à un industriel entreprena
148
du Figaro à la vulgarité totale du Journal and
American
. Mais il est difficile d’être à la fois juste et utile en temps de cr
149
que dans leurs brutalités stéréotypées, voilà les
films
américains au lendemain de la guerre. Les critiques, les échos de pre
150
resplendissant au terme de l’épreuve. Le moindre
film
européen d’avant la guerre, projeté dans une petite salle de rétrospe
151
Stravinsky — deux des principales victimes de son
film
. Il coupe court d’un ton neutre : « Mrs. Walt Disney n’aime pas la mu
152
s budgets ! Essayez de faire pour une fois : « le
film
le meilleur marché du monde », au lieu de rivaliser dans la dépense.
153
Disney. Et qui sait s’il ne va point préférer les
films
européens, dès qu’il pourra les voir ? Tous les signes sont là. Dépêc
154
rières commerciales qui s’opposent à l’entrée des
films
russes, anglais et français, céderont un jour… Et j’imagine alors Hol
155
près sa mort, devienne une merveilleuse « idée de
film
», et renaisse à l’écran sous la forme du chef-d’œuvre que, vivante,
156
de loto, des comités variés, des conférences, des
films
, un peu de danse, les cultes du dimanche et parfois de la semaine, br
157
rs leur sont transmis sous la forme atténuée de l’
American
way of life, à l’école, dans la presse, au cinéma, au cours du soir p
158
t enfin le serment au drapeau. I’m proud to be an
American
! (Ceci dans les écoles publiques du New Jersey. Cette coutume varie
159
les noirs sont suspects, tous les villains de nos
films
ont les cheveux noirs. De plus l’Allemand est propre et travailleur,
160
s viennoises, tels qu’on les voit encore dans nos
films
, copiaient sa tête comme vous le savez, et portaient les mêmes favori
161
t d’une tricherie que toutes nos modes, romans et
films
favorisentf. Si l’on estime au contraire, comme je le fais, que nous
162
es. La philosophie est allemande ; le roman et le
film
, américains ; la poésie, anglaise ; la doctrine politique, soviétique
163
d’agir dans ce sens sur l’opinion, la presse, le
film
et la radio, par voie d’informations et de recommandations ; de coord
164
tives, dans le domaine de la presse, du livre, du
film
et de la radio, mais aussi dans les établissements d’enseignement sco
165
d’agir dans ce sens sur l’opinion, la presse, le
film
et la radio, par voie d’informations et de recommandations, de coordo
166
t des personnes, des livres et des étudiants, des
films
, des œuvres d’art, des appareils de sciences. Nous demanderons aux go
167
du monde de ski, du temps qu’il fait, du dernier
film
, de leurs amours. Mais sans le savoir, le plus souvent, derrière tout
168
du Vieux Monde. Et nous avons tous vu quantité de
films
américains, nous savons à peu près ce qu’est le plan Marshall, nous a
169
ide de 500 000 propagandistes entraînés, munis de
films
et de 20 millions de brochures, lorsqu’il déclenche ces deux campagne
170
ce qu’on appelle les grands moyens : la radio, le
film
, et la presse. Mais il utilisera aussi les cerveaux de nos meilleurs
171
ce qu’on appelle les grands moyens, la radio, le
film
et la presse pour informer les peuples libres sur la liberté dont ils
172
ide de 500 000 propagandistes entraînés, munis de
films
, d’expositions itinérantes et de 20 millions de brochures, le tout la
173
qu’elles enferment. Marchés trop réduits (pour le
film
et le livre), échanges paralysés, fiscalité excessive, manque d’air e
174
radio, de lecteurs de journaux, de spectateurs de
films
ou de télévision. Mais jamais son langage d’artiste ou de penseur n’a
175
ecture imposée par Ridgway. Quand on s’écrase aux
films
de Hollywood, quand toute une jeunesse s’intoxique de jazz hot, il fa
176
ecture imposée par Ridgway. Quand on s’écrase aux
films
de Hollywood, quand toute une jeunesse s’intoxique de jazz hot, il fa
177
livres, de brochures, de revues, de journaux, de
films
, et d’orateurs, réseau qui pourrait être constitué, et constamment al
178
du saut me fait songer à la scène finale du beau
film
que Laurence Olivier a tiré d’Hamlet. Hamlet blessé, enfin résolu à l
179
r Arnold Toynbee, directeur des études au « Royal
Institute
of International Affairs » et professeur d’histoire internationale à
180
ng et de la mystique d’Amour au love interest des
films
de Hollywood, on ne verra qu’une longue décadence, une vulgarisation
181
lications officielles ». 6. « Les producteurs de
films
des trois pays occidentaux sont prêts à proposer leurs films à l’URSS
182
rois pays occidentaux sont prêts à proposer leurs
films
à l’URSS aux conditions et prix commerciaux normaux. Les films soviét
183
S aux conditions et prix commerciaux normaux. Les
films
soviétiques sont déjà introduits en Europe occidentale à de telles co
184
niques ont visité l’URSS » et que « la semaine du
film
français en URSS et la visite de sportifs français ont provoqué un gr
185
change de livres, journaux, revues scientifiques,
films
documentaires et autres, ainsi que broadcasts, selon accords bilatéra
186
’espèce, et accords entre États 6. Échange de
films
Oui mêmes réserves 7. Échange d’expositions Oui mêmes réserv
187
tions d’œuvres musicales modernes, projections de
films
; expositions de publications (livres, ouvrages d’art, revues) dans l
188
non conforme à ses convictions.) Les échanges de
films
sont peut-être encore plus délicats. Le cinéma détient une puissance
189
proposons donc de limiter les échanges à quelques
films
qui seraient jugés par chaque partie soit représentatifs de son mode
190
pe comme leur avenir. 27. On a vu en Europe le
film
Blackboard Jungle : la description y est certes à l’excès dramatisée
191
culturel, on organise des débats, on projette des
films
, on fait circuler des livres, on pratique des sports, on entreprend u
192
x « abonnés » du matériel culturel à prix réduit (
films
, disques, publications, cartes, etc.) ; il organise des voyages et sé
193
ng et de la mystique d’Amour au love interest des
films
de Hollywood, on ne verra qu’une longue décadence, une vulgarisation
194
ersonnes le croient encore sur la foi de quelques
films
et de la science-fiction. C’est encore moins un homme esclave de la m
195
n européenne. Ceux-ci consistent en publications,
films
et conférences. Le Bulletin du CEC édite chaque année six à huit nu
196
ssées par les problèmes européens. Une série, de
films
documentaires sur l’Europe est en cours de réalisation. Enfin, l’inf
197
tives, dans le domaine de la presse, du livre, du
film
et de la radio, mais aussi dans les établissements d’enseignement sco
198
rochures sur le Marché commun. — Mise en train de
films
documentaires sur l’Europe. Regard en arrière Nous étions parti
199
Logement). — Il a procuré des conférenciers, des
films
, des brochures, et des experts d’autres pays. L’expérience se poursui
200
(jumelages de communes, bibliothèques populaires,
films
documentaires) ; 2° de confronter les expériences en cours, de les di
201
iel audiovisuel Le CEC prépare trois séries de
films
fixes sur l’Europe, destinés à illustrer des conférences sur l’Unité
202
skontor, Copenhague ; Edward Hutchinson, National
Institute
of Adult Education, Londres ; Guy Madiot, Fédération française des ma