1 dernières années n’est qu’une forme de reportage international . L’Europe menant cette immense enquête manifeste son génie méthodique

2 « la centrale où l’on avait concentré la dynamite internationale qu’Ibsen voulait placer sous les arches de la vieille société », pour

3 ur qui les limites de l’anarchie sont : chanter l’ Internationale dans les rues, faire la noce, écrire un livre de tendances très moder

4 is ce qui l’établit sans conteste dans une classe internationale — comme on dirait en style sportif — c’est l’aisance avec laquelle il

5 ring est riche, « conformiste » à l’extrême, mais internationale . Cela permet à l’auteur autant qu’aux personnages de ne pas s’attarde

6 r anticapitalisme n’est pas celui de la Troisième Internationale . Toutefois, la doctrine marxiste, en dehors de laquelle il s’est cons

7 Voilà donc ce qui atteint chez nous à la « classe internationale  » comme on dit dans le monde des sports. Ces quelques traits épars ne

8 réunions secrètes d’où devait sortir la Première Internationale , aussitôt confisquée par Marx. De cette enfance il me reste un cauche

9 nant, l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à la sauvegarde des hautes valeurs spiri

10 préciser et s’amplifier. Signalons enfin la revue internationale de la Fédération des étudiants, le Student World, qui sous l’impulsio

11 e discussion organisée par la fédération au Foyer international , le 15 janvier 1933. » Le Foyer international se situe alors à Paris,

12 yer international, le 15 janvier 1933. » Le Foyer international se situe alors à Paris, au boulevard Saint-Michel.

13 es formules », « tragique faiblesse du socialisme international  », « échecs en Allemagne » et ailleurs ; échec auprès de la jeunesse

14 reconnaisse le « fait-nation » et la faillite des internationales qui n’ont pas su tenir compte de ce fait. Mais, ici déjà, le vague de

15 nant, l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à la sauvegarde des hautes valeurs spiri

16 ar la Fédération des étudiants chrétiens au Foyer international du boulevard Saint-Michel (le 25 janvier 1933). 40. Existentielle,

17 r anticapitalisme n’est pas celui de la Troisième Internationale . Toutefois, la doctrine marxiste, en dehors de laquelle s’est constit

18 st-à-dire la faiblesse de l’Allemagne sur le plan international . Les quatre hommes s’en vont à Buenos Aires, et, là, à bout de ressou

19 inant l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à la sauvegarde des hautes valeurs spiri

20 ar la Fédération des étudiants chrétiens au Foyer international du boulevard Saint-Michel (le 25 janvier 1933). 33. Existentielle,

21 r anticapitalisme n’est pas celui de la Troisième Internationale . Toutefois, la doctrine marxiste, en dehors de laquelle s’est constit

22 e du fait patriotique naturel, la seule formule «  internationale  » qui reste possible est celle-ci : « Chaque pays est le plus beau du

23 ises non romaines, grande espérance œcuménique et internationale née dans le « désarroi » de l’après-guerre, et qui trouva lors du fam

24 rivains, les moyens d’assurer au pays un prestige international qui nous donnerait peut-être davantage qu’une garantie d’économie : u

25 qui est une très curieuse manière de concevoir l’ internationale … Songez que la bourgeoisie allemande se plaint de perdre tous ses pri

26 té religieuse, toutes les résistances ont cédé. L’ internationale ouvrière s’est effondrée sans faire usage de ses armes. Le capital es

27 té religieuse, toutes les résistances ont cédé. L’ internationale ouvrière s’est effondrée sans faire usage de ses armes. Le capital es

28 oit des peuples à disposer d’eux-mêmes, arbitrage international . Au nom du premier principe fut créé l’État tchèque, au nom du second

29 iel de l’Allemagne, mais sur une base d’arbitrage international préfigurant ainsi un statut fédéral exclusif de toute hégémonie. 6. À

30 u tribus, mais « une institution en quelque sorte internationale  », commune à tous les peuples d’origine celtique, du fond de la Breta

31 u tribus, mais « une institution en quelque sorte internationale  », commune à tous les peuples d’origine celtique, du fond de la Breta

32 u tribus, mais « une institution en quelque sorte internationale  », commune à tous les peuples d’origine celtique, du fond de la Breta

33 rivains, les moyens d’assurer au pays un prestige international qui nous donnerait peut-être davantage qu’une garantie d’autonomie :

34 e psychanalyse, siège d’innombrables institutions internationales … Le caractère factice de la SDN devait par malheur compromettre dès l

35 besoin d’abolir celles-ci, comme le voulaient les Internationales  : si l’on garde le droit de les déborder dans plusieurs domaines, ell

36 naître l’Europe : juges et négociateurs d’accords internationaux , cosmopolites ou « Suisses de l’étranger »39, directeurs d’unions uni

37 taires d’alliances œcuméniques, membres du Comité international de la Croix-Rouge, etc., etc. Le « Suisse international » est un homm

38 ational de la Croix-Rouge, etc., etc. Le « Suisse international  » est un homme qui peut et doit connaître l’Europe, par tradition, pa

39 être les mêmes. (« Réactionnaires et capitalistes internationaux  »…) Nos descendants diront de notre siècle qu’il fut celui des gogos

40 un règlement plus juste des relations sociales et internationales , pour avoir refusé obstinément tout ce qui lésait si peu que ce soit

41 un règlement plus juste des relations sociales et internationales , pour avoir refusé obstinément tout ce qui lésait si peu que ce soit

42 être les mêmes. (« Réactionnaires et capitalistes internationaux  ».) Nos descendants diront de notre siècle qu’il fut celui des gogos

43 te des classes ; entre notre attachement au droit international et notre politique de l’intérêt national. Il a manœuvré de façon à ag

44 e droit, de raison, de religion. Il a détruit les internationales , mais il détruit maintenant les bases nationales de sa mystique. Que

45 ire nouvelle ; Wilson, une organisation politique internationale . En 1941, on ne leur offre rien que du vieux ou de l’inhumain. Marxis

46 du vieux ou de l’inhumain. Marxisme, capitalisme, internationales et nationalisme, ont clairement fait faillite. Il ne subsiste en Euro

47 besoin d’abolir celles-ci, comme le voulaient les Internationales  : si l’on garde le droit de les déborder dans plusieurs domaines, ell

48 ope et le monde : juges et négociateurs d’accords internationaux , cosmopolites ou Suisses de l’étranger (il y a aujourd’hui 5 millions

49 taires d’alliances œcuméniques, membres du Comité international de la Croix-Rouge, etc. Le « Suisse international » est un homme qui

50 international de la Croix-Rouge, etc. Le « Suisse international  » est un homme qui peut et doit connaître l’Europe par tradition, par

51 uple, on entreprend de détruire ses empoisonneurs internationaux .16 D’où le racisme et l’exaltation du pur germanisme : la communaut

52 économiques ou les grands incidents de politiques internationales ou l’influence des doctrines pangermaniques, ou la Realpolitik, etc.

53 e aura protégé en même temps le dernier organisme international vivant : le comité de la Croix-Rouge. Et conformément à sa mission su

54 t œcuménique. Car c’est au sein de cette ultime «  Internationale  » que les problèmes ecclésiastiques et nationaux se trouvent actuelle

55  ; soit dans la médecine ; soit dans la politique internationale , nous sommes en train de pousser à fond une expérience sans précédent

56 ndividuelles ou politiques, nos drames intimes ou internationaux , se révèlent comme des situations sans issue, reconnaissons l’œuvre d

57  ; soit dans la médecine ; soit dans la politique internationale , nous sommes en train de pousser à fond une expérience sans précédent

58 ndividuelles ou politiques, nos drames intimes ou internationaux , se révèlent comme des situations sans issue, reconnaissons l’œuvre d

59 turiers, ou même les chefs cuisiniers des palaces internationaux . Le mot Français évoquait aussitôt l’image d’une moustache à la Menjo

60 eur nationale que l’on peut parler de s ?, valeur internationale . Si une telle affirmation n’était réellement qu’un truisme de nos jou

61 éellement qu’un truisme de nos jours, le problème international se poserait d’une façon très différente devant l’opinion publique. La

62 danger d’un coup de force opéré contre le pouvoir international par une des nations constituantes : la guerre ne vient-elle pas d’éli

63 e, une solution proche et définitive des conflits internationaux . L’idée, la nécessité, et la possibilité pratique d’un gouvernement f

64 que le problème est mondial. La Bombe est un cas international , qui ne peut être résolu qu’à une échelle planétaire : or, ces messie

65 , ils ont à recevoir des députés… Seule, une cour internationale , formée d’hommes désignés par la voie populaire, et qui n’auraient pa

66 universelle, chez les individus comme sur le plan international . Moi. — Pas d’accord ! Je distingue un espoir. Des trois régimes don

67 es frontières, au lieu de multiplier les échanges internationaux , comme le bon sens et l’économie l’indiqueraient ? C’est parce que ce

68 en ? En remettant le soin de diriger les affaires internationales à des hommes qui ne représentent pas les nations, mais l’humanité. Ca

69 que le problème est mondial. La Bombe est un cas international , qui ne peut être résolu qu’à une échelle planétaire : or ces messieu

70 Or ils ont à recevoir des députés… Seule une cour internationale , formée d’hommes désignés par la voix populaire, et qui n’auraient pa

71 danger d’un coup de force opéré contre le pouvoir international par une des nations constituantes : la guerre ne vient-elle pas d’éli

72 e, une solution proche et définitive des conflits internationaux . L’idée, la nécessité et la possibilité pratique d’un gouvernement fé

73 universelle, chez les individus comme sur le plan international . Moi. — Pas d’accord ! Je distingue un espoir. Des trois régimes don

74 es frontières, au lieu de multiplier les échanges internationaux , comme le bon sens et l’économie l’indiqueraient ? C’est parce que ce

75 en ? En remettant le soin de diriger les affaires internationales à des hommes qui ne représentent pas les nations, mais l’humanité. Ca

76 tiques, partisans. Si jamais un esprit réellement international , ou « global » comme disent les Américains, s’instaure sur notre plan

77 que le problème est mondial. La Bombe est un cas international , qui ne peut être résolu qu’à une échelle planétaire : or ces messieu

78 Or ils ont à recevoir des députés. Seule une cour internationale , formée d’hommes désignés par la voie populaire, et qui n’auraient pa

79 danger d’un coup de force opéré contre le pouvoir international par une des nations constituantes : la guerre ne vient-elle pas d’éli

80 e, une solution proche et définitive des conflits internationaux . L’idée, la nécessité et la possibilité pratique d’un gouvernement fé

81 universelle, chez les individus comme sur le plan international . Moi. — Pas d’accord ! Je distingue un espoir. Des trois régimes don

82 es frontières, au lieu de multiplier les échanges internationaux , comme le bon sens et l’économie l’indiqueraient ? C’est parce que ce

83 en ? En remettant le soin de diriger les affaires internationales à des hommes qui ne représentent pas les nations, mais l’humanité. Ca

84 onseil œcuménique se trouve être de fait la seule Internationale en formation. On sait assez que les Internationales idéologiques et p

85 nternationale en formation. On sait assez que les Internationales idéologiques et politiques se sont désintégrées au cours des deux der

86 de divergence et non de convergence, sur le plan international . On a vu les socialistes anglais collaborer avec les conservateurs an

87 me se révolte au spectacle de la mauvaise volonté internationale des Soviets, de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépr

88 ’ailleurs conduit tout le reste. Une petite ville internationale de province, sans grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècl

89 ’ailleurs conduit tout le reste. Une petite ville internationale de province, sans grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècl

90 ir lieu à Genève, comme on sait, des « Rencontres internationales  » placées sous l’égide de L’Esprit européen. On y a entendu des confé

91 esprit, continuera ainsi à jouer son rôle de cité internationale , à condition, bien entendu, que l’esprit puisse y souffler librement

92 té religieuse, toutes les résistances ont cédé. L’ internationale ouvrière s’est effondrée sans faire usage de ses armes. Le capital es

93 t des peuples à disposer d’eux-mêmes, l’arbitrage international . Au nom du premier principe fut créé l’État tchèque, au nom du second

94 iel de l’Allemagne, mais sur une base d’arbitrage international — préfigurant ainsi un statut fédéral exclusif de toute hégémonie. 6.

95 t de penser que la section la plus nombreuse de l’ Internationale socialiste s’est volatilisée, ou du moins que seuls lui survivent les

96 mes, en 1924, à Hambourg, au premier congrès de l’ Internationale reconstituée, combien n’en est-il pas qui, sans transition, de social

97 nt beaucoup de leur pouvoir immédiat. Sur le plan international , où l’opinion, de nos jours, joue un rôle décisif, la direction qu’il

98 ’ailleurs conduit tout le reste. Une petite ville internationale de province, sans grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècl

99 tiques, partisans. Si jamais un esprit réellement international , ou « global » comme disent les Américains, s’instaure sur notre plan

100 me se révolte au spectacle de la mauvaise volonté internationale des Soviets, de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépr

101 réalités du xxe siècle, qui sont d’ores et déjà internationales , on ne voit pas ce qui pourrait empêcher la guerre d’éclater. (La peu

102 Léman, son paysage monumental, ses rives les plus internationales du monde. Du parc où l’on trouvait l’été dernier M. Churchill en trai

103 n’est autre que l’attitude des Russes sur le plan international . Einstein réfléchit un moment. — Il est évident, dit-il enfin, que l’

104 s-Unis proposent de céder la bombe à un organisme international doté de pouvoirs de contrôle illimités. Il répond : — Tant que la mac

105 odes fédéralistes. ⁂ L’an dernier, aux Rencontres internationales de Genève, le philosophe allemand Karl Jaspers déclarait que l’Europe

106 e ces conversations — (il s’agit des « Rencontres internationales de Genève ») — un écrivain qui n’a jamais cessé au temps de Vichy d’ê

107 Et l’éloquence a passé de mode, et la science est internationale … Que reste-t-il donc à la France ? Qu’est-ce que le monde attend enco

108 des nations, quand le jeu des forces réelles est international et opère à l’échelle des continents. Il pense encore en kilomètres, s

109 Voilà donc ce qui atteint chez nous à la « classe internationale  » comme on dit dans le monde des sports. Ces quelques traits épars ne

110 réunions secrètes d’où devait sortir la Première Internationale , aussitôt confisquée par Marx.   De cette enfance il me reste un cauc

111 t d’artistes genevois, les premières « Rencontres internationales  » réunirent à Genève des intellectuels venus des quatre coins du cont

112 moi : Je pense, donc j’en suis ! Les Rencontres internationales de Genève marquèrent un premier réveil de la conscience européenne, a

113 ut marquée à Montreux, un an après les Rencontres internationales , par le congrès de l’Union européenne des fédéralistes. Les délégués

114 odes fédéralistes. ⁂ L’an dernier, aux Rencontres internationales de Genève, le philosophe allemand Karl Jaspers déclarait que l’Europe

115 des nations, quand le jeu des forces réelles est international et opère à l’échelle des continents. Il pense encore en kilomètres, s

116 e (président Raoul Dautry). Les Nouvelles équipes internationales et l’Union parlementaire européenne y adhérèrent quelques mois plus t

117 rès se distingue de toutes les autres entreprises internationales par ce trait : il a placé sur le même plan que les commissions habitu

118 congrès de La Haye (7-11 mai 1948) par le Comité international de coordination des mouvements pour l’unité européenne Préambule 1

119 e dit : « En a-t-on vu assez de ces organisations internationales  ! Il est bien difficile d’y croire encore. Si vous voulez réveiller l

120 Demain l’Europe ! — Le Conseil international du Mouvement européenc (25 février 1949)d Bruxelles a pavoisé au s

121 européen réunit pour la première fois son conseil international . Vous allez dire peut-être : un congrès de plus ! Et oui, il y a beau

122 bler, cet après-midi même, sous le nom de Conseil international du Mouvement européen. C’est donc d’un conseil qu’il s’agit, et non p

123 ie d’émissions sur la première session du Conseil international à Bruxelles, je vous disais : c’est d’un conseil et non pas d’un cong

124 es. Là-dessus, je pars pour Bruxelles, au Conseil international de notre Mouvement européen. Et nous nous sommes mis au travail pour

125 morale, il y a même quelques rudiments d’une loi internationale , mais qui peut l’appliquer cette loi, puisqu’il n’existe pas de pouvo

126 té ! C’est un tribunal de ce genre que le Conseil international de notre Mouvement européen a décidé de proposer, dans sa séance tout

127 touchant ou ambitieux, comme par exemple : Comité international d’amitié, ou Front humain des citoyens du Monde… Nous nous sentions e

128 (E. Herriot et R. Dautry). Les Nouvelles équipes internationales (Robert Bichet) et l’Union parlementaire européenne (Coudenhove-Kaler

129 dépens, s’il y a lieu. C’est pourquoi le Conseil international du Mouvement européen, dans sa réunion de Bruxelles, a recommandé que

130 du grand public ; formation d’équipes de travail internationales , etc.). Je voudrais simplement définir l’esprit qui l’inspire et le g

131 ix-Rouge et de vingt autres créations de l’esprit international  ; gardiens enfin d’une expérience fédéraliste qui peut servir d’exemp

132 paraisse, un élément de détente dans la situation internationale . Beaucoup des réactions russes étaient inspirées jusqu’ici par une pe

133 llât se plaindre de ses autorités devant une cour internationale . Pourtant, c’est bien à un tel but que tendent tous nos efforts : nou

134 ne des socialistes : « Groupons-nous et demain, l’ Internationale sera le genre humain. » Enfin, lorsque je vous dis : Demain l’Europe 

135 es usages devenus courants dans les organisations internationales  : dès le départ, guerre au papier, dépenses réduites au minimum le pl

136 n’est-ce pas, surtout à Genève, tant d’organismes internationaux  ! À cette question bien naturelle, je suis heureux de vous répondre c

137 e avant la guerre, à des communications de portée internationale . Il y a loin de la situation présente à celle d’il y a dix ans, où ce

138 ec d’infinies précautions, à quelques entreprises internationales , telles que l’OECE et l’union des paiements. Mais c’était en réalité

139 ec d’infinies précautions, à quelques entreprises internationales , telles que l’OECE et l’Union des paiements. Mais c’était en réalité

140 u discours prononcé à Bruxelles, devant le comité international du Congrès pour la Liberté de la culture, par Denis de Rougemont, dir

141 par Denis de Rougemont, directeur du secrétariat international du Congrès. a. Rougemont Denis de, « Faire la propagande de la libe

142 prononcé à Bombay lors de la 2e grande conférence internationale (après celle de juin 1950 à Berlin-Ouest) organisée du 28 au 31 mars

143 , Denis de Rougemont, qui représentait le Congrès international pour la liberté de la culture, a fait une importante intervention, do