1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
1 ie. Jaloux, qui a rencontré plusieurs fois Rilke, trace de lui un portrait qu’on dirait, en peinture, très « interprété ». No
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
2 rard nous invite à renoncer à ces clichés. Pas de trace de « puritanisme » chez des artistes si différents les uns des autres
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 rses souvent fortuites qui les provoquent. Et pas trace d’ostentation dans son humilité ou dans son impartialité. C’est toujo
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
4 onsiste uniquement à retrouver dans son œuvre des traces qui « malgré tout » révèlent ses origines. Triste jeu. 33. Représent
5 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 u rêve. Et l’Archer vierge y court en vain sur la trace des figures de son désir. (« Oh ! qu’il garde ses flèches, il ne tuer
6  ? Ah ! les livres nous avaient bien trompés. Pas trace ici de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres climats, fait effe
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 u rêve. Et l’Archer vierge y court en vain sur la trace des figures de son désir. (« Oh ! qu’il garde ses flèches, il ne tuer
8  ? Ah ! les livres nous avaient bien trompés. Pas trace ici de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres climats, fait effe
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
9 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confront
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
10 erse en trois secondes — disparus sans laisser de traces , sans rejoindre en moi leur image. Un jour, il faudra s’arrêter, pass
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
11 ’idéal et de mélancolie, mais sans y retrouver la trace des larmes dont elle écrit souvent qu’elles furent baignées. L’on éta
10 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
12 es par le sort, « la neige tombe, effaçant toutes traces  », symbole d’une miséricorde lumineuse, dont on dirait qu’elle est le
11 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
13 es par le sort, « la neige tombe, effaçant toutes traces  », symbole d’une miséricorde lumineuse, dont on dirait qu’elle est le
12 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
14 aculté d’incorporer les affections de l’âme ? Pas trace de « psychologie » dans cette œuvre qui cependant paraissait ne prête
13 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
15 e plus secret, fût-il même un silence, laisse une trace au visage de l’homme, modifie sa forme existante. « La figure a été f
14 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
16 rien sacrifié, là où elle n’a pas même laissé les traces d’une coutume ancestrale : dans les villes. Mais ce que l’homme ne fa
15 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
17 rs, leur réunion même ne suffit plus à effacer sa trace . Seul l’acte de les réunir peut, dans l’instant qu’il est donné, comb
18 combien pourraient désigner dans leurs œuvres les traces d’un effort dans ce sens ? Considéré de la sorte, le problème du styl
16 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
19 rien sacrifié, là où elle n’a pas même laissé les traces d’une coutume ancestrale : dans les villes. Mais ce que l’homme ne fa
17 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
20 rien sacrifié, là où elle n’a pas même laissé les traces d’une coutume ancestrale : dans les villes créées par l’industrie. Ma
18 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
21 rs, leur réunion même ne suffit plus à effacer sa trace . Seul l’acte de les réunir peut, dans l’instant qu’il est donné, comb
22 combien pourraient désigner dans leurs œuvres les traces d’un effort dans ce sens ? Considéré de la sorte, le problème du styl
19 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
23 querie de 1357, par contre, a laissé de profondes traces psychologiques. Mais le xive siècle ne fut pas seulement le siècle d
20 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
24 qu’il s’occupe en Thébaïde, quand nous perdons sa trace . Résumons : complexe d’infériorité, délire de persécution, perte du c
21 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
25 râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé des traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendema
26 x ou trois autres mâles faméliques reniflaient la trace de la chienne à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escalie
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
27 e. S’il en paraît parfois, par accident, quelques traces ici ou là, c’est que le peuple de France lit trop de journaux, ne lit
28 ’espèce, mais l’espèce ne peut avancer que sur la trace des grands individus. La définition même de l’homme, ce qu’il a propr
29 ez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience cosmique en nous, de la conscience de notre royauté
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
30 râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé des traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendema
31 x ou trois autres mâles faméliques reniflaient la trace de la chienne à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escalie
24 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
32 e. S’il en paraît parfois, par accident, quelques traces ici ou là, c’est que le peuple, en France, lit trop de journaux, ne l
25 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
33 ez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience cosmique en nous, de la conscience de notre royauté
26 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
34 quoi l’auteur ne se prive pas d’ajouter quelques traces d’humour, comme pour purifier l’émotion. Mais pour qu’une telle phras
27 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
35 le jeu de l’état civil. Qu’il ne s’y mêle aucune trace de hargne, c’est un miracle qui défie l’époque. M. de Lacretelle, dan
28 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
36 de marbre. Le tapis luxueux de l’entrée porte des traces de pneus : un locataire remise sa moto sous l’escalier.   Premier éc
29 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
37 robable qu’elle s’abolisse jamais sans laisser de traces dans le cœur d’un homme moderne — du moins perd-elle son efficace : c
30 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
38 ière de « croyance », débat dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vrai qu’il encombre une bonne part de la
31 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
39 n, font irruption dans le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la fleur de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite.
40 s milliers devers, je n’en ai trouvé qu’une seule trace . C’est quand ils vivent dans la forêt de Morois, après l’évasion de T
41 . C’est la « marque rouge » qui met le roi sur la trace de l’adultère. Quant à nous, elle nous met sur la trace du dessein se
42 de l’adultère. Quant à nous, elle nous met sur la trace du dessein secret des amants : leur recherche du péril pour lui-même.
32 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
43 ? Et pourquoi n’y a-t-il dans leurs œuvres aucune trace de ce déchirement intérieur, de ce dissidio qui rend si pathétiques c
33 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
44 humaniste, ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ironie. Nous ne savons presque rien de Shakespear
45 endes de ce temps n’auraient-elles point gardé de traces des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux
46 ivante en lui qu’il fut le premier à retrouver sa trace dans les symboles des minnesänger, dans la légende manichéenne de Par
34 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
47 mprobable qu’il s’abolisse jamais sans laisser de traces dans le cœur d’un homme moderne, intoxiqué d’images, — du moins perd-
35 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
48 sonnages dont ils nous content les amours. Et les traces qui subsistent, dans leur texte, d’anciennes pratiques de magie montr
36 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
49 tituer le cosmos à l’état adamique, d’effacer les traces du péché, de retrouver les noms réels et les « signatures » primitive
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
50 n, font irruption dans le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la fleur de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite.
51 milliers de vers, je n’en ai trouvé qu’une seule trace . C’est quand ils vivent dans la forêt de Morois, après l’évasion de T
52 . C’est la « marque rouge » qui met le roi sur la trace de l’adultère. Quant à nous, elle nous met sur la trace du dessein se
53 de l’adultère. Quant à nous, elle nous met sur la trace du dessein secret des amants : leur recherche du péril pour lui-même.
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
54 ? Et pourquoi n’y a-t-il dans leurs œuvres aucune trace de ce déchirement intérieur, de ce dissidio qui rend si pathétiques c
55 ale que de coutumes totalement oubliées, devenues traces ou cicatrices mentales, tout inconscientes et, de ce fait, aisément c
56 ique orthodoxe dans les grandes lignes, porte des traces indiscutables de manichéisme. Selon l’école néo-cathare française, le
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
57 humaniste, ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ironie. Nous ne savons presque rien de Shakespear
58 endes de ce temps n’auraient-elles point gardé de traces des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux
59 ivante en lui qu’il fut le premier à retrouver sa trace dans les symboles des minnesänger, dans la légende manichéenne de Par
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
60 mprobable qu’il s’abolisse jamais sans laisser de traces dans le cœur d’un homme moderne, intoxiqué d’images — du moins perd-i
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
61 d’un archétype dont on n’a pu trouver la moindre trace . Un autre aspect mythique de la légende de Tristan, c’est l’élément s
62 n, font irruption dans le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la fleur de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite.
63 milliers de vers, je n’en ai trouvé qu’une seule trace . C’est quand ils vivent dans la forêt de Morois, après l’évasion de T
64 . C’est la « marque rouge » qui met le roi sur la trace de l’adultère. Quant à nous, elle nous met sur la trace du dessein se
65 de l’adultère. Quant à nous, elle nous met sur la trace du dessein secret des amants : leur recherche du péril pour lui-même.
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
66 ? Et pourquoi n’y a-t-il dans leurs œuvres aucune trace de ce déchirement intérieur, de ce dissidio qui rend si pathétiques c
67 ale que de coutumes totalement oubliées, devenues traces ou cicatrices mentales, tout inconscientes et, de ce fait, aisément c
68 ique orthodoxe dans les grandes lignes, porte des traces indiscutables de manichéisme. Selon l’école néocathare française, les
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
69 humaniste, ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ironie. Nous ne savons presque rien de Shakespear
70 endes de ce temps n’auraient-elles point gardé de traces des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux
71 ivante en lui qu’il fut le premier à retrouver sa trace dans les symboles des minnesänger, dans la légende manichéenne de Par
44 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
72 mprobable qu’il s’abolisse jamais sans laisser de traces dans le cœur d’un homme moderne, intoxiqué d’images — du moins perd-i
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
73 sonnages dont ils nous content les amours. Et les traces qui subsistent, dans leur texte, d’anciennes pratiques de magie montr
46 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
74 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confront
47 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
75 us, et qu’il subsiste dans nos Églises pas mal de traces d’un piétisme affadi. Je n’oserais pas suggérer que nous tenons à res
48 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
76 t sans répit leur ruban de béton, semblables à la trace d’un grand fer à repasser au travers des savanes, des cultures et des
49 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
77 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confron
50 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
78 raie civilisation consiste dans la diminution des traces du péché originel. De même, la vraie sanctification consiste dans l’a
51 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
79 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confront
52 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
80 raie civilisation consiste dans la diminution des traces du péché originel. De même, la vraie sanctification consiste dans l’a
53 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
81 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confront
54 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
82 raie civilisation consiste dans la diminution des traces du péché originel. De même, la vraie sanctification consiste dans l’a
55 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
83 ’est une vision illuminante, instantanée, dont la trace ne tarde pas à s’évanouir dans mes yeux Cela suffit pourtant à guider
56 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
84 e plus secret, fût-il même un silence, laisse une trace au visage de l’homme, modifie sa forme existante. « La figure a été f
57 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
85 a nostalgie. Jusqu’au jour où l’humanité, sur les traces d’un grand philosophe, découvrira ce luxe inouï : la lenteur au sein
58 1946, Lettres sur la bombe atomique. I. La nouvelle
86 qu’à ce qu’à la nième opération on ne trouve plus trace du remède primitif, pas même une seule molécule. Il n’y a plus que de
59 1946, Lettres sur la bombe atomique. II. La guerre est morte
87 a nostalgie. Jusqu’au jour où l’humanité, sur les traces d’un grand philosophe, découvrira ce luxe inouï : la lenteur au sein
60 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV. Utopies
88 disait Baudelaire, consiste dans la réduction des traces du péché originel. La technique moderne préfère le mesurer à la réduc
61 1946, Lettres sur la bombe atomique. I . La nouvelle
89 qu’à ce qu’à la nième opération on ne trouve plus trace du remède primitif, pas même une seule molécule. Il n’y a plus que de
62 1946, Lettres sur la bombe atomique. II . La guerre est morte
90 a nostalgie. Jusqu’au jour où l’humanité, sur les traces d’un grand philosophe, découvrira ce luxe inouï : la lenteur au sein
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV . Utopies
91 disait Baudelaire, consiste dans la réduction des traces du péché originel. La technique moderne préfère le mesurer à la réduc
64 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
92 de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait
65 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
93 pour un usage massif, exactement prévu. Plus une trace de campagne primitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu, e
94 de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire, une petite lampe fait
95 t sans répit leur ruban de béton, semblables à la trace d’un grand fer à repasser au travers des savanes, des cultures et des
66 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
96 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confront
67 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
97 non encore occupée du pays, on n’aperçoit que des traces infimes d’un des plus grands désastres de l’histoire. Des ponts détru
98 stupeur de ruines qui semblent déjà permanentes. Traces de balles aux façades et pas de maisons derrière, en pleine Avenida c
68 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
99 a brousse. Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de l’homme dès qu’on s’éloigne des grandes pistes cimentées. On m’ava
100 pour un usage massif, exactement prévu. Plus une trace de campagne primitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu, e
69 1946, Journal des deux mondes. Virginie
101 egarder de très près le gazon, pour y chercher la trace d’un sabot vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en V
102 de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
103 u rêve. Et l’Archer vierge y court en vain sur la trace des figures de son désir. (« Oh ! qu’il garde ses flèches, il ne tuer
104  ? Ah ! les livres nous avaient bien trompés. Pas trace ici de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres climats, fait effe
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
105 rimaient, je ne retrouve dans mes souvenirs nulle trace d’en avoir jamais conçu gêne ou malaise, bien au contraire. Cette tri
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
106 e. S’il en paraît parfois, par accident, quelques traces ici ou là, c’est que le peuple de France lit trop de journaux, ne lit
107 ’espèce, mais l’espèce ne peut avancer que sur la trace des grands individus. La définition même de l’homme, ce qu’il a propr
108 ez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience cosmique en nous, de la conscience de notre royauté
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
109 râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé des traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendema
110 ce. Deux ou trois mâles faméliques reniflaient la trace de la chienne à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escalie
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
111 de marbre. Le tapis luxueux de l’entrée porte des traces de pneus : un locataire remise sa moto sous l’escalier.   Premier éc
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
112 s douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confron
113 mbassadeur de Suisse. 82. (Note de 1967.) Nulle trace de cette démarche dans les archives fédérales. On devait s’y attendre
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
114 non encore occupée du pays, on n’aperçoit que des traces infimes d’un des plus grands désastres de l’histoire. Des ponts détru
115 stupeur de ruines qui semblent déjà permanentes. Traces de balles aux façades et pas de maisons derrière, en pleine Avenida c
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
116 a brousse. Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de l’homme dès qu’on s’éloigne des grandes pistes cimentées. On m’ava
117 pour un usage massif, exactement prévu. Plus une trace de campagne primitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu, e
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
118 tres personnages officiels. Propos sérieux, nulle trace d’excitation, peu d’allusions à l’événement. Au dessert, on apporte u
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
119 egarder de très près le gazon, pour y chercher la trace d’un sabot vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en V
120 de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait
80 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
121 la population de New York, sont indemnes de toute trace directe d’éducation puritaine au foyer. Mais les standards moraux cré
122 nes gens, l’Européen s’étonne de ne point trouver trace de ce qu’il nommait libertinage. L’Américain, me semble-t-il, n’est p
81 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
123 la population de New York, sont indemnes de toute trace directe d’éducation puritaine au foyer. Mais les standards moraux cré
124 nes gens, l’Européen s’étonne de ne point trouver trace de ce qu’il nommait libertinage. L’Américain, me semble-t-il, n’est p
82 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
125 t sans répit leur ruban de béton, semblables à la trace d’un grand fer à repasser au travers des savanes, des cultures et des
83 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
126 ’est une vision illuminante, instantanée, dont la trace ne tarde pas à s’évanouir dans mes yeux. Cela suffit pourtant à guide
84 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
127 ébaïde, lorsque l’auteur et le lecteur perdent sa trace . Complexe d’infériorité, délire de persécution, perte du contact soci
85 1948, Suite neuchâteloise. I
128 erse en trois secondes — disparus sans laisser de traces , sans rejoindre en moi leur image. Un jour, il faudra s’arrêter, pass
86 1948, Suite neuchâteloise. V
129 ’idéal et de mélancolie, mais sans y retrouver la trace des larmes dont elle écrit souvent qu’elles furent baignées. L’on éta
87 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
130 qué pour le législateur ! S’il n’apportait qu’une trace de ce génie méfiant dans la rédaction des décrets garantissant les dr
88 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
131 une détente d’une vigueur folle, sans la moindre trace de passion. Non, ni « beau » ni « grotesque » n’ont rien à voir ici.
89 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
132 ’origine ancienne des communes suisses laisse des traces notables dans leur organisation présente. C’est ainsi que l’on distin
133 après les hostilités, n’en a pas moins laissé des traces profondes dans la structure de l’économie suisse. Des plis ont été pr
90 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
134 couvertes sur le calcul différentiel et intégral, trace les plans détaillés de la première turbine. À la même époque (xviiie
91 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
135 oup d’évêques qui dominent le concile portent les traces de la persécution et des tortures qu’ils ont subies.) Spectacle à vra
92 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
136 ale que de coutumes totalement oubliées, devenues traces ou cicatrices mentales tout inconscientes et, de ce fait, aisément co
137 oiqu’orthodoxe dans les grandes lignes, porte des traces indiscutables de manichéisme. Selon l’école néo-cathare française, le
93 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
138 t écrire : « On cherche en vain sur ce visage une trace d’humanité53. » Rajk étant réhabilité par les porteurs actuels du « m
139 de était donc de bonne foi en ne trouvant pas une trace d’humanité sur le visage de Rajk vivant. Il est encore et toujours de
140 core et toujours de bonne foi en retrouvant cette trace sur le cadavre du même Rajk réhabilité. N’a-t-il pas obéi dans les de
94 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
141 utron, il disparaît de ce monde sans y laisser de trace . Mais, si les particules du noyau de l’atome possèdent ainsi leur dou
95 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
142 déalisa, tandis que César devait en retrouver des traces en Gaule. Cette identité primitive, peut-être, cette parenté certaine
143 immenses, dénudées de mystère, nettoyées de toute trace de religion primitive et de vénération pour les choses, les plantes,
96 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
144 déalisa, tandis que César devait en retrouver des traces en Gaule. Cette identité primitive, peut-être, cette parenté certaine
145 immenses, dénudées de mystère, nettoyées de toute trace de religion primitive et de vénération pour les choses, les plantes,
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
146 p des évêques qui dominent le concile portent les traces physiques de la persécution et des tortures qu’ils ont subies.) Spect
147 t d’entrer dans l’ère technique en conservant les traces vivantes et les conflits de toutes ces phases successives. Cette dens
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
148 les gens que l’on voit vivre pour voir en eux les traces de leur vraie vocation, et sentir ce qui blesse vraiment leur dignité
99 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
149 , les châteaux de Ferney et de Coppet gardent les traces radioactives des plus brillantes constellations d’esprits qui influen
100 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
150 e deux parcours, c’était déjà une dame, mais sans trace d’affectation puérile… Elle était merveilleusement belle : brune, des
151 ons, d’une existence autonome… on en retrouve des traces jusque dans les circonstances les plus banales de l’amour : dans l’at