1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
1 partie septentrionale de l’Asie Mineure — vers la Béotie , la Locride, la Phocide, jusque dans cette Épire montagneuse dont Eur
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. IV. Cadmus ou la quête d’Europe
2 a chasse devant lui sans répit à travers toute la Béotie , jusqu’à ce qu’elle s’effondre, épuisée, au lieu où s’élèvera la vill
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
3 mmes », nous dit Hésiode. À ce poète qui vécut en Béotie vers l’an 900 avant J.-C., nous devons la première mention connue du
4 partie septentrionale de l’Asie Mineure — vers la Béotie , la Locride, la Phocide, jusque dans cette Épire montagneuse dont Eur
5 a chasse devant lui sans répit à travers toute la Béotie , jusqu’à ce qu’elle s’effondre, épuisée, au lieu où s’élèvera la vill
6 envoyé à la recherche : de Phénicie en Crète, en Béotie , en Illyrie, Cadmos avait marché vers cette terre du soir, — Hespéria
7 us vient des Phéniciens ; ceux-ci colonisèrent la Béotie et y firent souche et de leurs nobles dynasties des « Cadméens » proc
8 remier à nommer Europe, était né et avait vécu en Béotie … Relevons enfin deux autres éléments de parenté mythologique. Si Agén
4 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
9 p. 194-197. Sur l’établissement des Phéniciens en Béotie , cf. Victor Bérard, La Résurrection d’Homère, p. 190 et 191, Paris, 1
5 1968, {Title}. Message pour la Grèce (3 avril 1968)
10 traditions grecques. Il y eut d’abord Athènes, la Béotie , l’Ionie, la beauté dans la liberté, la piété, les sages et la scienc
6 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
11 cependant que son frère Cadmus fondera Thèbes en Béotie . Puis apparaît Jésus, « fils de David », qui se réclame de la traditi