1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
1 rêve et de l’inconscient telle que l’a poursuivie M. Albert Béguin , viennent s’ajouter, en 1937, des opportunités plus précises d’ordre
2 ble reprenne l’étude du phénomène à ses racines : M. Béguin vient de nous le donner, avec une maîtrise qui le met du coup au prem
3 nouvelles lorsque se vulgarisa l’œuvre de Freud. M. Béguin , d’ailleurs, prend ses distances vis-à-vis de la psychanalyse. Les in
4 tiel avec une clarté et une précision admirables, M. Béguin rend à notre littérature un service dont on ne saurait exagérer l’imp
5 nte, voire téméraire. On saura gré, d’ailleurs, à M. Albert Béguin , d’avoir su marquer avec tant de justesse le point précis où l’entrep
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
6 e nos origines les plus profondes que nous révèle M. Albert Béguin , en publiant son gros volume sur L’Âme romantique et le rêve. Livre c
7 omantiques allemands. « Ils admettent tous, écrit M. Béguin , que la vie obscure est en incessante communication avec une autre ré
8 tale pour des poètes —, tous les textes cités par Béguin nous inclinent à penser qu’ils sont plus proches des mystiques que de
9 ion s’éveille. Le chapitre important consacré par Béguin à Karl Philip Moritz peut nous y aider. Né dans un milieu quiétiste e
10 La biographie de plusieurs des poètes étudiés par Béguin nous indique une réponse. En effet, la blessure dont ils souffrent es
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
11 uses de Gottfried et les doctrines d’Augustin, de Bernard , d’Hughes de Saint-Victor et d’Abélard, fait éclater le catharisme pr
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
12 uses de Gottfried et les doctrines d’Augustin, de Bernard , d’Hughes de Saint-Victor et d’Abélard, fait éclater le catharisme pr
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
13 provient du catharisme : on le dérive tantôt de «  béguin  », désignant le bonnet de laine que portaient les ascètes errants, ta
14 s, tantôt de albigenses. (L’expression « avoir un béguin  » signifie en français moderne « être coiffé de quelqu’un », être amo
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
15 ption du mythe, pour « orthodoxe » que la déclare Béguin , n’en est pas moins ruinée de nos jours : d’un ensemble de travaux me
16 ges wagnériens dans la pure et dolente mélodie de Bernard , mais l’amour de désir infini, les tourments endurés, l’exil, et l’in
17 atharisme s’est infiltré chez les béguines et les béguins de saint François, dès le xiiie siècle. (Cf. supra, p. 254, 255.) Au
18 sur l’existence réelle et la diffusion parmi les béguins d’une semblable recherche de la tentation « méritoire » et « salutair
19 lutaire ». G. Roux déclare en effet que selon les béguins nul ne doit être déclaré vertueux (ou vertueuse) nisi se possent pone
7 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
20 ntérêt porté dès ce moment par S. A. R. le prince Bernard des Pays-Bas à la Fondation dont il allait devenir, six mois plus tar