1
rand succès, dans cet ordre, est allé au livre de
Céline
, Voyage au bout de la nuit, chef-d’œuvre de « documentaire », mauvais
2
l au parti stalinien que les livres de Gide et de
Céline
. P.-S. — On a corrigé par un erratum manuscrit la faute de la page
3
sociaux de huit-cents pages que nous assènent les
Céline
, Aragon ou Plisnier sont bien plus des pamphlets que des romans, des
4
t j’ai perdu ! Moi vous savez… Ce n’est pas comme
Céline
, ah celle-là ! Elle a la veine, que voulez-vous ! À la loterie, dans
5
t j’ai perdu ! Moi vous savez… Ce n’est pas comme
Céline
, ah celle-là ! Elle a la veine que voulez-vous ! À la loterie, dans l
6
éricains, un Lawrence, un Caldwell, un Faulkner. (
Céline
me paraît bien plus sain : il rit.) Voici ce que nous disent ces homm
7
t j’ai perdu ! Moi vous savez… Ce n’est pas comme
Céline
, ah celle-là ! Elle a la veine que voulez-vous ! À la loterie, dans l
8
e Cynique ? R. — Que voulez-vous que j’en fasse ?
Céline
est le modèle de votre Henry Miller, qui ne le vaut pas toujours, sau
9
eut-être, en ôtant les « idées ». Simplifions par
Céline
et Miller, voulez-vous ? Je n’ai pas cité bien d’autres écrivains fam
10
qui n’a pas encore trouvé son Swift, ni même son
Céline
, et qui n’est lue en fait que par quelques milliers de jeunes gens d’
11
aard ou Rozanov, Unamuno ou Gombrowicz, Breton ou
Céline
, en haine et dérision de tout rationalisme, ou encore comme Beckett,