1 t patronage. 6.Suite de la chevalerie, jusqu’à Cervantès L’influence du roman breton est attestée par des centaines de text

2 — c’était le symbole du collège des « parfaits »… Cervantès ne cite point les très nombreux romans de « chevalerie célestielle »

3 e militerait en faveur de la thèse selon laquelle Cervantès connaissait la signification réelle de la littérature courtoise, et r

4 t patronage. 6.Suite de la chevalerie, jusqu’à Cervantès L’influence du roman breton est attestée par des centaines de text

5 eton, renaît en filigrane à travers ces symboles. Cervantès ne cite point les très nombreux romans de « chevalerie célestielle »

6 e militerait en faveur de la thèse selon laquelle Cervantès connaissait la signification réelle de la littérature courtoise, et r

7 t patronage. 6.Suite de la chevalerie, jusqu’à Cervantès L’influence du roman breton est attestée par des centaines de text

8 eton, renaît en filigrane à travers ces symboles. Cervantès ne cite point les très nombreux romans de « chevalerie célestielle »

9 e militerait en faveur de la thèse selon laquelle Cervantès connaissait la signification réelle de la littérature courtoise, et r

10 ussi, avant le xixe siècle. Que faisaient Dante, Cervantès , Swift, Voltaire, Rousseau, etc. ? Et Calvin ! Mais La Fontaine, Raci

11 e des traductions, et que ni Goethe, ni Swift, ni Cervantès n’ont jamais reçu le prix Goncourt, ce qui doit apaiser bien des scru

12 té tant qu’on nous a servi Shakespeare et Goethe, Cervantès et Dostoïevski dans des versions réduites, émondées, aplaties. Mais i

13 Jean de la Croix : La Nuit obscure de l’âme. 34. Cervantès  : Don Quichotte. 35. Dante : La Divine Comédie. 36. Raimbaut d’Orange

14 apparaît quelque chose dans Villon, Shakespeare, Cervantès , Molière, et une fois dans Racine. La misère humaine est mise à nu, à