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lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons
Charles-Albert Cingria
, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cend
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lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons
Charles-Albert Cingria
, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cend
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Pétrarque, par
Charles-Albert Cingria
(avril 1933)k « Les modernes qui écrivent des livres sur Pétrarque
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t quelle sauce. Je ne veux pas être de ceux-ci ».
Charles-Albert Cingria
est donc de ceux dont l’érudition, quitte à passer pour macaronique —
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euse ». k. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Charles-Albert Cingria
, Pétrarque », La Nouvelle Revue française, Paris, avril 1933, p. 676
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? Mais non, il faut lire d’abord Pierre Girard et
Charles-Albert Cingria
: La Rose de Thuringe et Connaissez mieux le cœur des femmes, de Gira
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t Abélard : première moitié du xiie siècle. 28.
Charles-Albert Cingria
, Ieu oc tan (dans Mesures, n° 2, 1937). 29. Ibid. 30. Otto Rahn, L
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encontre se situe en 1118, très précisément. 30.
Charles-Albert Cingria
, Ieu oc tan (dans Mesures, n° 2, 1937). « Provençal » veut dire en ré
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encontre se situe en 1118, très précisément. 22.
Charles-Albert Cingria
, « leu oc tan » (dans Mesures, n° 2, 1937). « Provençal » veut dire e
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l dans le passé, et de nos jours, Robert de Traz,
Charles-Albert Cingria
, Gonzague de Reynold. Européens en ce sens qu’ils n’ont pas hésité à
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et de nos jours, parmi nos aînés, Robert de Traz,
Charles-Albert Cingria
, Gonzague de Reynold. Européens en ce sens qu’ils n’ont pas hésité à
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ssé, et de nos jours par un Robert de Traz, ou un
Charles-Albert Cingria
, Européens de conviction sans doute et souhaitant l’union du continen
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ard ; une première « civilisation », sur laquelle
Charles-Albert Cingria
a écrit un petit chef-d’œuvre de poétique érudition. Mais c’était bie
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rit d’une manière pertinente autant qu’originale,
Charles-Albert Cingria
: on ignore très généralement que les negro spirituals utilisent des
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nœud à son mouchoir… » La valise Lettre de
Charles-Albert Cingria
, sans date comme d’habitude, mais qui ne peut être que du printemps d
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ne civilisation chrétienne primitive sur laquelle
Charles-Albert Cingria
a écrit un petit chef-d’œuvre de poétique et d’intuitive érudition. C