1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 x-ci ne figurent pas pour autant l’Occident de la Chine ou de la Malaisie, ni le Japon l’Occident de l’Amérique ! Elle révèle
2 bouddhisme, pour recouvrir ensuite le Tibet et la Chine , la Malaisie, la Birmanie, et partiellement l’Indonésie, enfin le Jap
3 d’Aristote, et leur Orient n’est pas l’Inde ou la Chine , mais celui de la mystique « illuminée » de certaines traditions cora
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
4 s révoltes. Pourtant, que le Grand Khan balaye la Chine des Song, puis que les Ming chassent les Mongols, qu’un Chandragupta
5 christianisées de la côte du Malabar. Prenons la Chine  : le père de sa révolution fut le converti Sun Yat-sen, protestant fa
6 ndistes de Moscou. C’est ainsi que nous voyons la Chine s’occidentaliser dans le pire sens du terme, au lendemain d’une révol
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
7 vertes. Et personne ne peut dire à quel moment la Chine et l’Inde les ont connues par nous : ces civilisations rêvaient certa
8 ’Afrique grâce aux navigateurs arabes, et avec la Chine grâce aux navigateurs javanais. D’énormes jonques chinoises, capables
9 ve siècle les communications entre Calicut et la Chine  ; elles avaient même poussé jusqu’au golfe Persique. Mais ce sont les
10 rient. Dès la première moitié du viie siècle, la Chine des Tang est évangélisée par des pèlerins nestoriens ; elle se couvre
11 yant atteint les Bahamas et se croyant près de la Chine . Tous les ressorts de l’Aventure occidentale, nous les voyons se tend
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
12 haise pour l’empêcher d’aller casser les vases de Chine . Si on laisse la Bombe tranquille, elle ne fera rien, c’est clair. El
13 — sur deux points de la planète, au Caucase et en Chine , semble-t-il — c’est d’abord communier avec lui pour l’apaiser et le
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
14 uistes et bouddhistes, et les livres sacrés de la Chine sont particulièrement riches en exemples de cet ordre. L’idée que la
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
15 ser celle qu’a répandue l’Occident ? L’URSS et la Chine ne représentent-elles pas des phénomènes d’occidentalisation (trop ra
16 évisme a repris cette vieille méthode (exemples : Chine et satellites européens). Il prend ainsi la succession de l’islam, de
17 désormais dans le camp des haves, confrontés à la Chine , chef du camp des have nots. Tout se ramène alors, en apparences, au
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
18 res ambassades qui parvinrent à circuler entre la Chine et les papes de Rome et d’Avignon, par l’intermédiaire des princes ne
19 sionnaire en Asie, créa des évêchés dans toute la Chine mongole, au Turkestan et sur les côtes des Indes, pendant un Moyen Âg