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26. 41. L’auteur a simplifié. En effet, pour la
Chine
, la lumière vint de l’Occident : c’était la doctrine indienne du Boud
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celle de saint Louis. Marco Polo, redécouvrant la
Chine
, vient d’ajouter une dimension nouvelle au monde connu. Cette situati
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rroit estre debatu entre les roys de Perse, de la
Chine
, le Pretre-Jan, le Precop de Tartarie, et le grand duc de Moschouie…
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d’un trait d’union chrétien entre l’Europe et la
Chine
, en vue d’une synthèse supérieure des civilisations. Il semble encor
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prenons que Cam-hi, Amalogdo-Chan, monarque de la
Chine
et des Tartares les plus orientaux, et Jakso Adjam-Saugbed, roy des A
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apprenons tant par les relations nouvelles de la
Chine
, où le christianisme vient d’être autorisé et appuyé d’un édit du roy
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de son empire et dont le pays a été rattaché à la
Chine
; quant au négus d’Éthiopie et aux puissants rois de Fez et du Maroc,
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Le P. Duhalde dit que le commerce intérieur de la
Chine
est plus grand que celui de toute l’Europe. Cela pourrait être, si no
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, c’est-à-dire la Turquie, la Perse, le Mogol, la
Chine
, la Corée et le Japon. En Europe, au contraire, la zone tempérée est
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agita le monde barbare, et les révolutions de la
Chine
entraînèrent celles de la Gaule et de l’Italie. Les Huns, qui fuyaien
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it la loi aux nations paisibles et policées de la
Chine
, de l’Inde, et de la Perse, qui négligeaient et négligent encore de s
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de France se prolongeront jusqu’aux confins de la
Chine
. On ira en poste de Paris à Pékin, comme de Bordeaux à Strasbourg, sa
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pulations qui, telles que celles de l’Inde, de la
Chine
, etc., n’ont pu exercer sur notre passé aucune véritable influence, d
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ond de la lointaine Asie où il n’y a guère que la
Chine
qui puisse encore lui barrer le passage ; il enserre l’Afrique, ayant
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ire. L’antiquité ne les connut pas : l’Égypte, la
Chine
, l’antique Chaldée, ne furent à aucun degré des nations. C’était des
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sur celle de l’Europe, par exemple le Japon et la
Chine
. Pour ce qui est des Indes également, seules nous concernent les époq
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cience dépasse de loin les amorces qu’il y eut en
Chine
, aux Indes, et aussi dans la Grèce antique ; la science grecque est s
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l’agresseur ; et si, aujourd’hui, la Russie et la
Chine
ont renversé les rôles, c’est que nous entamons un nouveau chapitre d
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ant au nord-est, pour atteindre éventuellement la
Chine
, la Corée et le Japon. Si l’on se place à un point de vue purement ki
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produit d’un « art prolétarien moderne » dans la
Chine
d’aujourd’hui n’a plus rien de commun avec ce que nous connaissons de