1 s premières et moins peuplée que l’Inde ou que la Chine , ait en fait dominé le monde, de la Renaissance jusqu’aux débuts de n

2 it s’épanouir ? R. — Je n’en vois aucune. — Et la Chine  ? R. — Encore faudrait-il que ce soit une civilisation vraiment diffé

3 urelle aux peuples de grandes plaines, USA, URSS, Chine  ; — l’étude de l’écologie fait voir mieux que toute autre l’inanité d

4 que, adoptée par l’URSS et de là, transplantée en Chine , elle est devenue, au cours de ces dernières années, non seulement l’

5 orciers, ni l’Inde des castes et des sages, ni la Chine des paysans et des mandarins, n’avaient pu ou voulu produire de machi

6 à trouver des chaires d’européisme en Inde ou en Chine , encore qu’il soit juste d’observer que les Chinois qui ont appris le

7 , par exemple ? ou encore, des relations entre la Chine nouvelle et toutes les autres régions non européennes, qui posent des

8 avec l’Afrique noire, ou avec l’Inde, ou avec la Chine , ces quatre ensembles adopteront des attitudes très différentes, parf

9 ur commun aux problèmes de l’Inde et à ceux de la Chine , par exemple, ou encore aux problèmes de la Chine et à ceux du Japon.

10 Chine, par exemple, ou encore aux problèmes de la Chine et à ceux du Japon. Au surplus, la problématique Est-Ouest, chère à H

11 rique noire (francophone et anglophone) ; Japon ; Chine  ; Indonésie. C’est entre ces régions bien distinctes, et non pas entr