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taine discipline érotico-mystique dont l’Inde, la
Chine
et le Proche-Orient surent les recettes. Tout cela me paraît vraisemb
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idéale du bon mariage : curieuse analogie avec la
Chine
. Et de fait, c’est à partir de ce xviie siècle « rationnel » que nos
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guerrier des « volontaires » (Baltikum, Espagne,
Chine
). C’est la débauche désespérée et vénale de celui qu’a déçu la passio
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i le christianisme, accueilli par les Indes ou la
Chine
, y eût produit les mêmes effets. Mais la réponse n’importe pas ici :
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dentaux. Il en va tout autrement des Indes, de la
Chine
, du Tibet, sinon peut-être du Japon médiéval (voir le célèbre roman G
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e Chinois : Le concept d’amour » n’existe pas en
Chine
. Le verbe « aimer » est employé seulement pour définir les rapports e