1 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
1 , d’un Alberto Giacometti pour la sculpture, d’un Dürrenmatt et d’un Max Frisch pour le théâtre, d’un chef d’orchestre comme Ernes
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 théologique en somme quoique un peu loufoque, de Dürrenmatt , l’a fait comparer à Kafka et au théâtre du Grand-Guignol par des cri
3 oise ou berlinoise. Beaucoup moins « suisse » que Dürrenmatt , plus sophistiqué, non moins prompt à dénoncer l’hypocrisie sociale d
4 ns espoir de Ramuz, par les virulentes satires de Dürrenmatt , ou par les innombrables essais sur le malaise suisse dus à de jeunes
3 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
5 Max Bill à Giacometti et Tinguely ; du théâtre de Dürrenmatt , et des romans de Max Frisch… Mais je dois me réduire à l’essentiel :
4 1975, Articles divers (1974-1977). Notre complexe de culpabilité (1975)
6 ns espoir de Ramuz, par les virulentes satires de Dürrenmatt , ou par les innombrables essais sur le malaise suisse dus à de jeunes
5 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
7 ions du grand public dues aux dramaturges suisses Dürrenmatt et Frisch. De même, en Grande-Bretagne, c’est une génération d’auteur
6 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
8 obre à Genève) couronnant, après celles de Ramuz, Dürrenmatt et Frisch, son œuvre d’écrivain et de penseur, Denis de Rougemont a b