1
ries ». (Par malheur, l’auteur de ce mot d’ordre,
M. Debré
, ne pensait qu’à l’Europe des États, qui est tout à fait autre chose.
2
es hommes politiques comme Mendès-France, Pleven,
Debré
. Parmi les titres caractéristiques, je citerai : Décoloniser la provi
3
s comme Mendès-France, Pleven, Giscard d’Estaing,
Debré
. Au-delà de ce considérable effort d’imagination passionnée, de reche
4
thèses fort précises et bien propres à choquer le
Debré
qui sommeille en chaque citoyen : on vous demandait si vous accepteri
5
et d’abord le Premier. Contre ? Duclos, Sartre,
Debré
, le fond des provinces poujadistes, les vieilles châtelaines anglopho
6
à cause de l’État-nation, que défend Duclos comme
Debré
, et sur lequel Sartre est muet. Si l’on entend tenir compte des condi
7
a puissance militaire. » On peut tout reprocher à
M. Debré
sauf un manque de franchise. Peu d’hommes politiques l’égalent sur ce
8
l’indépendance nationale » avec autant de feu que
Debré
. Et si la « Diane française » d’Aragon reste moins efficace que Dérou
9
une souveraineté ni un fief, ni un État.) À quoi
M. Michel Debré
fait écho quelques jours plus tard en déclarant : Briser les nations
10
ir sur un système médiéval… », déclare à son tour
M. Michel Debré
. Ceux qui parlent de régions sont « des imbéciles ignorant l’histoire
11
t-neuf en 1976. Quant au Moyen Âge, MM. Pompidou,
Debré
et Marchais s’imaginent qu’il suffit d’évoquer son spectre hideux pou
12
tir l’avenir sur un système médiéval », renchérit
M. Michel Debré
. Quant au secrétaire général du parti gaulliste il traite « d’imbécil
13
rent-ils le cauchemar ? 188. Selon les termes de
M. Debré
, alors ministre de la Guerre, lors d’une interview télévisée. Les deu
14
d, mais aussi l’Europe des régions vilipendée par
M. Debré
, cependant que J. Chirac départageait… Oui, « pour parler d’Europe,
15
Mitterrand, entre ces deux-là et Marchais, entre
Debré
et Giscard, ou Lecanuet et Chirac, l’Europe ne serait même pas mentio
16
i va traiter des vrais problèmes ? S’avance alors
M. Michel Debré
. III. Sur un « livre infâme » Depuis trente ans, M. Debré a bea
17
II. Sur un « livre infâme » Depuis trente ans,
M. Debré
a beaucoup parlé de l’Europe, il a même écrit un ouvrage proposant de
18
sa vraie nature de « complot contre la France ».
M. Debré
est fermement persuadé que les fédéralistes européens ne pensent qu’à
19
sérieux les propos de l’ancien Premier ministre.)
M. Debré
poursuit : « Son dernier livre est dédicacé (sic) à tous les peuples
20
plus, comme tout serait simple ! » On notera que
M. Debré
n’a pas cité le titre du livre qu’il se borne à désigner comme mon «
21
ignifiant ». Mais il est clair qu’il y avait chez
Debré
tout autre chose que l’intention d’insulter un auteur mal pensant : c
22
nts) la Bretagne, l’Occitanie, la Provence, etc.,
Debré
et ses amis s’imaginent, c’est normal, que l’Europe va faire de même
23
29. 14. Nous citons ici les notes du discours de
M. Debré
, distribuées aux journalistes lors du congrès du RPR à Paris, le 12 n
24
nde » (ex-président du Conseil Édouard Daladier).
Debré
et Marchais dénoncent aujourd’hui le « danger politique de l’axe Pari
25
orges Pompidou à Jacques Chirac et de Lipkowski à
Debré
, ils n’ont cessé de clamer, depuis dix ans, leur rejet indigné des ré
26
e que les principaux ténors de la doctrine — dont
M. Debré
est le plus souvent et le plus volontiers cité par Jouve — n’ont cess
27
de droite, qui s’imaginent, comme MM. Marchais et
Debré
, que le fédéralisme interne conduirait au séparatisme, tandis que la
28
nçais moyen, mais qui n’en a aucune idée exacte :
Debré
a traité mon livre de « livre infâme » ! Pour conclure, je vais vous
29
». On croirait entendre Marchais… ou Chirac ; ou
Debré
… aujourd’hui78. Le terme de « Souveraineté » évoquait sous l’Ancien R
30
ies. » (Discours de Bourges, 8 mai 1979). Le même
Debré
écrit encore : « Ou bien la nation française existe une et souveraine
31
er à la télévision française en décembre 1966 par
M. Michel Debré
. À une question d’un journaliste qui lui demandait pourquoi il s’étai
32
imple province ». Si nous commentons la phrase de
Debré
, ceci revient à dire que des nationalistes de son type d’esprit redou