1 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
1 mes, pauvres impuissants, restant de la Colère de Dieu , aussi de sa miséricorde. Il n’y a pas de communion humaine hors l’un
2 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
2 mais être dans la foi, c’est faire la volonté de Dieu , c’est agir, c’est donc attester sa dignité proprement humaine. La fo
3 que cette transformation s’appelle le Royaume de Dieu , non le royaume de l’homme moyen. Contre le réactionnaire, il affirme
4 ute politique chrétienne : « L’homme seul (devant Dieu ) est au-dessus de la collectivité. » Cela ne signifie pas que le croy
5 qu’est sa foi, — sa situation personnelle devant Dieu . Non seulement le chrétien pourra et devra collaborer avec tous les «
6 ui se fonde dans ce rapport originel de l’homme à Dieu , d’où découle la relation réelle et humainement bienfaisante que l’Év
3 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
7 ard, « une différence qualitative infinie » entre Dieu et l’homme. Le tout de l’homme est négation de Dieu. C’est pourquoi l
8 eu et l’homme. Le tout de l’homme est négation de Dieu . C’est pourquoi l’homme n’arrive à Dieu et à la Vie qu’en mourant tot
9 gation de Dieu. C’est pourquoi l’homme n’arrive à Dieu et à la Vie qu’en mourant totalement à soi-même. Periissem nisi perii
4 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
10 cendance de l’éternel, répondent : celui qui voit Dieu , meurt. Car à la suprême vision correspond la suprême transformation.
11 mme un appel de la lumière. La première parole de Dieu  : « Que la lumière soit » est aussi le premier moteur de l’univers. T
12 e in visione, dans la contemplation de la Face de Dieu , le second qu’elle réside in amore ? N’était-ce pas se tromper à la f
13 ature de l’amour et sur celle de la vision ? Voir Dieu , c’est se transformer au sens le plus violent et le plus impossible d
14 s violent et le plus impossible d’ailleurs ; voir Dieu c’est aller à lui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde : voir Dieu
15 ui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde : voir Dieu , c’est être regardé par lui. Mais alors, c’est aussi être aimé, et c’
16 plus que tout autre, a parlé de la « beauté » de Dieu , savait que vision et amour sont un seul acte et une seule réponse :