1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
1 que fait un chrétien, il le dédie à la gloire de Dieu , et c’est là toute la différence. Dira-t-on qu’elle n’est guère visib
2 vice. Or tout service qui n’est pas le service du Dieu vivant se trouve devenir une servitude. Un romancier communiste doit
3 sultats. Il ne saurait les prévoir, puisque c’est Dieu seul qui convertit les hommes. L’unique préoccupation de l’artiste ch
4 e ou conversions produites). Le chrétien sert son Dieu , — et ensuite Dieu se sert de lui et de son œuvre comme il Lui plait.
5 oduites). Le chrétien sert son Dieu, — et ensuite Dieu se sert de lui et de son œuvre comme il Lui plait. Mais je m’aperçois
6 ade le calviniste Ambroise Paré : « Je le pansay. Dieu le guarit. » Nous ne saurions « guérir » personne. On ne nous demande
7 e le voient les yeux de la foi : dans le péché où Dieu le cherche et où la grâce vient le trouver, — presque toujours par d’
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
8 service de l’étranger une humeur belliqueuse qui, Dieu merci, ne trouvait pas à s’exercer dans nos cantons paisibles. Pourqu
3 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
9 mes le règne de l’Homme fort, et non la gloire du Dieu vivant. C’est pourquoi notre vraie défense contre lui ne peut être qu
10 ymbole juge le Troisième Reich. C’est un signe de Dieu dans notre histoire confuse. l. « Qui est Hitler ? » L’Hebdomadaire
4 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
11 on de toute vie créée, la plénitude universelle : Dieu tout en tous. Au regard d’une telle foi, toute autre « fin » paraît t
5 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
12 levez-vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, tous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains,
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
13 que voici : Pour les réformateurs, l’homme devant Dieu égale zéro. Pour les modernes, un protestant égale une personnalité.
14 dre ici. Comment passer du zéro de l’homme devant Dieu à la valeur infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théo
15 auté absolue de tous les temps : l’incarnation de Dieu dans l’homme fondant une société absolument nouvelle : l’Église. Qu’e
16 terrestre : il s’est assis au Ciel à la droite de Dieu . Leurs ambitions non plus ne sont pas terrestres, car ce qu’elles att
17 restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de Dieu . Jamais ils n’ont admis d’être présentés comme des novateurs. « Nous
18 ’exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu . » Du point de vue qui nous intéresse ici, je dirai que l’œuvre de Ca
19 État. La personne chrétienne, ce sera le rôle que Dieu attribue à chaque homme. Notez bien que nous retrouvons ici le parado
20 e, distincte et reliée à nouveau. Car le rôle que Dieu attribue à un homme distingue cet homme, l’isole, mais en même temps
21 t qu’il peut incarner une volonté particulière de Dieu . Et dès lors, cet homme n’a pas seulement le droit d’être respecté pa
22 par cela je ne sois nullement empêché de rendre à Dieu le service que je lui dois par ma vocation. » C’est à ma connaissance
23 garchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent être obéies comme telles. Une fois cependant il marque une
24 que la personnalité, si grande soit-elle, devant Dieu c’est zéro. Et si l’on se borne au social, il faut prévoir que ces pe
7 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
25 nieuses et magnifiques, pleines de la grandeur de Dieu . Je me suis retourné, me demandant à quel être supérieur et choisi la
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
26 croyait volontiers que chaque État était voulu de Dieu , et qu’il jouissait par conséquent d’une légitimité indiscutable. La
27 e certains États modernes n’ont pas été créés par Dieu , mais par le traité de Versailles. Et c’est bien vrai. Elle dit aussi
28 notre Confédération fut « autrefois » voulue par Dieu , il nous faut nous demander, maintenant, si vraiment Dieu la veut enc
29 nous faut nous demander, maintenant, si vraiment Dieu la veut encore. Nous avons fait serment, le 2 septembre, de défendre
30 qu’elle a le droit et le devoir d’exister, devant Dieu . On n’a pas le droit de mourir pour quelque chose qui ne fournit pas
9 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
31 ous serons mieux armés pour défendre la Suisse où Dieu nous veut à son service. y. « La Suisse que nous devons défendre. I
10 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
32 uche, un entraînement pour le « combat final » où Dieu seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne nous accusera,
11 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
33 , j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en Dieu ne sait pas non plus croire au diable, et ne sait pas le reconnaître,
34 e notre aveuglement, il y a notre incrédulité. Si Dieu existait, pleurons-nous, il ne permettrait pas cela ! Nous oublions q
35 s oublions que « cela », c’est nous aussi, et que Dieu malgré tout nous aime. Si nous avions su croire en lui pendant le tem
36 rce que l’injustice triomphe, non point parce que Dieu n’existe pas, mais au contraire parce que Dieu existe, et qu’il est j
37 ue Dieu n’existe pas, mais au contraire parce que Dieu existe, et qu’il est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous ad
12 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
38 our la défense et la rénovation de l’héritage que Dieu nous a confié. Nos raisons d’être tiennent dans ses deux mots : liber
13 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
39 raîne notre expulsion violente hors du Royaume de Dieu . « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre
40 arèrent que leur alliance devait, s’il plaisait à Dieu , durer « éternellement ». C’était une manière d’affirmer qu’ils la co
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
41 le sceau des poèmes qu’il dédie « à la gloire de Dieu  ». ⁂ Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un peu tous l
42 ait exactement ce que vaut une vie d’homme devant Dieu . 15. Vers du Biccocalied. À la bataille de la Bicoque, les lansquen
15 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
43 histoire de Genève ! Cette variété dans l’unité — Dieu veuille nous la conserver — voilà la véritable école de l’amitié ! Et