1
que fait un chrétien, il le dédie à la gloire de
Dieu
, et c’est là toute la différence. Dira-t-on qu’elle n’est guère visib
2
vice. Or tout service qui n’est pas le service du
Dieu
vivant se trouve devenir une servitude. Un romancier communiste doit
3
sultats. Il ne saurait les prévoir, puisque c’est
Dieu
seul qui convertit les hommes. L’unique préoccupation de l’artiste ch
4
e ou conversions produites). Le chrétien sert son
Dieu
, — et ensuite Dieu se sert de lui et de son œuvre comme il Lui plait.
5
oduites). Le chrétien sert son Dieu, — et ensuite
Dieu
se sert de lui et de son œuvre comme il Lui plait. Mais je m’aperçois
6
ade le calviniste Ambroise Paré : « Je le pansay.
Dieu
le guarit. » Nous ne saurions « guérir » personne. On ne nous demande
7
e le voient les yeux de la foi : dans le péché où
Dieu
le cherche et où la grâce vient le trouver, — presque toujours par d’
8
service de l’étranger une humeur belliqueuse qui,
Dieu
merci, ne trouvait pas à s’exercer dans nos cantons paisibles. Pourqu
9
mes le règne de l’Homme fort, et non la gloire du
Dieu
vivant. C’est pourquoi notre vraie défense contre lui ne peut être qu
10
ymbole juge le Troisième Reich. C’est un signe de
Dieu
dans notre histoire confuse. l. « Qui est Hitler ? » L’Hebdomadaire
11
on de toute vie créée, la plénitude universelle :
Dieu
tout en tous. Au regard d’une telle foi, toute autre « fin » paraît t
12
levez-vous et chantez ! Dans la paix que notre
Dieu
nous envoie Oui, tous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains,
13
que voici : Pour les réformateurs, l’homme devant
Dieu
égale zéro. Pour les modernes, un protestant égale une personnalité.
14
dre ici. Comment passer du zéro de l’homme devant
Dieu
à la valeur infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théo
15
auté absolue de tous les temps : l’incarnation de
Dieu
dans l’homme fondant une société absolument nouvelle : l’Église. Qu’e
16
terrestre : il s’est assis au Ciel à la droite de
Dieu
. Leurs ambitions non plus ne sont pas terrestres, car ce qu’elles att
17
restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de
Dieu
. Jamais ils n’ont admis d’être présentés comme des novateurs. « Nous
18
’exposition simple et fidèle de la pure Parole de
Dieu
. » Du point de vue qui nous intéresse ici, je dirai que l’œuvre de Ca
19
État. La personne chrétienne, ce sera le rôle que
Dieu
attribue à chaque homme. Notez bien que nous retrouvons ici le parado
20
e, distincte et reliée à nouveau. Car le rôle que
Dieu
attribue à un homme distingue cet homme, l’isole, mais en même temps
21
t qu’il peut incarner une volonté particulière de
Dieu
. Et dès lors, cet homme n’a pas seulement le droit d’être respecté pa
22
par cela je ne sois nullement empêché de rendre à
Dieu
le service que je lui dois par ma vocation. » C’est à ma connaissance
23
garchies et républiques sont également voulues de
Dieu
et doivent être obéies comme telles. Une fois cependant il marque une
24
que la personnalité, si grande soit-elle, devant
Dieu
c’est zéro. Et si l’on se borne au social, il faut prévoir que ces pe
25
nieuses et magnifiques, pleines de la grandeur de
Dieu
. Je me suis retourné, me demandant à quel être supérieur et choisi la
26
croyait volontiers que chaque État était voulu de
Dieu
, et qu’il jouissait par conséquent d’une légitimité indiscutable. La
27
e certains États modernes n’ont pas été créés par
Dieu
, mais par le traité de Versailles. Et c’est bien vrai. Elle dit aussi
28
notre Confédération fut « autrefois » voulue par
Dieu
, il nous faut nous demander, maintenant, si vraiment Dieu la veut enc
29
nous faut nous demander, maintenant, si vraiment
Dieu
la veut encore. Nous avons fait serment, le 2 septembre, de défendre
30
qu’elle a le droit et le devoir d’exister, devant
Dieu
. On n’a pas le droit de mourir pour quelque chose qui ne fournit pas
31
ous serons mieux armés pour défendre la Suisse où
Dieu
nous veut à son service. y. « La Suisse que nous devons défendre. I
32
uche, un entraînement pour le « combat final » où
Dieu
seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne nous accusera,
33
, j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en
Dieu
ne sait pas non plus croire au diable, et ne sait pas le reconnaître,
34
e notre aveuglement, il y a notre incrédulité. Si
Dieu
existait, pleurons-nous, il ne permettrait pas cela ! Nous oublions q
35
s oublions que « cela », c’est nous aussi, et que
Dieu
malgré tout nous aime. Si nous avions su croire en lui pendant le tem
36
rce que l’injustice triomphe, non point parce que
Dieu
n’existe pas, mais au contraire parce que Dieu existe, et qu’il est j
37
ue Dieu n’existe pas, mais au contraire parce que
Dieu
existe, et qu’il est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous ad
38
our la défense et la rénovation de l’héritage que
Dieu
nous a confié. Nos raisons d’être tiennent dans ses deux mots : liber
39
raîne notre expulsion violente hors du Royaume de
Dieu
. « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre
40
arèrent que leur alliance devait, s’il plaisait à
Dieu
, durer « éternellement ». C’était une manière d’affirmer qu’ils la co
41
le sceau des poèmes qu’il dédie « à la gloire de
Dieu
». ⁂ Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un peu tous l
42
ait exactement ce que vaut une vie d’homme devant
Dieu
. 15. Vers du Biccocalied. À la bataille de la Bicoque, les lansquen
43
histoire de Genève ! Cette variété dans l’unité —
Dieu
veuille nous la conserver — voilà la véritable école de l’amitié ! Et