1 es dogmes fondamentaux : la Trinité transporte en Dieu lui-même le paradoxe de l’Un et du divers, tandis que l’incarnation p

2 ition de la Personne de Jésus-Christ comme « vrai Dieu et vrai homme » à la fois selon les formules conciliaires de Nicée et

3 s manuels, comme si la nation avait été créée par Dieu  ; ce serait par volonté divine que les rois de France ont unifié l’he

4 et incroyants, droit que n’a plus aucune Église, Dieu merci ! Refus de servir et on vous emprisonne, intelligence avec l’en

5 se, célébrée par deux protestants ! La part de Dieu Il serait vain de faire appel à des éléments contingents pour expl

6 s’ouvre et s’ordonne à l’amour, c’est-à-dire : à Dieu tel qu’il s’annonce au « cœur » de l’homme. Sa musique est chrétienne

7 « le fondement de l’être dans le monde, à savoir Dieu  »3. En ce point, tout s’éclaire et s’enchaîne. L’anecdote dont je par

8 epuis des siècles, ne peut guère plus concevoir «  Dieu  » et la vie spirituelle que dans les cadres institutionnels des Églis

9 rec, sans lequel point de sciences) ; —l’amour de Dieu et du prochain comme de soi-même (héritage judéo-chrétien) ; — la not

10 ure. Ils croient que l’État-nation a été créé par Dieu le septième jour de la création, que c’est le sommet de l’histoire, q

11 où l’on constate ces deux réalités antinomiques : Dieu et homme. D’après le concile de Chalcédoine, au ve siècle, les deux

12 oit unique au monde et doit créer son chemin vers Dieu , vers l’unité. Ce chemin, chacun doit l’inventer tous les jours. D’au

13 , c’était la foire d’empoigne. Chacun pour soi et Dieu pour tous et on ne croyait pas en Dieu en disant cela. Aujourd’hui, d

14 our soi et Dieu pour tous et on ne croyait pas en Dieu en disant cela. Aujourd’hui, depuis une dizaine d’années pour ceux qu

15 ière à remplir l’Hexagone, forme idéale créée par Dieu , par la Raison ou par la nature, selon les écoles successives d’idéol

16 sont vos chances de l’actualiser ? Notre taille, Dieu merci minuscule ! Elle seule permet la coexistence quotidienne des di

17 ses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu . Spinoza : Éthique Finalité de l’Europe unie : la liberté, non la

18 oral le conduisit vers de plus humbles tâches, en Dieu plus grandes, et vers la liberté d’esprit. » Qu’avez-vous hérité de l

19 « Jeunesse déchassée par l’honneur et reboutée de Dieu , avec quelle rigueur le péché vous malmène ! » Béroul a dit seulement