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se cacher, comme Adam derrière les buissons quand
Dieu
rappelle, plutôt que de reconnaître ses responsabilités. Si utiles qu
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rk. Il se demandait comment un homme qui croit en
Dieu
pouvait avoir des relations avec la magie. Car c’est un fait qu’au co
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rinité : comment définir et distinguer en un seul
Dieu
, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, c’est-à-dire les trois relation
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ant qu’ils confessaient Jésus-Christ comme « vrai
Dieu
et vrai homme » à la fois, les Pères du concile de Chalcédoine ont po
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notion théomorphe de l’homme et anthropomorphe de
Dieu
. Voilà pour l’origine, « technique » en quelque sorte, de la notion,
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equel estime que l’homme, étant fait à l’image de
Dieu
, est lui aussi une personne ; puis par Boèce, philosophe non chrétien
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mmenté par tout le Moyen Âge. Homologue du « vrai
Dieu
et vrai homme », de la Deuxième Personne divine, la personne humaine
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iculier vers le But qui l’appelle, qu’il le nomme
Dieu
, ou l’Absolu, la Vérité ou le Bonheur. Le But suprême est le même pou
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nt ont commencé par répéter, après Nietzsche, que
Dieu
est mort, et que cela signifiait la « mort de l’homme », et donc de t
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l’espèce humaine. Car l’homme ne peut rien contre
Dieu
, tout contre l’homme. Quand on nie Dieu, comme la plupart des écoles
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en contre Dieu, tout contre l’homme. Quand on nie
Dieu
, comme la plupart des écoles de pensée modernes, existentialistes, fr
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omme Adam court se cacher dans les buissons quand
Dieu
l’interpelle en Eden. On peut très bien ne pas croire à la personne.
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e ? Comment peuvent-ils signer, tout simplement ?
Dieu
est mort, nous disent-ils, l’homme est mort, il n’y a plus de sujet,
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e, des pharisiens de la politique, qui remercient
Dieu
de ce qu’ils ne sont pas comme les autres. Le Suisse est assis dans s
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t dans la conscience nationale que le jugement de
Dieu
qui pèse sur le monde nous devient clair. Ceci ne nous dispense nulle
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i et auquel il oppose la « liberté des enfants de
Dieu
». La révolution paulinienne consiste dans la proclamation que « tout
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ceci que le christianisme, religion de l’Amour («
Dieu
est Amour »), créé par un acte d’amour (« Dieu a tant aimé le monde q
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(« Dieu est Amour »), créé par un acte d’amour («
Dieu
a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique… »), et dont toute
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commandement unique « Tu aimeras le Seigneur ton
Dieu
et ton prochain comme toi-même », cette foi nouvelle n’a pas de livre
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voit par exemple dans l’épisode du « jugement de
Dieu
» commenté par Gottfried de Strasbourg). Et le salut vient par la gr
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t la douleur, c’est qu’on ne veut plus aimer… Que
Dieu
me conserve cette douleur qui m’est indiciblement chère. L’amour
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lement quête du plaisir transcendant et « mort de
Dieu
». Il s’est fait le théologien d’une mystique athée fondée sur le seu
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isait : « L’avenir n’appartient à personne mais à
Dieu
. » Ou « De quoi demain sera-t-il fait ? » Vous, vous écrivez : « La d
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nos propos sur l’avenir, ce n’est quand même pas
Dieu
qui remplit sans nous consulter les réservoirs de nos voitures, c’est
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nt les impératifs. » Exactement comme Adam, quand
Dieu
est venu le chercher au Paradis et qu’il est allé se cacher derrière
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’il n’a pas dit : « Je ne suis pas là. » Et quand
Dieu
lui a demandé : « Qu’est-ce que tu as fait ? », il a dit : « Ce n’est
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l a dit : « Ce n’est pas moi, c’est Ève » ; alors
Dieu
a demandé à Ève : « Qu’est-ce que tu as fait ? » Et Ève a dit : « Ce
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ommode « l’avenir n’appartient à personne, mais à
Dieu
» ? Je préfère que l’homme se demande maintenant « Que puis-je faire
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» Vous refusez de voir l’intervention du doigt de
Dieu
dans certains événements ? Des hommes sensibles Je suis chrétie
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l ni de la Lune pour l’éclairer, car la gloire de
Dieu
l’éclaire ». Ainsi la fin de l’homme n’est pas le « retour à la Mère
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de la Bible, mais de juger si c’est la Parole de
Dieu
, donc Dieu, qui est le sujet de ces énoncés, ou bien au contraire si
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e, mais de juger si c’est la Parole de Dieu, donc
Dieu
, qui est le sujet de ces énoncés, ou bien au contraire si l’homme se
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ie, puisque le vrai chemin, qui conduit l’homme à
Dieu
, part toujours d’une personne sans précédent. 22. W. Pauli, « Wahr
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de fer, Seigneur, comment les expliquez-vous ? »
Dieu
, gêné : « Les accidents de chemin de fer, cela ne s’explique pas, ça