1 1978, Articles divers (1978-1981). Le diable en Suisse (1er janvier 1978)
1 i importe ? Il sait qu’il a le temps pour lui, si Dieu garde l’éternité. J’écrivais trois ans avant que la chose n’arrive,
2 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
2 am et Ève dans l’histoire de la Genèse ! Le soir, Dieu vient dans le jardin du paradis et demande qui a mangé la pomme. Aprè
3 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
3 ses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu . Spinoza Quand on arrive chez C. F. Ramuz, dans une ample maison cam
4 dernières : le voici dressé devant nous, comme si Dieu venait parler lui-même sur les places et dans les cafés, parmi les ch
4 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
5 re le Père, le Fils et le Saint-Esprit en un seul Dieu , a été appliqué presque aussitôt à l’homme par saint Augustin, puis p
6 ponsable. En effet, la vocation qu’il reçoit d’un Dieu transcendant le distingue dans la masse, mais en même temps le relie
7 ogme de l’Incarnation, d’autre part, selon lequel Dieu a choisi de descendre vers nous, pour se manifester aux hommes dans u
8 orps, la matière, le cosmos étaient des œuvres de Dieu , et méritaient donc d’être étudiés par les meilleurs esprits. Si l’on
9 l’humanité. Parce que l’événement de la venue de Dieu sur la Terre, en forme d’homme, qui marque le début de notre manière
5 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
10 question, de siècle en siècle, ses rapports avec Dieu , avec le monde, avec l’État et la communauté. Toute notre histoire il
6 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
11 ut commun à tous les hommes de tous les temps : «  Dieu  », l’Absolu, le Sens, la Fin dernière — qui ne peut pas ne pas existe
7 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
12 ue veux-tu donc ? » et elle dit enfin : « Je veux Dieu  ! » À cette légende de la faim inextinguible j’opposerai l’histoire v
8 1980, Articles divers (1978-1981). Un précurseur de l’engagement politique (1er mai 1980)
13 tion sociale ou politique. C’est un peu le fou de Dieu . Le fou opposé au sage. Et ces deux auteurs m’ont fortement influencé
9 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
14 t à l’imprimeur. L. v. d. D. s. f. [La volonté de Dieu soit faite !] 23 décembre. Travaillé. L’imprimeur va plus vite que m
15 lle à corriger. Quel sera l’effet ? La volonté de Dieu soit faite. 30 janvier. La bombe est lâchée. L. v. d. D. s. f. L’ou
10 1980, Articles divers (1978-1981). L’avis de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)
16 s de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)aq Le Conseil d’État de Genève a d
17 ! ⁂ Tout cela donc est placé sous l’invocation de Dieu en tant que « Tout-Puissant ». On a dit, et c’est l’un des principaux
18 que reconnaître et invoquer la toute-puissance de Dieu signifie reconnaître du même coup que l’État n’est pas tout-puissant.
19 solenniser leurs discours invoquent volontiers «  Dieu  » sous le nom de Providence. Chaque fois que j’entends ce nom je me d
20 un démagogue, et qui probablement ne croit pas en Dieu , mais ne veut pas renoncer au bénéfice de l’invoquer — afin de le met
21 tifier leur cause. S’ils se mettent à invoquer le Dieu « tout-puissant », ce n’est pas du tout, dans leur esprit, que cela p
22 le sujet, doit aux autorités constituées : c’est Dieu qui les a instituées, elles participent donc de sa Toute-puissance, e
23 ique et confirme à mes yeux que l’invocation au «  Dieu tout-puissant » n’est qu’une manière de garantir, voire d’absolutiser
24 f si l’on changeait l’adjectif qui suit le nom de Dieu , et s’il était bien entendu que les non-chrétiens, qui sont tout de m
25 ès insoluble. On a dit enfin, de l’invocation « à Dieu tout-puissant », qu’elle s’inscrivait dans la continuité des pactes q
26 nterdit de prononcer. Or le Seigneur Jésus est le Dieu sans puissance sur la terre, le Dieu qui a subi la puissance de l’Éta
27 Jésus est le Dieu sans puissance sur la terre, le Dieu qui a subi la puissance de l’État (l’Empire romain) jusqu’à la mort.
28 e de l’État (l’Empire romain) jusqu’à la mort. Le Dieu qui n’a jamais voulu manifester aucune puissance au sens de ce Monde-
29 is dans l’Ancien Testament, et qui n’est pas « le Dieu tout-puissant », mais « le Dieu très-puissant » c’est-à-dire « le plu
30 ui n’est pas « le Dieu tout-puissant », mais « le Dieu très-puissant » c’est-à-dire « le plus puissant des Élohim ». Cette d
31 que sur la terre : aucun rapport. La puissance de Dieu , évidemment totale, agit dans le monde de l’Esprit, dans la transcend
32 qui lisent en tête d’une constitution « Au nom de Dieu tout-puissant » connaissent tout cela, en aient pris conscience et ne
33 : il faut bien qu’il y en ait une qui perde. » Le Dieu « puissant », c’est le « Gott mit uns ». Maintenir son invocation en
34 eur. On est très loin de la toute-puissance du «  Dieu des armées » qu’on appelle si souvent à la rescousse, et pas seulemen
35 ique pour de très mauvaises raisons. Pour moi, le Dieu des armées (Jahveh Sabaoth ou Tsebaoth) (qui apparaît près de 300 foi
36 eule fois dans le Nouveau, Jacques 5. 4) c’est le Dieu des armées angéliques, spirituelles, non celui des armées mobilisées
37 e Tout-puissant par une définition évangélique de Dieu  ? Que se passerait-il si l’on ouvrait une constitution par ces mots :
38 vrait une constitution par ces mots : « Au nom du Dieu d’amour ? » Il faudrait s’assurer que tous les articles de la constit
39 ù il n’était question ni de la toute-puissance de Dieu , ni d’un Dieu des armées (autorisant p. ex. les ventes d’armes) ni d’
40 uestion ni de la toute-puissance de Dieu, ni d’un Dieu des armées (autorisant p. ex. les ventes d’armes) ni d’une Providence
41 vis de Denis de Rougemont », Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale, Genève, Labor et Fides, 1980, p. 63‑69.
11 1980, Articles divers (1978-1981). Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique (1980)
42 valeurs humaines. Ce sont des choses auxquelles, Dieu merci, ni l’atome ni les ordinateurs ne peuvent apporter de réponse.
12 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
43 e pour tant d’hommes de théâtre de son âge, c’est Dieu le père, c’est le père tout court, le père tout-puissant, absent, tra
13 1981, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire (mai 1981)
44 e cachent derrière des arbres, pensant échapper à Dieu . Quand Dieu les trouve, il demande à Adam : « Qu’as-tu fait ? » Adam
45 rrière des arbres, pensant échapper à Dieu. Quand Dieu les trouve, il demande à Adam : « Qu’as-tu fait ? » Adam répond : « C
46 pas de différence : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu , de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. » C’est l
14 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
47 ef de l’Église, lequel est au ciel à la droite de Dieu , et non pas sur la terre, dans telle ville, ou dans tels écrits, ou d
48 e église ou secte n’a jamais été capable, grâce à Dieu , de se fermer totalement aux inspirations du Saint-Esprit. Aucune Égl
49 il court le risque d’obéir aux hommes plutôt qu’à Dieu . S’il sort, c’est avec amertume, et l’Église qu’il fondera peut-être
50 leur chef : il s’est assis au ciel à la droite de Dieu . Leur ambition non plus n’est pas terrestre : elles attendent la fin
51 voirs vis-à-vis de la collectivité. C’est le même Dieu , qui, par la vocation qu’il envoie à l’homme, distingue cet homme de
52 dont il croyait pouvoir disposer, mais de ce que Dieu voulait qu’il fit. C’est toujours une utopie apparente ; en réalité,
15 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
53 de la Bible, mais de juger si c’est la Parole de Dieu , donc Dieu, qui est le sujet de ces énoncés, ou bien au contraire si
54 e, mais de juger si c’est la Parole de Dieu, donc Dieu , qui est le sujet de ces énoncés, ou bien au contraire si l’homme se
55 ie, puisque le vrai chemin, qui conduit l’homme à Dieu , part toujours d’une personne sans précédent. Post-scriptum 1980
16 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
56 ffle l’esprit, 1979, en passant par L’Histoire de Dieu , 1963. Cette année-là, à New York, je compose chaque jour les textes