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est très loin en avant, dans l’infini, l’Absolu,
Dieu
, comme on veut l’appeler. Chaque homme doit inventer son chemin puisq
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ses particulières, d’autant plus nous connaissons
Dieu
. » Ceci me paraît le nœud de la réalité et de la vérité philosophique
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nser, pour l’avoir tellement entendu répéter, que
Dieu
l’était. Le retour de Dieu, précisément, se confirme dans la pensée p
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t entendu répéter, que Dieu l’était. Le retour de
Dieu
, précisément, se confirme dans la pensée philosophico-politique d’auj
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de tuer Henri IV « pour la plus grande gloire de
Dieu
». C’était mentir, car il tuait, en fait, pour la plus grande gloire
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-Unis pendant la guerre, qui évitait de parler de
Dieu
. Il avait peur de tomber dans le langage pieux et il parlait plutôt d
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hommes. Moi, ça m’allait très bien d’appeler cela
Dieu
. Il n’y a qu’un Dieu pour tous les hommes. Qu’on le connaisse ou non,
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ait très bien d’appeler cela Dieu. Il n’y a qu’un
Dieu
pour tous les hommes. Qu’on le connaisse ou non, il est là. Et il m’a
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de Jean-Marie Benoist (Paris : Gallimard, 1970) —
Dieu
et l’Absolu sont revenus en force avec Maurice Clavel, par exemple, o
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cédent. Chacun doit donc inventer son chemin vers
Dieu
, c’est-à-dire vers le but commun, le but suprême de tous les hommes.
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ice et de l’armée. C’est en quelque sorte Pluton,
Dieu
des enfers et de la richesse contre Zeus. Pluton était aveugle comme