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talitaire la vérité totale, qui n’appartient qu’à
Dieu
. C’est dans la mesure où nous ordonnerons nos vies à cette vérité-là,
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ure, d’un contact plus direct, plus confiant avec
Dieu
… À cinquante ans, il n’y résiste plus : sa vocation profonde triomphe
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unanimes dans l’admiration devant cet « homme de
Dieu
» fruste et biblique.) Il n’est pas jusqu’aux princes des contrées vo
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ute simplicité, par pur zèle et pour la gloire de
Dieu
. Toute ma vie n’était que jeûnes, veilles, oraisons, sueurs… Et plu
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agitait en songeant comment il pourrait se rendre
Dieu
favorable. Sur quoi les critiques catholiques modernes reprochent à
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nfluence très profonde du mouvement des « Amis de
Dieu
». Initié en Alsace par le marchand Rulman Merswin, au xive siècle,
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es contacts qu’il dut avoir avec certains Amis de
Dieu
. Lorsqu’il quitta sa femme et ses enfants, son idée n’était-elle pas
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lsace, pour y rejoindre des communautés d’Amis de
Dieu
dont Hattinger lui avait parlé ? Et la première visite qu’il reçut au
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-elle pas précisément celle d’un pèlerin « ami de
Dieu
», peut-être délégué par le mouvement ? Les plus récents historiens l
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formalisme romain, qu’ont représenté les Amis de
Dieu
. Et l’on conçoit que ce mouvement, rectifié et rendu plus sobre par l
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qu’une gifle ne vaut rien pour la guerre. Grâce à
Dieu
, nous sommes encore neutres, et nous avons encore le droit de ne pas
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s, mais la vision de la justice est le plaisir de
Dieu
seul. » c. « La bataille de la culture », Les Cahiers protestants,
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e j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en
Dieu
ne sait pas non plus croire au diable, et ne sait pas le reconnaître.
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gine de notre aveuglement, il y a incrédulité. Si
Dieu
existait, pleurons-nous, il ne permettrait pas cela ! Nous oublions q
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s oublions que « cela », c’est nous aussi, et que
Dieu
malgré tout nous aime. Si nous avions su croire en lui pendant le tem
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rce que l’injustice triomphe, non point parce que
Dieu
n’existe pas, mais au contraire parce que Dieu existe, et qu’il est j
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ue Dieu n’existe pas, mais au contraire parce que
Dieu
existe, et qu’il est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous ad
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spoir ? Encore une fois, je ne puis pas répondre.
Dieu
le sait, et l’événement seul fera la preuve de notre force ou de nos
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lise suisse doit être, ou redevenir une Église de
Dieu
, et non pas la société des braves gens. Par exemple, on ne doit plus
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affaires d’abord, mais les affaires du Royaume de
Dieu
. Il me paraît profondément indécent que ces affaires soient débattues
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ter ou de devenir une vraie Église, une Église de
Dieu
et non pas une Église patriotique ou une puissance d’ordre politique.
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ise, c’est de la laisser être une vraie Église de
Dieu
et non pas une Église de l’État suisse. Il est bien vrai que notre Ét
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es braves gens, mais accueilli dans une maison de
Dieu
. Ce que je voudrais dire encore sur ce sujet est peut-être un peu dél
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endu, de mes oreilles, un jeune pasteur remercier
Dieu
, du haut de la chaire, de ce que Dieu « nous a permis de lui parler t
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r remercier Dieu, du haut de la chaire, de ce que
Dieu
« nous a permis de lui parler tout simplement, d’homme à homme »… Je
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ma part, que nous devons plutôt parler d’homme à
Dieu
, et que nous ferions bien de nous pénétrer de cette vérité fondamenta
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ous chantons dans un chant patriotique : « Devant
Dieu
seul, fléchissons le genou. » Mais pratiquement, nous restons assis,
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: L’Église et l’Europe, l’Église et le Royaume de
Dieu
, l’Église, c’est nous, paraîtront successivement au cours des prochai
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t en Grande-Bretagne la « théologie de la mort de
Dieu
» (ses échos remplissent depuis un an la presse intellectuelle anglo-
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nt à César, mais la vocation de la personne est à
Dieu
, vient de Dieu et conduit à Lui, ce qu’aucune morale ne pourra jamais
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s la vocation de la personne est à Dieu, vient de
Dieu
et conduit à Lui, ce qu’aucune morale ne pourra jamais faire, même si
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t de son sommaire, le commandement sur l’amour de
Dieu
et du prochain comme de soi-même. Or l’amour est une attitude fondame
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le que j’ai dite, l’attribution à la « volonté de
Dieu
» ou à la Nature des choses de tout ce que la société juge indispensa
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x « voies de la providence » ou à la « volonté de
Dieu
lui-même » ; 4. enfin, et j’introduis ici une remarque nouvelle, mais
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rientation de tout être, et de tout mon être vers
Dieu
, source et sujet de tout amour. Mais la vocation dont je voudrais vou
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prit, — oui, tous convergent et se rejoindront en
Dieu
, mais il y a un chemin par homme ! — comment savoir si je le découvre
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la forme d’une mission qu’ils affirment reçue de
Dieu
. — À quoi je pense qu’on doit répondre par une vigilance redoublée da
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elle dit ceci : « Cherchez d’abord le Royaume de
Dieu
, et le reste vous sera donné par-dessus. » Or chercher le Royaume, c’
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donc pas deux chemins pareils allant d’un homme à
Dieu
. Mais je pressens que les objections les plus gênantes qu’on pourra m