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le grâce ? un peu de cette connaissance active de
Dieu
que nos savants nomment mysticisme et considèrent comme un « cas » tr
2
ce côté. Mais du nôtre ? « Vous ne pouvez servir
Dieu
et Mammon », dit l’Écriture. ⁂ Je ne pense pas qu’une attitude réact
3
emander de plus, s’il laisse en blanc la place de
Dieu
. Mais où trouver les lévites assez purs pour garder vierge parmi nous
4
te d’un certain « homme moderne », — l’homme sans
Dieu
, qui n’attend rien que de cette vie, mais auquel cette vie même, en f
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dans la mort. L’homme qui pourrait se définir : «
Dieu
n’est pas, donc je suis » ; l’homme seul ; areligieux, relié à rien.
6
« se séculariser, pour se constituer en dehors de
Dieu
sur des bases purement humaines ». Aux yeux du « séculariste », bien
7
mots « forme », « couleur », « architecture ». Et
Dieu
avait une place plus grande dans la joyeuse lumière de notre ciel sim
8
aire Belloc dont voici la traduction : L’amour de
Dieu
qui mène aux royaumes d’en-haut est contrecarré par le dieu de l’Amou
9
cette œuvre où l’on parle le plus directement de
Dieu
que Dieu est le plus absent. Car nous y sommes à chaque page incités
10
vre où l’on parle le plus directement de Dieu que
Dieu
est le plus absent. Car nous y sommes à chaque page incités à juger,
11
ent, mais la foi, certainement. Et « l’honneur de
Dieu
». 21. Aux Éditions de la Nouvelle Revue française , chez Fourcade
12
érature qui transforme les sommets en images d’un
Dieu
vertueux, ou en remparts de la liberté. La montagne n’est ni bienveil
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ommet d’une montagne en face du mont Maya et pria
Dieu
de lui donner Kobé et les bas-fonds. La nature, le sommeil et les enf
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vangile n’a de sens que par le jaillissement vers
Dieu
. Et tout précepte évangélique une fois détaché de la grâce se décompo
15
pas d’être vertueux, mais de faire la volonté de
Dieu
. Et ce que nous voulons ce ne sont pas des exemples édifiants, mais d
16
s témoignages de responsabilités acceptées devant
Dieu
, avec l’incommensurable tragique que cela comporte. Un nom me hante,
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n’étaient pas révélés parce qu’on les cachait en
Dieu
et qu’une sainte pudeur en dérobait l’accès. L’existence apparente ét
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, loin des oreilles des hommes, jusqu’au trône de
Dieu
. Il n’en est plus ainsi maintenant ; l’âme est restée semblable, mais
19
mier. 27. Paul Bourget, Les Aveux : Désespoir en
Dieu
, p. 264. l. « Le protestantisme jugé », Foi et Vie, Paris, n° 31, oc
20
droits où la vraisemblance voudrait que le nom de
Dieu
fût invoqué (je pense au testament de la mère par exemple), c’est au
21
romper, lorsqu’il note que dans ce conflit moral,
Dieu
est « tranquillement oublié ». Il y a visiblement chez Jean Schlumber
22
r nous-mêmes le bien, dans l’abandon aux mains de
Dieu
, — aux violentes mains de Dieu. Un cantique nouveau Nous voici
23
andon aux mains de Dieu, — aux violentes mains de
Dieu
. Un cantique nouveau Nous voici loin de nos auteurs. Si loin qu
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normales de l’esprit humain. La transcendance de
Dieu
est absolue, par rapport à notre pensée naturelle. Dès lors, pourquoi
25
rnons-nous à « réaliser » dans nos actions ce que
Dieu
jugea bon de nous révéler dans l’Évangile. Et en présence de l’intemp
26
ens, affirmons que nous ne savons presque rien de
Dieu
, ou plutôt qu’il est vain de chercher à en savoir plus que ce que la
27
ilité de la raison devant l’insondable mystère de
Dieu
devient, vu de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce monde co
28
, orgueil de la raison qui juge ce monde comme si
Dieu
n’existait pas, ou encore : comme si Dieu n’était rien d’autre que l’
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omme si Dieu n’existait pas, ou encore : comme si
Dieu
n’était rien d’autre que l’ensemble des lois de la nature. Ainsi la c
30
nterdit à la pensée la plus probe de se passer de
Dieu
quand elle juge le monde séparé de Dieu. Il n’est pas vrai de dire qu
31
passer de Dieu quand elle juge le monde séparé de
Dieu
. Il n’est pas vrai de dire qu’un monde séparé de Dieu doit ou peut êt
32
. Il n’est pas vrai de dire qu’un monde séparé de
Dieu
doit ou peut être envisagé comme un monde autonome. Il doit être envi
33
Il n’y a pas de neutralité du monde vis-à-vis de
Dieu
— à cause du péché. La réalité visible du péché entraîne la considéra
34
n’avons pas connu, alors que nous-même… Alors que
Dieu
seul juge. Si nous refusons le nom de chrétien à cet homme dont l’éth
35
doctrinales les plus gênantes pour ce monde sans
Dieu
. Or, ce sont justement les valeurs que le « christianisme » de Goethe
36
onisés, une sécurité spirituelle que la Parole de
Dieu
désigne comme une lâcheté. Car en présence de l’athéisme militant, no
37
litant, nous n’avons plus à prouver vainement que
Dieu
est ; mais à prouver pratiquement que nous y croyons. Nous n’avons pl
38
leur appareil d’assurance dans le monde et contre
Dieu
—, seul l’Évangile est radicalement dangereux, — salutaire. 38. Aux
39
E. R. Curtius, dont il fut parlé ici même, ou le
Dieu
est-il Français, de F. Sieburg, donneront une idée assez juste du gen
40
nde majorité de nos contemporains ne croit pas en
Dieu
et sait qu’elle n’y croit pas. Mais elle garde chevillé au cœur le be
41
du singe, les autres croient qu’il a été créé par
Dieu
. Ils se disputent énormément. Je crois qu’ils ont tort de se disputer
42
ce à part, à côté de la race des hommes créés par
Dieu
, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Dieu. » Cett
43
, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par
Dieu
. » Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux partisans at
44
ilà la réalité décisive. Tous, nous avons reçu de
Dieu
cet ordre : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tous donc, nous a
45
ue dans cet acte unique d’obéissance à l’ordre de
Dieu
, qui s’appelle l’amour du prochain. Je dis bien : acte, et il faut in
46
ntrons personne au monde, avant d’avoir rencontré
Dieu
. 42. L’Histoire au sens hégélien du mot, c’est-à-dire, plus exacte
47
qu’il ordonne cette soumission : ils l’appellent
Dieu
). Ce qu’il y a d’inoffensif chez l’être faible, sa lâcheté, cette lâc
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haine des hommes ; bien plus : une révolte contre
Dieu
. L’homme du ressentiment, ce n’est pas le chrétien, c’est le bourgeoi
49
t monté sur un petit tertre et il avait maudit le
Dieu
tout-puissant qui le laissait mourir de faim. Ce blasphème assombrit
50
it pas en assumer l’entière responsabilité devant
Dieu
et devant les hommes. Ce ne fut qu’à la fin de sa vie qu’il s’offrit
51
« Il y a une différence qualitative infinie entre
Dieu
et l’homme. » Le sens réel et profond de toute son œuvre réside dans
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seul est plus forte, dans son humilité et devant
Dieu
, — car c’est la foi, — que les discours des réalistes et l’enthousias
53
chacun n’est pas à sa place là où la vocation de
Dieu
l’a mis. Supposez qu’un tel homme existe. Que va-t-on faire de lui, d
54
onde qu’on nous prépare ? Il se peut, si pourtant
Dieu
le veut. L’exigence de Kierkegaard se limite à l’instant du choix, où
55
age, « en vertu de l’absurde », sur le chemin que
Dieu
lui montre, seul. Cette primauté de la foi sur les vérités qui font v
56
és qui font vivre, cette solitude première devant
Dieu
, est-ce bien cela que revendiquent les défenseurs du primat de l’espr
57
i à Berlin, ni à Moscou, mais à nous-mêmes devant
Dieu
. ⁂ Søren Kierkegaard est sans doute le penseur capital de notre époq
58
x qu’aucun autre le message du « solitaire devant
Dieu
». L’ironie Lorsque je vois de toutes parts, en Europe, à trave
59
ant choisir. Ou bien tu crois à la seule grâce de
Dieu
, dans l’abîme infini où tu te vois, ou bien tu crois aussi à ce série
60
c émotion sur ce texte qu’il a choisi lui-même : “
Dieu
a élu dans le monde les petits et les méprisés”, et personne ne rit !
61
mitent, et n’agissent jamais seuls. » Mais ce que
Dieu
exige, c’est précisément le contraire : il veut l’originalité. « Voil
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veut l’originalité. « Voilà pourquoi la Parole de
Dieu
est telle qu’on y trouve quelque passage qui dise le contraire d’un a
63
ierkegaard appelle, c’est l’homme seul devant son
Dieu
. Mais comment cela se peut-il, sinon par l’effet de la foi ? Il faut
64
eut-il, sinon par l’effet de la foi ? Il faut que
Dieu
l’appelle, qu’il le nomme et par là le sépare, autrement l’homme n’es
65
exemplaire dans le troupeau. Le solitaire devant
Dieu
, c’est celui qui répond à la foi, cet appel. Quand on parle de romant
66
de est lui-même en révolte contre l’ordre reçu de
Dieu
, qui sera l’Ordre du Royaume. Et nier une négation, c’est s’enfoncer
67
tien est position, obéissance. Si donc l’appel de
Dieu
isole du monde un homme, c’est que le monde, dans sa forme déchue, s’
68
, dans sa forme déchue, s’oppose au monde tel que
Dieu
l’a créé, s’oppose à la transformation que veut l’Esprit, s’oppose à
69
ransformés », dit saint Paul. Le solitaire devant
Dieu
, c’est celui qui se tient à l’origine de sa réalité. Celui-là seul co
70
rait-il s’avancer et cracher au visage du Fils de
Dieu
? Mais qu’il soit foule, il aura ce « courage », — il l’a eu. Il faut
71
as d’autre pouvoir que mon refus d’exister devant
Dieu
et d’exercer le pouvoir que je suis. Elle n’est que ma dégradation. E
72
ait se tenir, dans l’instant, « sous le regard de
Dieu
», comme disent les chrétiens. (Est-ce facile ? ou bien même possible
73
e la masse, où nous vivons, le « solitaire devant
Dieu
» est aussi l’homme le plus réel, le plus présent. Parce qu’il sait q
74
eut-être aussi tout formel, de l’isolement devant
Dieu
. Et, d’autre part, l’acte du « solitaire » n’est pas de ceux dont nou
75
conséquences. Ou bien il est, et c’est l’acte de
Dieu
, ou bien je l’imagine, et mon discours est vain. À qui pressent, dans
76
l’époque ne provient pas de ce qu’elle est « sans
Dieu
», car nul siècle, comme tel, ne fut jamais chrétien, mais bien plutô
77
gnante qui soit. » Il faut perdre la croyance en
Dieu
, en la liberté et en l’immortalité, comme ses premières dents ; ce n’
78
ela veut dire : J’aime les hommes pour l’amour de
Dieu
? Est-ce autre chose que de dire : J’aime les gendarmes pour l’amour
79
hrase typique d’un homme qui n’a jamais rencontré
Dieu
en Christ ; pas plus qu’on ne saurait rencontrer la justice ; pas plu
80
zsche croit découvrir que la notion chrétienne du
Dieu
paternel dérive de la notion « de la famille patriarcale ». Comme si
81
hommes de commandement commanderont aussi à leur
Dieu
, tout en croyant le servir. » Formule qui n’est pas valable pour le s
82
me s’est établi au nom de la Science, qui est son
Dieu
. On sait aussi qu’il n’a pas hésité à condamner la théorie d’Einstein
83
il y a, à côté de la causalité absolue, encore un
Dieu
ou une finalité, l’idée de la nécessité devient insupportable. Tradu
84
uisons : dès que vous croyez qu’il y a, à côté de
Dieu
, encore un dieu : morale, devoir kantien, conscience, notion humaine
85
l’idée de la toute-puissance et de la liberté de
Dieu
devient insupportable. C’est le « Dieu moral » qui empêche, en partic
86
liberté de Dieu devient insupportable. C’est le «
Dieu
moral » qui empêche, en particulier, une certaine théologie libérale
87
éressées, de toutes ces choses. N’est-ce pas ce «
Dieu
moral » qui détourna plusieurs générations des églises où on le prêch
88
on le prêchait envers et contre tout « honneur de
Dieu
» ? La réfutation de Dieu : en somme, ce n’est que le “Dieu moral” q
89
ntre tout « honneur de Dieu » ? La réfutation de
Dieu
: en somme, ce n’est que le “Dieu moral” qui est réfuté. Il est bien
90
a réfutation de Dieu : en somme, ce n’est que le “
Dieu
moral” qui est réfuté. Il est bien significatif que les fragments de
91
ontiers « inhumain », parce qu’il attribue tout à
Dieu
. Le Traité du serf arbitre C’est sans doute dans cette perspec
92
ation par la foi, qui est don gratuit et œuvre de
Dieu
seul ; opposition de cette justice de Dieu à la justice des hommes et
93
vre de Dieu seul ; opposition de cette justice de
Dieu
à la justice des hommes et de leurs œuvres ; opposition de la grâce à
94
rationnelle entre les règnes en guerre ouverte du
Dieu
de la foi et du Prince de ce monde ; nécessité du témoignage et du té
95
éritable « action » de l’homme entre les mains de
Dieu
. Tels sont les thèmes qu’illustre cet ouvrage. S’ils n’y sont pas tra
96
i traduisent : « Paix sur la terre aux hommes que
Dieu
agrée », par « Paix aux hommes de bonne volonté », tous ceux-là sont,
97
e d’un homme qui veut croire…) Dialogue Car
Dieu
peut tout à tout instant. C’est là la santé de la foi. Kierkegaard.
98
her, nous n’avons aucune liberté, car en réalité,
Dieu
a tout prévu, et rien n’arrive que selon sa prévision. Luther ne pose
99
mais l’omniscience et la prescience éternelle de
Dieu
, qui ne peut faillir dans sa promesse, et auquel nul obstacle ne s’op
100
une hypothèse de travail… Pour moi, je crois que
Dieu
connaît la fin, la somme, la valeur absolue de nos actions passées, p
101
présentes, futures, car elles sont dans le temps,
Dieu
dans l’Éternité qui est avant le temps, qui est en lui, et qui est en
102
en lui, et qui est encore après lui. Au regard de
Dieu
donc, « tout est accompli », — depuis la mort du Christ sur la croix.
103
— Si c’était vrai, je préférerais encore nier ce
Dieu
qui prétend voir plus loin que le terme de mes actions, — ce qui, avo
104
me dire qu’elles sont prévues ! Et prévues par un
Dieu
éternel, qui alors se joue de moi indignement ! Il faudra donc choisi
105
oue de moi indignement ! Il faudra donc choisir :
Dieu
ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je tuer Dieu, comme Nietzsche a proclam
106
isir : Dieu ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je tuer
Dieu
, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait fait. L. — Mais l’homme est
107
e fausse qu’elle s’en formait… Tu affirmes que si
Dieu
prévoit tout, tu es alors dispensé d’agir, et que ce n’est plus la pe
108
le fournir ? Et si tu décidais : « Je suis, donc
Dieu
n’est pas !70 », qui t’assurerait que cet acte de révolte échappe à l
109
prononcerais pas sur toi-même l’arrêt éternel de
Dieu
te rejetant vers le néant, en sorte que Dieu, vraiment, n’existe plus
110
l de Dieu te rejetant vers le néant, en sorte que
Dieu
, vraiment, n’existe plus pour toi ? Fermer les yeux sur une réalité,
111
e. « Demandez et l’on vous donnera », dit le même
Dieu
qui nous prédestina ! Quand le croyant, qui sait que Dieu a tout prév
112
nous prédestina ! Quand le croyant, qui sait que
Dieu
a tout prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse, un
113
it que Dieu a tout prévu éternellement, adresse à
Dieu
, au nom de sa promesse, une prière précise et instante, ne vit-il pas
114
omme, sans que rien soit changé de ce qu’a décidé
Dieu
, de ce qu’il décide ou de ce qu’il décidera ? Car l’Éternel ne connaî
115
salut avec crainte et tremblement, puisque c’est
Dieu
qui produit en vous le vouloir et le faire. » (Phil. 2 : 12-13). C’es
116
et le faire. » (Phil. 2 : 12-13). C’est parce que
Dieu
fait tout que nous devons agir, selon qu’il nous l’a commandé. C’est
117
r, selon qu’il nous l’a commandé. C’est parce que
Dieu
a tout prévu que nous avons en lui, et en lui seul, la liberté. Mais
118
l n’y a de liberté possible que dans la grâce que
Dieu
nous fait. Toute l’argumentation de Luther vise le moment de la décis
119
happer au nihilisme qui l’étreint, dès lors que «
Dieu
est mort » ou qu’il l’a « tué », il imagine le Retour éternel. Et com
120
er et regagner la dignité suprême de l’homme sans
Dieu
. Être libre, c’est vouloir l’éternité de son destin. (Pour le chrétie
121
c’est accepter, en acte, l’éternelle prévision du
Dieu
qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du parad
122
u « tu dois » des chrétiens, qui est prononcé par
Dieu
, Nietzsche oppose le « je veux » de l’homme divinisé. Puis, à l’exist
123
eux » de l’homme divinisé. Puis, à l’existence de
Dieu
, il oppose sa propre existence72. Mais la difficulté fondamentale que
124
Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! » —
Dieu
avec nous ! 68. À la proposition qu’on lui faisait, en 1537, d’édi
125
ef de l’Église, lequel est au ciel à la droite de
Dieu
, et non pas sur la terre, dans telle ville, ou dans tels écrits, ou d
126
e église ou secte n’a jamais été capable, grâce à
Dieu
, de se fermer totalement aux inspirations du Saint-Esprit. Aucune égl
127
il court le risque d’obéir aux hommes plutôt qu’à
Dieu
. S’il sort, c’est avec amertume, et l’Église qu’il fondera peut-être
128
leur chef : il s’est assis au ciel à la droite de
Dieu
. Leur ambition non plus n’est pas terrestre : elles attendent la fin
129
voirs vis-à-vis de la collectivité. C’est le même
Dieu
qui, par la vocation qu’il envoie à l’homme, distingue cet homme de t
130
dont il croyait pouvoir disposer, mais de ce que
Dieu
voulait qu’il fît. C’est toujours une utopie apparente ; en réalité,
131
le exalte en revanche « la liberté des enfants de
Dieu
». Si l’on exclut de la « sphère du religieux » le drame de l’humanit