1 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
1 ’amende ou un an de prison… ou les deux ensemble… Dieu bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’écoute le grondement sou
2 1953, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « Ce qu’ils pensent de Noël… » [Réponse] (24 décembre 1953)
2 simplement : Paix sur la terre, bonne volonté (de Dieu ) envers les hommes. Est-il besoin de la bombe, et des grèves, et de l
3 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
3 ses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu  », disait Spinoza. C’est là le vrai sens, et le seul possible, de ce
4 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
4 on seulement la Nature, mais le Naturant, qui est Dieu , et il entreprit d’édifier une tour à Sennaar, qui fut ensuite appelé
5 sance de la réalité de la matière et du corps, où Dieu se manifeste) et le développement des sciences physiques et naturelle
6 ses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu . » Si je la transpose au domaine moins sublime que j’essaie aujourd’h
5 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
7 es dogmes fondamentaux : la Trinité transporte en Dieu lui-même le paradoxe de l’un et du divers, tandis que l’Incarnation p
8 ition de la personne de Jésus-Christ comme « vrai Dieu et vrai homme » à la fois, selon les formules conciliaires de Nicée e
6 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
9 mme le corps transcendant aux organes. Je cherche Dieu . b) J’écris l’époque, je me l’écrie, et je lui crie d’abord qu’elle d
7 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
10 éologie, dans l’image du Christ — Jésus à la fois Dieu et homme. La plupart des déviations, dans la doctrine chrétienne, vie
11 ce qu’on a tendu soit à confondre le Christ avec Dieu , soit à le limiter à son essence humaine. Il faut reconnaître que l’e