1 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
1 hez des gens qui vous ont reçu comme un cadeau de Dieu , — c’est leur formule de salutation — vous constatez que cette profus
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
2 Car à la vérité, et si libre qu’elle soit encore, Dieu merci, la culture française est malade elle aussi d’une maladie qui n
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
3 congrégation… Le chœur entonne le cantique : « Ô Dieu , notre aide aux temps passés… Le président y joint sa voix. » Puis ce
4 d’orgueil collectif que l’on excite ailleurs « Ô Dieu , priait le chapelain, revêts notre président du manteau de l’humilité
4 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
5 56)u Oserons-nous encore nous présenter devant Dieu et demander pardon pour n’avoir pas bougé, pour avoir laissé faire so
5 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
6 ands l’ont osé. Pascal et Kierkegaard devant leur Dieu . Nietzsche au seuil du délire mental, Dostoïevski devant la potence,
6 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
7 « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)w Descar
8 un, « fondement de l’être dans le monde, à savoir Dieu  ». Ces derniers mots sont d’Ernest Ansermet, dans le grand livre où i
9 la musique ce qu’il nomme sa « phénoménologie de Dieu  », qui est en même temps une théologie, il a recours à une méthode ph
10 ssi à son expérience de musicien. Ce chapitre sur Dieu , qui occupe une place centrale et dont l’écho s’entend dans tout l’ou
11 itualité plus ou moins bouddhiste ou guénonienne. Dieu n’étant pas l’objet d’un problème, mais « le fondement commun du mond
12 lat du terme, se trouve d’emblée vidée de sens. «  Dieu n’est pas ce qui est vu, mais ce qui voit », écrit très justement J.-
13 ue ensuite : « Ne jugeons point de la fonction de Dieu dans la vie humaine par la croyance ou l’incroyance des hommes, mais
14 e et le transcende. Et la foi, qui « se porte sur Dieu  » comme sur le fondement de notre lien au monde. Et la Grâce, « répon
15 à vrai dire assez considérable. C’est l’idée d’un Dieu personnel. C’est l’insistance paulinienne sur la mort et la résurrect
16 la notion d’une transcendance tout extérieure de Dieu , tenant l’homme dans sa dépendance, donc dans une relation passive, t
17 évéler aux hommes la vérité de leur expérience de Dieu , en les ramenant du Dieu transcendant que seul ils s’étaient révélé j
18 té de leur expérience de Dieu, en les ramenant du Dieu transcendant que seul ils s’étaient révélé jusqu’alors, au Dieu imman
19 ant que seul ils s’étaient révélé jusqu’alors, au Dieu immanent qui s’annonce en leur cœur ». Sur une telle phrase, on imagi
20 braham, d’Isaac et de Jacob » fait place ici au «  Dieu des philosophes et des savants », encore qu’Ansermet dise très bien q
21 re qu’Ansermet dise très bien que ce n’est pas le Dieu des philosophes qui sera d’un grand secours à l’homme d’aujourd’hui.
22 e sur « l’éducation chrétienne », p. 231.) Or, ce Dieu que l’on écrit sans sourciller Ps-Pr-F — comme l’énergie s’écrit mc2
23 qu’il est aussi, pour Ansermet, précisément le «  Dieu sensible au cœur », saisi dans la conscience par l’affectivité, et pa
24 ures physico-mathématiques, est inconcevable sans Dieu . Elle cesse donc d’être vraie musique chez ceux de nos contemporains
25 abandonné « le projet d’être à la ressemblance de Dieu  ». Pour eux, « la perte de la loi tonale équivaut à la mort de Dieu p
26 « la perte de la loi tonale équivaut à la mort de Dieu pour la conscience musicale ». L’atonalité serait-elle la définition
27 accusé de parler comme un athée, puisqu’il nie le Dieu personnel. Et toute une école d’aujourd’hui, pour des raisons d’aille
28 découvrira les véritables proportions. w. « “Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur” », Journal de Genève, Genève, n°
7 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
29 ns le Journal de Genève en octobre 1969 : « Entre Dieu et l’État », Journal de Genève, Genève, n° 231, 4-5 octobre 1969, p.