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n tant que le péché crée une tension entre lui et
Dieu
. Mais le péché ne devient réalité que pour le converti ; c’est donc l
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uelques-uns des plus significatifs de ces récits (
Dieu
et le sommeil, Les Fins dernières) l’on assiste à un réveil, explosio
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e, de cette abrutissante musique, parfois coupée,
Dieu
merci, d’un monologue financier ou de hoquets publicitaires. “De la m
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e ses mesures morales, en donne la référence : ce
Dieu
terrible. Et sa vertu est choix. L’absolu d’un Nietzsche, c’est le Gr
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fusé de choisir. Il croit pouvoir entretenir avec
Dieu
des rapports de politesse. Cela pourrait bien être la formule du déso
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apitaliste. Tous deux savent qu’il faut être pour
Dieu
ou contre Dieu. La bourgeoisie a choisi dès longtemps, pratiquement a
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s deux savent qu’il faut être pour Dieu ou contre
Dieu
. La bourgeoisie a choisi dès longtemps, pratiquement athée sans le sa
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ut cela, ce n’est pas la « misère de l’homme sans
Dieu
», mais la misère de l’homme livré à un Dieu qu’il ne connaît pas, pa
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sans Dieu », mais la misère de l’homme livré à un
Dieu
qu’il ne connaît pas, parce qu’il ne connaît pas le Christ. « Nul ne
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ient au Père que par moi ». C’est par le Fils que
Dieu
devient pour nous le Père ; mais alors, l’acquittement est possible.
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é par des voies imprévues, comment la négation de
Dieu
entraîne la négation du prochain, dans un esprit voué à la plus tortu
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limites charnelles et temporelles, à s’oublier en
Dieu
, son principe ». La question est alors de savoir s’il existe une myst
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n de l’Esprit, c’est-à-dire Jésus-Christ, fils de
Dieu
, a jamais « porté l’empreinte de certains intérêts terrestres », et c
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e dans la vie et dans la mort du Christ, homme et
Dieu
, car lui seul eut vraiment « le droit de mourir pour la vérité », éta
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vraiment « poétiser », collaborer à l’ouvrage de
Dieu
, et recréer la catholicité. Mais c’est aussi, dans le monde d’aujourd
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e la création attend la révélation des enfants de
Dieu
, parce que ce n’est pas de son propre gré qu’elle a été assujettie à
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! Art poétique, art de refaire le monde — tel que
Dieu
l’a connu de toute éternité ! 40. En effet, la citation du Cratyle
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ommes, quand on ne le peut éviter qu’en offensant
Dieu
». Et au sujet du second : « qu’il n’est pas avantageux de contenter
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s avantageux de contenter les hommes en offensant
Dieu
». J’en conclus qu’il est bon d’engager la raison dans la vie : non p
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les ont vite cédé ! Il faudra donc s’en prendre à
Dieu
et à son Fils. Déjà « le Dieu moral est réfuté ». Que va dire l’Autre
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donc s’en prendre à Dieu et à son Fils. Déjà « le
Dieu
moral est réfuté ». Que va dire l’Autre ? C’est, dans la vie du Don J
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érités, l’heure de l’invitation au Commandeur. Or
Dieu
se tait. Il ne relève pas le défi. Nietzsche attend dans la nuit dése
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st encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé.
Dieu
est mort ! De chaque idée, de chaque croyance, de chaque valeur, Niet
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La Vérité est morte ! Revivra-t-elle ? Car si ce
Dieu
est mort à tout jamais, il n’y a plus d’amour possible. Il faut inven
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oire sur le temps… Mais dans le temps, disait-il,
Dieu
est mort. Si Dieu est mort, c’est donc qu’il a vécu ? Dieu revivra ét
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Mais dans le temps, disait-il, Dieu est mort. Si
Dieu
est mort, c’est donc qu’il a vécu ? Dieu revivra éternellement ! Ains
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mort. Si Dieu est mort, c’est donc qu’il a vécu ?
Dieu
revivra éternellement ! Ainsi Nietzsche devient le Tristan d’un Desti
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animait ces Renaissants, leur volonté de « singer
Dieu
», de recenser les objets et les formes, les rythmes et les lois cosm
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vec ses mains le Paradis perdu et les « gestes de
Dieu
». Le poète a reçu la vocation de restituer le cosmos à l’état adamiq
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e dans les années où il doutait de l’existence de
Dieu
. Mais il croyait à l’homme individuel, et cette croyance est née de l
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n peu plus tard : « Depuis la fin des ouvrages de
Dieu
, c’est-à-dire depuis la création de l’homme, il ne s’est écoulé que s
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’Israël. Le dialogue de Personne à personne entre
Dieu
qui appelle et l’âme qui répond libère celle-ci des décrets uniformes
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n dans ces termes que saint Paul la présente. Que
Dieu
se soit manifesté comme une Personne ; par un geste sans précédent ;
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omme à l’imprévisible, c’est-à-dire à la grâce de
Dieu
, mais aussi à la liberté ; il devient responsable de son temps sur la
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ps, n’est effectif que pour celui qui croit « que
Dieu
peut tout à tout instant », ainsi que l’écrit Kierkegaard. Or la foi
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un dualisme à peine voilé : il y a l’Histoire de
Dieu
et celle des hommes, et si la première intervient dans la seconde par
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rer auxquelles je tiens contre le monde et contre
Dieu
— la négation de moi-même et du sens de ma vie. Anticiper l’avenir, c
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e vrai moi est l’homme nouveau, « appelé » par un
Dieu
personnel, donc créé par une vocation, et il ne tombe pas sous le sen
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r son amour (Agapè) et « cachée avec le Christ en
Dieu
». (Colossiens, 3, 3.) Dès les Pères grecs et le latin Boèce, à trave
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le Christ », bien que « cachée avec le Christ en
Dieu
» jusqu’à l’avènement de l’Amour ? C’est l’Ange, répond l’Iran des sp
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Forme sous laquelle chacun des spirituels connaît
Dieu
est aussi la forme sous laquelle Dieu le connaît, parce qu’elle est l
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els connaît Dieu est aussi la forme sous laquelle
Dieu
le connaît, parce qu’elle est la forme sous laquelle Dieu se révèle à
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connaît, parce qu’elle est la forme sous laquelle
Dieu
se révèle à soi-même en lui. C’est la “part allotie” à chaque Spiritu
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itiante de l’être renouvelé qui demeure cachée en
Dieu
selon le christianisme, mais encore, et d’une manière plus précise da
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au monde de Lumière a sa Fravarti » — Ohrmazd, le
Dieu
lumineux a lui-même la sienne63. La Terre physique et tous les êtres
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de disserter sur des notions abstruses telles que
Dieu
, la Vérité ; ce que zen demande au disciple, c’est de voir sa propre
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rai moi est toujours suscité par l’Amour même : «
Dieu
nous a aimés le premier. » Pour le chrétien, c’est parce que Dieu, qu
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s le premier. » Pour le chrétien, c’est parce que
Dieu
, qui est Amour, est un Dieu personnel, dans sa tri-unité, que l’amour
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tien, c’est parce que Dieu, qui est Amour, est un
Dieu
personnel, dans sa tri-unité, que l’amour spirituel crée dans l’homme
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qui lui est propre. » Toute personne s’origine en
Dieu
, qui l’a créée afin d’être connu par elle et de « devenir en elle l’o
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bjet de sa propre connaissance.75 » C’est donc en
Dieu
que tout amour peut reconnaître la personne de l’autre et l’aimer « c
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— comme étant née du même amour qui m’a créé. « (
Dieu
) est celui qui dans chaque être aimé se manifeste au regard de chaque
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us parfaits amants mystiques sont ceux qui aiment
Dieu
simultanément pour lui-même et pour eux-mêmes, parce que cette capaci
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sible terrestre, la structure des relations entre
Dieu
, le vrai moi et le prochain, reste exactement comparable, comme le so
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problèmes de l’amour de soi-même et de l’amour de
Dieu
et du prochain : faute de protagonistes bien réels, ces problèmes ne
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ue ne connaît pas l’amour, — j’entends l’amour de
Dieu
, de soi et du prochain, l’amour-passion, et même l’amour matrimonial.
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iatribes d’un saint Paul annonçant la « colère de
Dieu
, révélée du Ciel » contre les « impudiques » et les « infâmes », cont
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m’avertira que le Soi de l’Inde n’est pas le vrai
Dieu
des chrétiens, qui est personnel. On connaît les définitions. Mais je
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r. Et tu sais bien que tu ne dois aimer que ton «
Dieu
» dans ses créatures, puisqu’il est dit de Lui qu’il est amour. — Mai
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puisqu’il est dit de Lui qu’il est amour. — Mais
Dieu
pour nous est une Personne, et nous crée comme personnes bien distinc
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À la consommation des temps, répond saint Paul, «
Dieu
sera tout en tous ». Depuis six millénaires, les sages de l’Asie n’on
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ite phrase de saint Paul au début de notre ère, «
Dieu
tout en tous », d’un seul trait fulgurant décrit cette fin. Dès lors,
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un ardent désir, attend la révélation des fils de
Dieu
». (Romains 8). Et saint Justin, l’œcuménique du iie siècle, ose par