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n moins à l’État, parce qu’elle est « immédiate à
Dieu
». Telle est bien la passion de l’homme européen. Elle le met à la po
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taux. Survint alors le christianisme, religion du
Dieu
incarné une fois pour toutes dans le temps, à un certain moment donné
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. De même qu’on ne saurait prouver l’existence de
Dieu
, on ne peut démontrer la nature transcendante d’une vocation. Devant
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’autre confessera : « C’est le Christ, le Fils de
Dieu
, la Deuxième Personne de la Trinité. » L’incertitude objective, telle
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foi et sa nécessité. On ne peut que « croire » en
Dieu
, et l’on ne peut que « croire » une vocation, celle d’un autre, mais
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. Car je me rendrais coupable de déloyauté envers
Dieu
si je prétendais avoir eu dès le début une vue d’ensemble de toute la
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nement essaierais-je de raconter les occasions où
Dieu
m’a fait sentir son secours. Une chose m’est bien souvent arrivée que
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la vraisemblance n’entre jamais en relation avec
Dieu
. » Si Abraham n’avait pas accepté l’invraisemblable, il ne serait jam
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de l’ordalie par le fer rouge, en arrive à duper
Dieu
lui-même. De fait, le xiie siècle, où la passion « naquit » avec la
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être a pris la place de tous, et du monde, et de
Dieu
lui-même. Tout ici rappelle la personne, imite sa forme et reproduit
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transcendante et par le recours direct de l’âme à
Dieu
. Mais qui peut en appeler des arrêts d’un Parti qui incarne la Révolu
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is absolus qui n’avaient de comptes à rendre qu’à
Dieu
seul — mais il n’y a plus de Dieu au-dessus des nations. Le droit div
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s à rendre qu’à Dieu seul — mais il n’y a plus de
Dieu
au-dessus des nations. Le droit divin se traduit donc par le droit de
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limites, par exemple, qui est un des attributs de
Dieu
; ou celui de l’éternité, au mépris de toute vraisemblance. La « Fran
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à sa débilité et qu’ainsi le salut soit donné par
Dieu
seul, il se jette vers des buts plus prochains et sensibles. Mouvemen
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e de l’idole nationale. Révolte contre l’Amour de
Dieu
et du prochain, qui était le commandement remplaçant toute la Loi, et
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vie sans cet appel intime. Il pense alors : c’est
Dieu
qui doit être trop faible pour me contraindre à l’obéissance et à l’a
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s enfants qu’il n’a pas contraints à la vertu. Le
Dieu
du christianisme a laissé l’homme libre de pécher ou de croire au par
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nes, et particulièrement de celle du Christ, vrai
Dieu
et vrai homme à la fois. Le problème était le suivant : comment nomme
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er les relations intradivines et les relations de
Dieu
à l’homme révélées par la venue du Christ, Dieu qui est le Père en ta
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e Dieu à l’homme révélées par la venue du Christ,
Dieu
qui est le Père en tant que Créateur, le Fils en tant que Rédempteur,
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llectuelles. Si Jésus-Christ est à la fois « vrai
Dieu
» et « vrai homme » en une seule et même Personne, et si cette Person
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la réalité de la matière et de notre chair, quand
Dieu
lui-même a choisi de se manifester en elle ? Il est bien vrai que le
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ai que le but dernier de l’homme est de connaître
Dieu
, mais Dieu lui-même s’est rendu connaissable dans la chair. Et il est
25
ut dernier de l’homme est de connaître Dieu, mais
Dieu
lui-même s’est rendu connaissable dans la chair. Et il est vrai aussi
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« dans un ardent désir la révélation des fils de
Dieu
… avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la
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r part à la liberté et à la gloire des enfants de
Dieu
». Voici donc l’homme chargé d’une mission cosmique, armé par elle po
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fronter un monde dont la réalité est attestée par
Dieu
, et qui attend son salut de l’homme sauvé. Il est très important que
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important que Kepler ait écrit : « Les œuvres de
Dieu
sont dignes d’être contemplées. » Ne voir là qu’une phrase « édifiant
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ir la totalité du réel que dans un monde créé par
Dieu
. Là, toute chose, belle ou laide à notre idée, implique une intention
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, trahit un sens, est intéressante et valable : «
Dieu
est aussi présent dans l’intestin d’un pou », déclare Luther — inaugu
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qu’elle suppose ? De la foi, qui est confiance en
Dieu
. Car « si Dieu est le créateur du monde, il est désormais responsable
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? De la foi, qui est confiance en Dieu. Car « si
Dieu
est le créateur du monde, il est désormais responsable de ce qu’est l
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problème de la théodicée, de la justification de
Dieu
… provoque alors un effort passionné pour atteindre la vraie réalité d
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en pleine connaissance de la réalité du monde. Ce
Dieu
qui exige la vérité absolue ne veut pas qu’on le saisisse à l’aide d’
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t de cette tension, de cette lutte avec l’idée de
Dieu
jusque dans la connaissance du réel, qui pourtant vient de Dieu… Dieu
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ns la connaissance du réel, qui pourtant vient de
Dieu
… Dieu n’est pas l’objet d’une foi véritable s’il ne peut pas supporte
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connaissance du réel, qui pourtant vient de Dieu…
Dieu
n’est pas l’objet d’une foi véritable s’il ne peut pas supporter d’êt
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mis en question par les faits ; et toute quête de
Dieu
se rend en même temps la tâche plus ardue en refusant les approches i
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la vérité, pour la foi, ne peut être que celle de
Dieu
, même quand elle semble nuire au groupe, à la tribu, à leurs lois et
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lte que ce cosmos revêt certains des attributs de
Dieu
. Le divin prend alors les noms les plus bizarres : il est tantôt la f
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i d’autre, c’est qu’alors il est faux de penser «
Dieu
», mais aussi de penser « Liberté ». Le refus qu’on oppose à ma quest
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à l’inconnaissable. C’est le nom de l’absence de
Dieu
pour l’homme. L’infini et l’omniprésence, l’ordre et son principe imm
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es grandes religions avaient conçus comme ceux du
Dieu
suprême, la physique et la mathématique peuvent les transférer au Cos
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matique peuvent les transférer au Cosmos. Mais le
Dieu
que prient les chrétiens est celui qui s’est fait connaître par cela
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comme illusoire. Et c’est la seule définition de
Dieu
donnée par sa révélation en Jésus-Christ : « Dieu est Amour. » (Dans
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Dieu donnée par sa révélation en Jésus-Christ : «
Dieu
est Amour. » (Dans le contexte ardu que l’on vient d’explorer, le mot
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les plus spirituels d’entre les hommes concevront
Dieu
comme semblable à leur Bien : il sera bon, juste, parfait et immortel
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mpagne régulièrement l’ascension des religions du
Dieu
bon, et qui leur oppose en sourdine un « spiritualisme épuré », c’est
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elle priverait l’homme de sa liberté, voulue par
Dieu
. Le vrai problème La grande plainte du xxe siècle contre la te
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conduit aux dictatures totalitaires. (On remplace
Dieu
par Société, et l’État seul représentant la Société, il n’est plus de
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s, et que l’Église romaine est seule l’ouvrage de
Dieu
. (Lisez : que le PC est seul dans le sens de l’Histoire.) Mais en bon
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s meurtres, et par les actions de grâce rendues à
Dieu
(lisez : au Kremlin) pour ces meurtres ? C’est donc au nom de la tolé
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ie nouvelle, s’en prenne d’abord à la croyance en
Dieu
? « Il est normal, écrit-il, qu’un certain nombre de personnes, maltr
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maltraitées par la vie, aient besoin de croire en
Dieu
et surtout en Son Incarnation. Combien de femmes solitaires et trahie
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contre de Gaulle, c’est qu’il est d’abord contre
Dieu
: de Gaulle et Dieu se confondent avec l’image du Père. Voilà l’ennem
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’est qu’il est d’abord contre Dieu : de Gaulle et
Dieu
se confondent avec l’image du Père. Voilà l’ennemi. Je suis adulte, o
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t consentie, tout bien pesé… « Je ne crois pas en
Dieu
, insiste Sartre — mais si dans ce plébiscite je devrais choisir entre
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et le prétendant actuel, je voterais plutôt pour
Dieu
: il est plus modeste. » Cette phrase bizarre esquisse une distinctio
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ction — rhétorique ou sincère, je ne sais — entre
Dieu
et le Général ; mais elle échoue dans un sophisme. En effet, si Sartr
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oue dans un sophisme. En effet, si Sartre préfère
Dieu
au Général, c’est qu’il peut nier l’existence de Dieu, non celle du G
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au Général, c’est qu’il peut nier l’existence de
Dieu
, non celle du Général. Or si Dieu n’existe pas, le monarque n’a rien
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l’existence de Dieu, non celle du Général. Or si
Dieu
n’existe pas, le monarque n’a rien au-dessus de lui qui le juge et li
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ictateur absolu. Tout pouvoir, dans un monde sans
Dieu
, devient fatalement abusif. En fait, de Gaulle étant chrétien, ne sau
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réflexes. En d’autres termes : dans le monde sans
Dieu
d’un Sartre, de Gaulle doit nécessairement apparaître comme le Tyran
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n sans frein ni loi — tandis que dans le monde où
Dieu
existe, qui est celui du général de Gaulle, la tyrannie totalitaire e
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pitres non terminés, ajoute : L’homme qui tend à
Dieu
, selon Adler, est celui qui est privé de sens communautaire — selon S
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se Agathe) parce que je ne puis aimer les autres.
Dieu
et l’antisocial. Dès le début, son amour pour Ulrich a mobilisé son h
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de l’ancienne ébauche fût devenu le « Voyage vers
Dieu
» auquel font allusion plusieurs notes pour le livre. Au terme d’un p
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n tant que le péché crée une tension entre lui et
Dieu
. Mais le péché ne devient réalité que pour le converti ; c’est donc l
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de l’Imagination. Et il poursuit : Le zen nie le
Dieu
personnel, il ne le nie pas au nom du rationalisme, oh ! pas du tout,
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utons, penser dans toutes les directions, jusqu’à
Dieu
; il fallait donc considérer comme un grand bonheur pour lui qu’il eû
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ait appeler Kierkegaard une géniale conception de
Dieu
… ou bien devrait-on le nommer l’Hamlet de l’idée du Dieu-Homme, l’Ham
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sse sur « la différence qualitative infinie entre
Dieu
et l’homme », qui fait, des relations entre l’homme et Dieu, un amour
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homme », qui fait, des relations entre l’homme et
Dieu
, un amour essentiellement malheureux. Cet amour serait même impossibl
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passion, un saut. Toute communication directe de
Dieu
à l’homme tuerait l’homme, c’est-à-dire tuerait en lui son pouvoir d’
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térogènes : — sa croyance en l’altérité totale de
Dieu
et en l’unicité de l’amour humain ; — la « mélancolie » qui l’accable
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« charnelle », mais dans l’égalité de tous devant
Dieu
. On s’étonne : cet amour général, impersonnel, et qu’on pourrait conf
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n’est pas impie, n’est pas démon, ne provoque ni
Dieu
ni les hommes. Il n’est pas révolutionnaire, et n’est pas non plus gr
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l’amour, 1847. 104. Riens philosophiques, « Le
Dieu
comme maître et sauveur », 1844. 105. Étapes, « Problèmes du mariag
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l’univers ». Après tant d’années sans nous voir,
Dieu
sait pourquoi, j’ai retrouvé ce soir une ombre amie à l’orée de mon b
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utenable. C’est un mythe dont on a tiré l’idée de
Dieu
, considéré comme modèle de toute cause. Si l’on ne croit pas en Dieu,
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me modèle de toute cause. Si l’on ne croit pas en
Dieu
, l’idée de cause n’a plus de sens. Je m’excuse, je crois que vous cro
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de sens. Je m’excuse, je crois que vous croyez en
Dieu
… — Je crois en Dieu, mais je le considère comme l’origine, non comme
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, je crois que vous croyez en Dieu… — Je crois en
Dieu
, mais je le considère comme l’origine, non comme l’effet de notre idé
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ment… D’ailleurs, ce n’est pas cela. Je crois que
Dieu
est fou selon nos normes rationnelles, infiniment plus fou que tout c
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e, du Réarmement moral, exige d’abord un retour à
Dieu
et dénonce mon rapport comme « antichrétien ». Enfin, Bertrand Russel