1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 e, d’une dernière crainte de confondre l’homme et Dieu . Troxler esquive non sans adresse la difficulté et le choix : pour lu
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
2 ’amende ou un an de prison… ou les deux ensemble… Dieu bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’écoute le grondement sou
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
3 roisses, ni d’organisation ; point de croyance en Dieu , ni de théologie, de credo ni de catéchisme ; point de liturgie non p
4 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
4 as Gotthelf (Jérémie : le prophète ; Gotthelf : «  Dieu aide ! »), publia coup sur coup une quinzaine de romans tragiques, éd
5 re en soi, mais seulement sur les relations entre Dieu et l’individu, entre l’individu et la communauté, entre les hommes, e
6 i du péché radical détruisant toute « analogie de Dieu  » en l’homme, calviniste par son sens civique et communautaire, mais
7 ire, mais kierkegaardien par son affirmation d’un Dieu totaliter aliter et sans commune mesure avec les intérêts de la tribu
8 Alors que Barth veut définir ce qui est vrai « en Dieu  » selon la Parole de Dieu, Jung recherche ce qui se passe en l’homme,
9 ir ce qui est vrai « en Dieu » selon la Parole de Dieu , Jung recherche ce qui se passe en l’homme, selon les mythes universe
10 ls. L’un veut amener l’individu à l’obéissance au Dieu biblique et transcendant du dogme, l’autre à l’appropriation personne
11 nel féminin des mystiques hérétiques. Pour Barth, Dieu est le vis-à-vis de l’homme, le Tout Autre. Pour Jung, Dieu est une r
12 e vis-à-vis de l’homme, le Tout Autre. Pour Jung, Dieu est une réalité psychique. Le théologien n’a que faire de la psycholo
5 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
13 gnons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme… fils unique en deux natures, sans confusion (ni) sépar