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e, d’une dernière crainte de confondre l’homme et
Dieu
. Troxler esquive non sans adresse la difficulté et le choix : pour lu
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’amende ou un an de prison… ou les deux ensemble…
Dieu
bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’écoute le grondement sou
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roisses, ni d’organisation ; point de croyance en
Dieu
, ni de théologie, de credo ni de catéchisme ; point de liturgie non p
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as Gotthelf (Jérémie : le prophète ; Gotthelf : «
Dieu
aide ! »), publia coup sur coup une quinzaine de romans tragiques, éd
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re en soi, mais seulement sur les relations entre
Dieu
et l’individu, entre l’individu et la communauté, entre les hommes, e
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i du péché radical détruisant toute « analogie de
Dieu
» en l’homme, calviniste par son sens civique et communautaire, mais
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ire, mais kierkegaardien par son affirmation d’un
Dieu
totaliter aliter et sans commune mesure avec les intérêts de la tribu
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Alors que Barth veut définir ce qui est vrai « en
Dieu
» selon la Parole de Dieu, Jung recherche ce qui se passe en l’homme,
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ir ce qui est vrai « en Dieu » selon la Parole de
Dieu
, Jung recherche ce qui se passe en l’homme, selon les mythes universe
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ls. L’un veut amener l’individu à l’obéissance au
Dieu
biblique et transcendant du dogme, l’autre à l’appropriation personne
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nel féminin des mystiques hérétiques. Pour Barth,
Dieu
est le vis-à-vis de l’homme, le Tout Autre. Pour Jung, Dieu est une r
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e vis-à-vis de l’homme, le Tout Autre. Pour Jung,
Dieu
est une réalité psychique. Le théologien n’a que faire de la psycholo
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gnons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai
Dieu
et vrai homme… fils unique en deux natures, sans confusion (ni) sépar