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royance au salut de l’homme par la seule force de
Dieu
, — par la foi. Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de salu
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Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que
Dieu
, son créateur, ne l’aime ? Car Dieu seul connaît l’homme dans son ori
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ême mieux que Dieu, son créateur, ne l’aime ? Car
Dieu
seul connaît l’homme dans son origine et dans sa fin. L’homme étant «
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igine et dans sa fin. L’homme étant « séparé » de
Dieu
sa source, — et c’est en quoi consiste le péché « originel » — il en
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naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non pour
Dieu
. C’est maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le reproche de lâ
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te encore, l’homme pieux qui prie pour demander à
Dieu
des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ? Comment
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es nommer, s’il n’a d’abord cherché la volonté de
Dieu
, si souvent contraire à la sienne ?) Prier pour qu’il fasse beau dema
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à-dire de lutter pour devenir une personne devant
Dieu
. Le succès de l’humanisme triomphant serait-il tout simplement d’enle
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imilation de la résurrection de Jésus au mythe du
Dieu
mort et ressuscité, en particulier). Pour M. Maurice Goguel, la foi a
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puyer ; car l’œuvre de la chair, c’est de refuser
Dieu
, même alors qu’il se rend visible. Et ce n’est point parmi les morts
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rc, le magistrat et le marchand adoraient le même
Dieu
, dans le même langage ; cette unité vivante, cette communauté où tout
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donnent à l’homme, et que l’homme s’ordonne à son
Dieu
. Tel était donc mon rêve, mon imagination de l’homme chrétien dans la
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ieux : c’est là une occupation pénible à laquelle
Dieu
soumet les fils de l’homme. J’ai vu tout ce qui se fait sous les cieu
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ette constatation si pessimiste : voici ce fait :
Dieu
peut tout ! Et c’est à Dieu que nous disons dans toutes les églises c
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ste : voici ce fait : Dieu peut tout ! Et c’est à
Dieu
que nous disons dans toutes les églises chrétiennes : « Que Ton règne
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qu’il a reçu un ordre, et que cet ordre vient de
Dieu
. « Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mais soyez transformés
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est là le fait. Mais notre foi proteste au nom de
Dieu
contre ce fait ! Elle appelle un monde nouveau, elle affirme une nouv
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sort de sa réalité ? Qu’il doute de la justice de
Dieu
? Et qu’il trahit sa vocation première ? Je pense que beaucoup d’entr
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ette distinction, nous risquons de prêcher contre
Dieu
en travaillant à leurs côtés ! Nous connaissons des chrétiens sociali
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on nous renvoyer une fois de plus à ce recours au
Dieu
tout-puissant qui permet de faire de si belles phrases, qui est si vr
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ur témoignage. Qu’ils le fassent comme témoins du
Dieu
qui les envoie ! — Il se peut que certains reçoivent l’ordre d’aller
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afin que vous discerniez quelle est la volonté de
Dieu
, ce qui est bon, agréable et parfait. » d. « La cité », Le Semeur,
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cevoir. Les divisions générales paraissent être :
Dieu
— L’homme — Jésus-Christ — La foi chrétienne — L’Église et les sacrem
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st une foi biblique » ; la Bible est la Parole de
Dieu
, et nous ne pouvons rien savoir de Dieu que par Sa révélation dans ce
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Parole de Dieu, et nous ne pouvons rien savoir de
Dieu
que par Sa révélation dans cette Parole. Le Saint-Esprit ouvre nos cœ
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délité humble pour ne pas trahir la Révélation de
Dieu
en taisant — ou en résolvant par quelque ingénieuse synthèse — tous l
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llectuelle qui ne nous engagerait pas ; la foi au
Dieu
de majesté, de sainteté et d’amour, qui s’est révélé à nous en Jésus-
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-Christ, exige que nous prenions les exigences de
Dieu
vraiment au sérieux, que nous « laissions Dieu être Dieu en nous ». B
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de Dieu vraiment au sérieux, que nous « laissions
Dieu
être Dieu en nous ». Brunner semble vouloir nous amener à prier la pr
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aiment au sérieux, que nous « laissions Dieu être
Dieu
en nous ». Brunner semble vouloir nous amener à prier la prière de la
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ême corps, beaucoup de maisons dans le Royaume de
Dieu
. Un ordre social ne peut être qualifié de chrétien à moins qu’il ne s
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et conduire le monde moderne vers un paradis sans
Dieu
, a démontré son impuissance réelle devant l’assaut de dictatures barb
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ques » contre la Genèse, la Création du monde par
Dieu
, sa Fin, l’existence de l’esprit, etc., paraît bien close, et pour lo
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t par des petits groupes ; par quelques « fous de
Dieu
» comme saint François d’Assise ; par des gens de peu réunis dans une
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à : l’Incomparable, l’unique, celui qui a reçu de
Dieu
une vocation précise, et il ajoute : toute vocation est sans précéden