1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 ertus germaniques s’écrie : « Je ne crois qu’à un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin délivré de la
2 r les ruines fumantes du temple11 et prient : « Ô Dieu , qui nous a faits libres et forts, reste avec nous, Amen ! » C’est la
3 céder à ce César sans rien céder de ce qui est à Dieu  ? Tragique révision des valeurs, qui nous oblige à dépouiller enfin t
4 nce comme il l’affirme, ou qu’il soit un fléau de Dieu (c’est une nuance), son destin ne dépend plus des hommes, pas même de
5 ant de l’histoire et le confronte à la justice de Dieu . Non pas l’avenir, mais l’éternel Présent, ou la présence de l’Éterne
6 ées ». Il faut créer « une religion d’hommes sans Dieu  », disait Naigeon ; « une foi concrète et patriotique », disait l’abb
7 la « foi allemande » de Rosenberg. On rejette le Dieu personnel parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Die
8 . On rejette le Dieu personnel parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Dieu cosmique, non révélé, non incarn
9 qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Dieu cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé de la m
10 ut le moi jadis pécheur et responsable. Liquidons Dieu et gardons le fanatisme : voilà ce qu’il faut pour une Inquisition. P
11 justement qui est sérieux ! Le témoignage rendu à Dieu quand Dieu le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas
12 ui est sérieux ! Le témoignage rendu à Dieu quand Dieu le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas un choix d
13 e sait plus gouverner s’il n’usurpe les droits de Dieu . Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, e
14 verner s’il n’usurpe les droits de Dieu. Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, et cela conduit
15 pe les droits de Dieu. Rendre à Dieu ce qui est à Dieu , cela s’appelle alors du sabotage, et cela conduit au camp de concent
16 dans ce lieu où le néant de l’homme est déclaré, Dieu n’ait retrouvé des humains. 21 juin 1936, nuit Fête du solstic