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ertus germaniques s’écrie : « Je ne crois qu’à un
Dieu
qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin délivré de la
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r les ruines fumantes du temple11 et prient : « Ô
Dieu
, qui nous a faits libres et forts, reste avec nous, Amen ! » C’est la
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céder à ce César sans rien céder de ce qui est à
Dieu
? Tragique révision des valeurs, qui nous oblige à dépouiller enfin t
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nce comme il l’affirme, ou qu’il soit un fléau de
Dieu
(c’est une nuance), son destin ne dépend plus des hommes, pas même de
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ant de l’histoire et le confronte à la justice de
Dieu
. Non pas l’avenir, mais l’éternel Présent, ou la présence de l’Éterne
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ées ». Il faut créer « une religion d’hommes sans
Dieu
», disait Naigeon ; « une foi concrète et patriotique », disait l’abb
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la « foi allemande » de Rosenberg. On rejette le
Dieu
personnel parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Die
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. On rejette le Dieu personnel parce qu’il est le
Dieu
des personnes, et l’on adore un Dieu cosmique, non révélé, non incarn
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qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un
Dieu
cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé de la m
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ut le moi jadis pécheur et responsable. Liquidons
Dieu
et gardons le fanatisme : voilà ce qu’il faut pour une Inquisition. P
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justement qui est sérieux ! Le témoignage rendu à
Dieu
quand Dieu le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas
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ui est sérieux ! Le témoignage rendu à Dieu quand
Dieu
le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas un choix d
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e sait plus gouverner s’il n’usurpe les droits de
Dieu
. Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, e
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verner s’il n’usurpe les droits de Dieu. Rendre à
Dieu
ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, et cela conduit
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pe les droits de Dieu. Rendre à Dieu ce qui est à
Dieu
, cela s’appelle alors du sabotage, et cela conduit au camp de concent
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dans ce lieu où le néant de l’homme est déclaré,
Dieu
n’ait retrouvé des humains. 21 juin 1936, nuit Fête du solstic