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s l’obscurité et mets tes mains dans les mains de
Dieu
. Ce sera plus sûr pour toi qu’une lumière et qu’un chemin que tu conn
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que voici : Pour les réformateurs, l’homme devant
Dieu
égale zéro. Pour les modernes, un protestant égale une personnalité.
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dre ici. Comment passer du zéro de l’homme devant
Dieu
à la valeur infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théo
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auté absolue de tous les temps : l’incarnation de
Dieu
dans l’homme fondant une société absolument nouvelle : l’Église. Qu’e
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terrestre : il s’est assis au Ciel à la droite de
Dieu
. Leurs ambitions non plus ne sont pas terrestres, car ce qu’elles att
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restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de
Dieu
. Jamais ils n’ont admis d’être présentés comme des novateurs. « Nous
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’exposition simple et fidèle de la pure Parole de
Dieu
. » Du point de vue qui nous intéresse ici, je dirai que l’œuvre de Ca
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État. La personne chrétienne, ce sera le rôle que
Dieu
attribue à chaque homme dans Son plan. Notez bien que nous retrouvons
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e, distincte et reliée à nouveau. Car le rôle que
Dieu
attribue à un homme distingue cet homme, l’isole, mais en même temps
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t qu’il peut incarner une volonté particulière de
Dieu
. Et dès lors, cet homme n’a pas seulement le droit d’être respecté pa
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par cela je ne sois nullement empêché de rendre à
Dieu
le service que je lui dois par ma vocation. » C’est à ma connaissance
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garchies et républiques sont également voulues de
Dieu
et doivent être obéies comme telles. Une fois cependant il marque une
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que la personnalité, si grande soit-elle, devant
Dieu
c’est zéro. Et si l’on se borne au point de vue social, il faut prévo
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’une gifle ne vaut rien pour la guerre. » Grâce à
Dieu
, nous sommes encore neutres, et nous avons encore le droit de ne pas
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s, mais la vision de la justice est le plaisir de
Dieu
seul. » 13. Conférence prononcée le 15 janvier 1940 au Rathaus de
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croyait volontiers que chaque État était voulu de
Dieu
, et qu’il jouissait par conséquent d’une légitimité indiscutable. La
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e certains États modernes n’ont pas été créés par
Dieu
, mais par le traité de Versailles. Et c’est bien vrai. Elle dit aussi
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que notre Confédération fut autrefois voulue par
Dieu
. Il nous faut nous demander maintenant si vraiment Dieu la veut encor
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Il nous faut nous demander maintenant si vraiment
Dieu
la veut encore. Redoutable question, je le vois bien. Mais nous ne po
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qu’elle a le droit et le devoir d’exister, devant
Dieu
. On n’a pas le droit de mourir pour quelque chose qui ne fournit pas
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nieuses et magnifiques, pleines de la grandeur de
Dieu
. Je me suis retourné, me demandant à quel être supérieur et choisi la
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libres ». Vinet entend évidemment : pour obéir à
Dieu
plutôt qu’aux hommes. Ceux qui ne savent pas que le but de toutes nos
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uniquement de laisser à chacun le droit d’obéir à
Dieu
seul, plutôt qu’à soi-même ou aux autres, ceux-là penseront toujours,
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st l’appel aux Prophètes dans l’Ancien Testament.
Dieu
leur donne toujours une tâche déterminée et immédiate : Lève-toi, et
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’hésitent pas, dans leurs discours, à invoquer le
Dieu
de nos pères, il semble parfois que c’est moins parce qu’ils croient
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avantage le Gott mit uns de Guillaume II que le «
Dieu
premier servi » de Jeanne d’Arc. Bref, l’intérêt qu’ils portent à la
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ous serons mieux armés pour défendre la Suisse où
Dieu
nous veut à son service. 31. Conférence prononcée le 28 janvier 19
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ublie qu’il est responsable de sa vocation devant
Dieu
et devant lui-même, il devient collectiviste37 ». Or l’individualisme
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es, gardienne de l’idéal d’où renaîtra la paix si
Dieu
le veut, la Suisse tient les clefs de l’Europe, et c’est là sa vraie
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raîne notre expulsion violente hors du Royaume de
Dieu
. « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre
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arèrent que leur alliance devait, s’il plaisait à
Dieu
, durer « éternellement ». C’était une manière d’affirmer qu’ils la co