1 1948, Suite neuchâteloise. III
1 t de caste et de famille qui régnait à Neuchâtel. Dieu nous préserve, écrivait-il, des parvenus par droit de naissance et de
2 1948, Suite neuchâteloise. IV
2 oral le conduisit vers de plus humbles tâches, en Dieu plus grandes, et vers la liberté de l’esprit. Sa première allégeance
3 n que tes jours soient prolongés dans le pays que Dieu te donne » ? Il me semble aujourd’hui que pour la première fois, ces
4 ée des siècles écoulés et futurs de ce « pays que Dieu nous donne ».