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ne cessons d’ajuster, et qui marche à la grâce de
Dieu
malgré la confusion des hommes, — et mieux qu’une autre, en fin de co
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se noue le premier germe de ce qui deviendra, si
Dieu
lui prête vie, la Suisse actuelle, il y a eu déjà plusieurs siècles d
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les, d’ailleurs jurée comme « devant s’il plaît à
Dieu
durer à perpétuité », a subsisté sans variations et sans rupture jusq
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atué pour l’utilité commune, devant, s’il plaît à
Dieu
, durer à perpétuité. En foi de quoi le présent acte a été dressé, à l
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ards. Il s’agit d’un acte sacré, engageant devant
Dieu
et leur peuple, des responsables disposant des sceaux et rompus à l’u
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fédérés ». Cela dit — ou plutôt, cela juré devant
Dieu
—, pourquoi ne pas admettre qu’il y ait des différences, des droits l
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histoire de Genève ! Cette variété dans l’unité —
Dieu
veuille nous la conserver ! — voilà la véritable école de l’amitié !
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as Gotthelf (Jérémie : le prophète ; Gotthelf : «
Dieu
aide ! »), publia coup sur coup une quinzaine de romans tragiques, éd
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ant sceau des poèmes qu’il dédie « à la gloire de
Dieu
». Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un peu tous les
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ait exactement ce que vaut une vie d’homme devant
Dieu
. ⁂ Conrad Witz peint un Christ vêtu de rouge marchant sur les eaux v
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re en soi, mais seulement sur les relations entre
Dieu
et l’individu, entre l’individu et la communauté, entre les hommes, e
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i du péché radical détruisant toute « analogie de
Dieu
» en l’homme, calviniste par son sens civique et communautaire, mais
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ire, mais kierkegaardien par son affirmation d’un
Dieu
totaliter aliter et sans commune mesure avec les intérêts de la tribu
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Alors que Barth veut définir ce qui est vrai « en
Dieu
» selon la Parole de Dieu, Jung recherche ce qui se passe en l’homme,
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ir ce qui est vrai « en Dieu » selon la Parole de
Dieu
, Jung recherche ce qui se passe en l’homme, selon les mythes universe
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ls. L’un veut amener l’individu à l’obéissance au
Dieu
biblique et transcendant du dogme, l’autre à l’appropriation personne
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nel féminin des mystiques hérétiques. Pour Barth,
Dieu
est le vis-à-vis de l’homme, le Tout Autre. Pour Jung, Dieu est une r
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e vis-à-vis de l’homme, le Tout Autre. Pour Jung,
Dieu
est une réalité psychique. Le théologien n’a que faire de la psycholo
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u’objet soumis à la détermination de la Parole de
Dieu
»106. En revanche, le psychologue n’a que faire des dogmes, sauf s’il
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intérieure : c’est ainsi que la secte des Amis de
Dieu
, dont le centre était à Strasbourg, comptait beaucoup de disciples ch
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nts qu’annoncent les meilleurs restaurants. Mais,
Dieu
merci, la religion des Suisses ne saurait être mesurée à ces manifest
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e, des pharisiens de la politique, qui remercient
Dieu
de ce qu’ils ne sont pas comme les autres. Le Suisse est assis dans s
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t dans la conscience nationale que le jugement de
Dieu
qui pèse sur le monde nous devient clair. Ceci ne nous dispense nulle