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uvaise grâce à qui vous a reçu comme un cadeau de
Dieu
. (« C’est Dieu qui vous envoie », dit la formule traditionnelle.) La
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qui vous a reçu comme un cadeau de Dieu. (« C’est
Dieu
qui vous envoie », dit la formule traditionnelle.) La liqueur de pêch
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de Matthias Corvin « Matthias, par la grâce de
Dieu
roi de Hongrie. Bonjour, citoyens ! Si vous ne venez pas tous vous pr
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s. Ici tout est sans voile, dans sa nudité devant
Dieu
. Ici plus de dérangements domestiques, plus aucun de ces subterfuges
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(solitude), et Gottgemeinsamkeit (communion avec
Dieu
). Leur rapprochement exprime le sens profond de la lande, son sens és
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mouvement de l’être. Celui qui « se tient devant
Dieu
» est seul. Il se trouve placé dans un rapport strictement personnel,
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définition. Mais aussitôt qu’il communie avec son
Dieu
, il se voit uni à ses semblables par un lien de responsabilité. Sépar
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us d’une aultre robe, pour l’usage de l’eschole :
Dieu
leur doint bien faire ! Si i’estoy du mestier, ie naturalizeroy l’art
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ses particulières, d’autant plus nous connaissons
Dieu
» (Spinoza). « Tout l’univers s’adresse à l’homme dans un langage ine
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oir part à la liberté de la gloire des enfants de
Dieu
. Or nous savons que jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire
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chose qui prouve certainement quelque chose, mais
Dieu
sait quoi. Pour moi, je sais seulement que je suis content. Hier soi
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que les autres, mais c’est qu’ils se confient en
Dieu
, et qu’ils n’attendent des ordres que de lui. À la fin, un des commun
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t : « En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en
Dieu
, nous autres, ce serait que nous sommes trop orgueilleux ? » En génér
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n ont peur. Or, ils devraient n’avoir peur que de
Dieu
, et des vocations bouleversantes qu’il arrive que Dieu nous adresse.
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et des vocations bouleversantes qu’il arrive que
Dieu
nous adresse. C’est un comique profond, lugubre et déprimant que celu
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mmes ; et s’il a honte, c’est qu’il ne craint pas
Dieu
, mais qu’il croit au jugement des incroyants, tout en s’imaginant qu’
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Noël 1934 C’est dans la pauvreté totale que
Dieu
est né. Il n’y avait donc plus d’autre espoir. Voilà la limite impens
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pour nous le révéler en nous montrant sa fin, que
Dieu
est né, mort, ressuscité. Palavas-les-Flots, 6 janvier 1935 Deu
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our des questions d’argent, on ne croit plus ni à
Dieu
ni à diable et à peine à la politique, l’hiver est « pourri », la « p
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. « Ils prétendent qu’ils ne croient qu’à un seul
Dieu
, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! Ils disent que le P
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haque homme sa propre vie, dès que la question de
Dieu
s’y pose. L’observation des sociologues a pour effet systématique d’a
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ertus germaniques s’écrie : « Je ne crois qu’à un
Dieu
qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin délivré de la
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r les ruines fumantes du temple57 et prient : « Ô
Dieu
, qui nous a faits libres et forts, reste avec nous, Amen ! » C’est la
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céder à ce César sans rien céder de ce qui est à
Dieu
? Tragique révision des valeurs, qui nous oblige à dépouiller enfin t
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nce comme il l’affirme, ou qu’il soit un fléau de
Dieu
(c’est une nuance), son destin ne dépend plus des hommes, pas même de
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ant de l’histoire et le confronte à la justice de
Dieu
. Non pas l’avenir, mais l’éternel Présent, ou la présence de l’Éterne
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ées ». Il faut créer « une religion d’hommes sans
Dieu
», disait Naigeon ; « une foi concrète et patriotique », disait l’abb
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la « foi allemande » de Rosenberg. On rejette le
Dieu
personnel parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Die
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. On rejette le Dieu personnel parce qu’il est le
Dieu
des personnes, et l’on adore un Dieu cosmique, non révélé, non incarn
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qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un
Dieu
cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé de la m
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ut le moi jadis pécheur et responsable. Liquidons
Dieu
et gardons le fanatisme : voilà ce qu’il faut pour une Inquisition. P
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justement qui est sérieux ! Le témoignage rendu à
Dieu
quand Dieu le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas
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ui est sérieux ! Le témoignage rendu à Dieu quand
Dieu
le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas un choix d
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e sait plus gouverner s’il n’usurpe les droits de
Dieu
. Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, e
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verner s’il n’usurpe les droits de Dieu. Rendre à
Dieu
ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, et cela conduit
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pe les droits de Dieu. Rendre à Dieu ce qui est à
Dieu
, cela s’appelle alors du sabotage, et cela conduit au camp de concent
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dans ce lieu où le néant de l’homme est déclaré,
Dieu
n’ait retrouvé des humains. 21 juin 1936, nuit Fête du solstic
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ses espérées », du culte des morts et de celui du
Dieu
vivant. L’ère des religions s’ouvre à nous, chargée de promesses équi
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! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y a
Dieu
! Il y a Dieu qui est le plus fort ! » C’était l’invincible évidence,
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oie, qui est la plus forte ! Il y a Dieu ! Il y a
Dieu
qui est le plus fort ! » C’était l’invincible évidence, la délivrance
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nt sceau des poèmes qu’il dédie « à la louange de
Dieu
». ⁂ Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un peu tous l
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ait exactement ce que vaut une vie d’homme devant
Dieu
. 9 mars 1940 Il nous est né hier une fille que nous avons nommé
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e chose terrible que de tomber entre les mains du
Dieu
vivant ! » ⁂ Pourquoi l’époque présente est-elle une basse époque spi
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artyrs sont nos meilleurs intercesseurs auprès de
Dieu
. Les pâtres de la Suisse alpestre étaient des gens simples et réalist
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oi-même, quand on ne peut plus se retrouver qu’en
Dieu
. (Quand on est rapporté à l’Éternel.) ⁂ Sur un horizon d’incendie, ce
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utenable. C’est un mythe dont on a tiré l’idée de
Dieu
, considéré comme modèle de toute cause. Si l’on ne croit pas en Dieu,
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me modèle de toute cause. Si l’on ne croit pas en
Dieu
, l’idée de cause n’a plus de sens. Je m’excuse, je crois que vous cro
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de sens. Je m’excuse, je crois que vous croyez en
Dieu
… Remarquez l’ambiguïté du mot croire, dans cette phrase. — Je crois e
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é du mot croire, dans cette phrase. — Je crois en
Dieu
, mais je le considère comme l’origine, non comme l’effet de notre idé
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ment… D’ailleurs, ce n’est pas cela. Je crois que
Dieu
est fou selon nos normes rationnelles, infiniment plus fou que tout c
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mplement : « Paix sur la terre, bonne volonté (de
Dieu
) envers les hommes. » Est-il besoin de la bombe, et des grèves, et de