1 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
1 que de sauver, et aussi d’illustrer en créations. Dieu merci, elle n’est pas encore un objet de science, mais un drame. Nous
2 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Conclusions sur l’avenir et la liberté de la culture
2 onné des hommes — et ce serait peu — abandonné de Dieu lui-même. N’oublions pas que là, et là seulement, le mot de communion
3 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui
3 non seulement la Nature mais le Naturant, qui est Dieu , et il entreprit d’édifier une tour à Sennaar, qui fut ensuite appelé
4 sance de la réalité de la matière et du corps, où Dieu lui-même se manifeste) et le développement des sciences physiques et
5 ses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu . Je la transpose au domaine moins sublime que j’essaie aujourd’hui d’
4 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le rôle de la recherche en Europe
6 ue veux-tu donc ? » et elle dit enfin : « Je veux Dieu  ! » Cette légende marque le but extrême de toute la recherche des hom
5 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Culture et technique en Europe et dans le monde
7 ncarnation. Or qu’est-ce que l’Incarnation, sinon Dieu lui-même, l’Esprit pur, qui choisit de se rendre connaissable dans un
8 attente ardente, attend la révélation des fils de Dieu , avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la
9 avec la « fin des temps », mais la croyance en un Dieu créateur et régulateur du cosmos le rend cependant concevable pour la
10 . D’autre part, la religion judéo-chrétienne d’un Dieu incarné, qui appelle l’homme à la liberté dans sa condition concrète
6 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
11 tout seul. Alors, c’est donc « Chacun pour soi et Dieu pour tous », penserez-vous ? Ce proverbe est l’expression cynique de
12 me pour ceux qui croient qu’ils ne croient pas en Dieu . Mais on peut le comprendre autrement. « Chacun pour soi » signifie l
13 ropriation nécessairement personnelle du vrai ; «  Dieu pour tous » est le principe originel de l’unité dernière du genre hum