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que de sauver, et aussi d’illustrer en créations.
Dieu
merci, elle n’est pas encore un objet de science, mais un drame. Nous
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onné des hommes — et ce serait peu — abandonné de
Dieu
lui-même. N’oublions pas que là, et là seulement, le mot de communion
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non seulement la Nature mais le Naturant, qui est
Dieu
, et il entreprit d’édifier une tour à Sennaar, qui fut ensuite appelé
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sance de la réalité de la matière et du corps, où
Dieu
lui-même se manifeste) et le développement des sciences physiques et
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ses particulières, d’autant plus nous connaissons
Dieu
. Je la transpose au domaine moins sublime que j’essaie aujourd’hui d’
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ue veux-tu donc ? » et elle dit enfin : « Je veux
Dieu
! » Cette légende marque le but extrême de toute la recherche des hom
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ncarnation. Or qu’est-ce que l’Incarnation, sinon
Dieu
lui-même, l’Esprit pur, qui choisit de se rendre connaissable dans un
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attente ardente, attend la révélation des fils de
Dieu
, avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la
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avec la « fin des temps », mais la croyance en un
Dieu
créateur et régulateur du cosmos le rend cependant concevable pour la
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. D’autre part, la religion judéo-chrétienne d’un
Dieu
incarné, qui appelle l’homme à la liberté dans sa condition concrète
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tout seul. Alors, c’est donc « Chacun pour soi et
Dieu
pour tous », penserez-vous ? Ce proverbe est l’expression cynique de
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me pour ceux qui croient qu’ils ne croient pas en
Dieu
. Mais on peut le comprendre autrement. « Chacun pour soi » signifie l
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ropriation nécessairement personnelle du vrai ; «
Dieu
pour tous » est le principe originel de l’unité dernière du genre hum