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t de suite à un exemple extrême. Pour le croyant,
Dieu
n’est pas un problème, ni la solution d’un problème, mais il est la p
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C’est lorsque la foi disparaît que le problème de
Dieu
se pose — éternellement insoluble. Ou bien Dieu est présent, et c’est
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e Dieu se pose — éternellement insoluble. Ou bien
Dieu
est présent, et c’est un ordre souverain ; ou bien il se retire, et d
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l se pose à nous à partir du moment où son objet (
Dieu
, la culture, l’amour, la nation, le travail, etc.) s’éloigne ou s’aff
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dans l’absolu, comme un idéal religieux, comme un
Dieu
, mais un dieu vérifiable, comme une Providence plus rigoureuse que l’
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leur « histoire », c’est l’histoire des gestes de
Dieu
, dont les Hébreux ne furent que les instruments. C’est l’histoire des
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celle que lui prêchent ses prophètes. Il vient de
Dieu
, il va vers Dieu, et c’est la loi de Dieu qui le conduit. C’est pourq
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chent ses prophètes. Il vient de Dieu, il va vers
Dieu
, et c’est la loi de Dieu qui le conduit. C’est pourquoi son télos est
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ient de Dieu, il va vers Dieu, et c’est la loi de
Dieu
qui le conduit. C’est pourquoi son télos est transcendant comme Dieu,
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. C’est pourquoi son télos est transcendant comme
Dieu
, unique en son essence comme Dieu, et comme Dieu objet de la foi seul
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nscendant comme Dieu, unique en son essence comme
Dieu
, et comme Dieu objet de la foi seule. Mais il est invisible aux morte
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Dieu, unique en son essence comme Dieu, et comme
Dieu
objet de la foi seule. Mais il est invisible aux mortels, et c’est po
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titution égare Et ils se prostituent loin de leur
Dieu
. (Osée, 4, 12) Cet « esprit de prostitution », cette idolâtrie qui r
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lte du destin profane contre la libre vocation de
Dieu
. Et de même que cette révolte est symbolisée au concret par les statu
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la fois l’origine et la fin du peuple : l’Éternel
Dieu
et son service. Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est
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Dieu et son service. Parce qu’elle est la loi de
Dieu
, et que ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience finale du peu
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vice. Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce
Dieu
est l’Éternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu. Et p
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du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de
Dieu
, elle porte en elle la règle permanente de toute action et de toute p
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es civiles : c’est que la mesure est indivisible.
Dieu
est au ciel, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là pour vei
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que ce soit leur métier —, s’ils oublient que le
Dieu
qu’ils servent est un Dieu qui se nomme « jaloux », les prophètes se
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s’ils oublient que le Dieu qu’ils servent est un
Dieu
qui se nomme « jaloux », les prophètes se lèvent contre eux et dénonc
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ntreprise de Babel : une révolte d’orgueil contre
Dieu
. La culture d’Israël sera pauvre à raison même de sa pureté. Sa pauvr
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actions : c’est que le culte qu’il faut rendre au
Dieu
vivant est une obéissance directe « en esprit et en vérité ». Or abst
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t tombe avec sa mission. » (Karl Barth, Parole de
Dieu
et parole humaine.) 19. Au sens hégélien du mot « histoire », que j
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rs ceux qui rappellent le peuple au culte du vrai
Dieu
, mais aussi ceux qui dénoncent les excès du légalisme. Car la pire de
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ublie sa vocation et se détourne de l’Éternel son
Dieu
, il perd aussi le sens des noms et bientôt sa langue délire : « Il pr
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tte faim et cette soif. Au païen ignorant du vrai
Dieu
, les prêtres donnent des idoles faites à l’image des terreurs de l’ho
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viétique des sans-Dieu, on ne saurait nier que le
Dieu
qu’il sert est immanent aux intérêts du Volkstum, et doit se confondr
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ifférentes. Et qu’il advienne de la Russie ce que
Dieu
voudra ! Nous avons bien assez de notre sort pour en être aujourd’hui
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e pétrirai selon la loi nouvelle. Advienne ce que
Dieu
voudra ! J’aurai du moins gagné ma mort. J’aurai vécu. Le sort du mon
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l entendre qu’elle relève de la seule patience de
Dieu
. Je crois cela. Mais cette longanimité agit aussi par nos mains d’hom
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oir en face, pour l’accepter ou pour le refuser :
Dieu
, mal, souffrance, responsabilité de la pensée, but de la littérature,
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il est admirable de l’aimer. Et la pensée même de
Dieu
ne s’est point soustraite à cette loi, c’est-à-dire à ce choix souver
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à cette loi, c’est-à-dire à ce choix souverain de
Dieu
. C’est en s’y soumettant qu’elle se révèle à l’homme, lorsqu’elle s’i
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vision de l’homme, la forme de son corps tel que
Dieu
le forma. Ainsi l’acte nous réincarne. La primauté du spirituel, c’es
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et acte, en mourant sur la croix. Mais Christ est
Dieu
. Le caractère humain de l’acte est d’aller contre quelque chose — Die
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main de l’acte est d’aller contre quelque chose —
Dieu
seul agit et crée de rien — mais de n’aller pas jusqu’au bout. Et c’e
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é est défini par cette contradiction. Aux yeux de
Dieu
, notre acte est seulement restaurateur. À la mesure de sa violence, i
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le faux dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai
Dieu
. C’est pourquoi dans le temps tout se renverse. Chacun des actes que
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le l’homme perdit jusqu’au souvenir de l’image de
Dieu
qu’il était. L’homme créateur n’est pas le démiurge isolé d’un idéali